Maria Josepa Massanés

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Maria Josepa Massanés i Dalmau
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 76 ans)
BarceloneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
María Josefa Massanés y DalmauVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Josefa Massanés de GonzálezVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Père
Josep Massanès i Mestres (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Acadèmia per à la Il·lustració de la Dona (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvements
Genres artistiques

Maria Josepa Massanés, née à Tarragone le et morte le à Barcelone, est une écrivaine et poétesse espagnole[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et formation[modifier | modifier le code]

Le numéro 1 de la revue féministe catalane Feminal de Carme Karr, avec Maria Josepa Massanès en couverture (1907).

Fille d'Antònia Dalmau i Magnifich et du colonel Josep Massanès[2], elle passe sa jeunesse à Barcelone[3].

Carrière[modifier | modifier le code]

Féministe, elle publie en 1841 publie son premier livre, Poesías, anthologie qui regroupe ses poèmes[3].

Elle est amie avec Carolina Coronado.

En 1846, elle entre en contact à Barcelone avec Manuel Milà i Fontanals, Antoni de Bofarull et Joaquim Rubió i Ors, se rapprochant de la Renaixença[3].

À partir de ce moment, elle commence à écrire en catalan, proche de Víctor Balaguer en écrivant le poème «Les femmes catalanes»[4].

Elle participe à l'institution pédagogique féministe de Clotilde Cerdà i Bosch et de Dolors Aleu i Riera[5] de l'Acadèmia per à la Il·lustració de la Dona, une organisation éducative de haut niveau pour les femmes de Barcelone[6]. Dite aussi Académie des sciences, arts et des offices pour les femmes (ACAOM), elle compte des femmes reconnues dont la journaliste et écrivaine Antònia Opisso[7].

Elle participe aux Jeux Floraux de Barcelone, nommée reine des Jeux Floraux par Jeroni Rosselló en 1862.[réf. nécessaire]

Mort[modifier | modifier le code]

Elle décède en Vallcarca, à Barcelone et est enterrée au cimetière du Poblenou de Barcelone.[réf. nécessaire]

Postérité[modifier | modifier le code]

Sa bibliothèque fait aujourd'hui partie du Musée Balaguer de Vilanova i la Geltrú.[réf. nécessaire]

Notes et références[modifier | modifier le code]

(ca) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en catalan intitulé « Maria Josepa Massanés i Dalmau » (voir la liste des auteurs).
  1. « Tarragona.Parròquia de Santa Maria de la Catedral.Llibre XXI de Baptismes (1.1.1807-14.4.1811).Pàg.366.Imatge 788 », sur A.H.A.T., 19 de març de 1811 (consulté le )
  2. (es) « Josefa Massanés », sur La Semilla de la Igualdad: Mujeres del Siglo XIX (consulté le )
  3. a b et c La Renaixença del Camp de Tarragona als Jocs Florals. Roig i Queralt, Francesc. IET. Ramon Berenguer IV. Tarragona 1985. pàg.110-111
  4. Margalida Tomàs, « Notes sobre les escriptores vuitcentistes catalanes: a l’entorn dels Jocs Florals de Barcelona », Anuari Verdaguer 25,‎ , p. 55-90 (lire en ligne)
  5. « Dolors Aleu i Riera - Visit Barcelona », sur www.barcelonaturisme.com (consulté le )
  6. (es) « Barcelona rescata la fascinante historia de Clotilde, la hija insurrecta de Cerdà », sur La Vanguardia, (consulté le ).
  7. (en-US) Isabel Segura Soriano Historian, « Clotilde Cerdà, between music and social activism | Barcelona Metròpolis » (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]