Manuel Bendala Galán
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Académie royale des docteurs d'Espagne (d) Académie royale des beaux-arts de Sainte-Isabelle de Hongrie (en) Institut archéologique allemand Musée archéologique national de Madrid |
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Docteur honoris causa de l'université de Huelva (d) () |
Manuel Bendala Galán, né en 1949 à Cadix, est un archéologue et préhistorien espagnol, spécialiste de la culture de Tartessos, de la culture ibérique, de l'archéologie phénico-punique en Espagne et de l'époque orientalisante.
Formation[modifier | modifier le code]
Manuel Bendala Galán, né en 1949 à Cadix, est diplômé en philosophie et lettres, et docteur en archéologie de l'université de Séville[1].
Carrière[modifier | modifier le code]
Manuel Bendala a été enseignant à l'université de Cadix dans les années 1970 et a réalisé des recherches archéologiques et des projets en lien avec la province de Cadix[2].
Entre 1985 et 1989, il est directeur du département de Préhistoire et Archéologie de la faculté de Philosophie et Lettres de l'université autonome de Madrid. Il est élu doyen de la faculté de 1992 à 1995, période au cours de laquelle il favorise la création de la Bibliothèque des sciences humaines. Il est nommé directeur du master en archéologie et patrimoine de 2007 jusqu'à sa retraite en 2010. De plus, entre 1988 et 2002, il est directeur des Cahiers de Préhistoire et d'Archéologie de l'université autonome de Madrid.
Travaux[modifier | modifier le code]
Manuel Bendala est spécialiste de la culture ibérique et de la protohistoire de l'Espagne. Parmi ses thèmes de recherche se distinguent les fouilles archéologiques de Carteia (San Roque, Cadix) et les études qu'il a réalisées sur la Dame d'Elche.
Organismes et associations[modifier | modifier le code]
Il est membre correspondant de l'Institut archéologique allemand et de l'Académie royale des beaux-arts de Séville (es), membre élu de l'Académie royale des docteurs de Madrid (es), administrateur du Musée archéologique national de Madrid, de la Fondation Pastor pour les Études Classiques (es) et de la Fondation des Études Romaines.
Distinctions[modifier | modifier le code]
En 2014, il est fait docteur Honoris Causa de l'université de Huelva (es)[3],[4].
Publications principales[modifier | modifier le code]
- (es) Las Claves del arte griego, Ariel, (ISBN 84-344-0425-7).
- (es) La antigüedad : de la prehistoria a los visigodos, Madrid, Sílex, (ISBN 84-7737-021-4).
- (es) El arte romano, Anaya, (ISBN 84-207-3728-3).
- (es) avec María José López Grande, Arte egipcio y del Próximo Orient, Madrid, Historia 16, (ISBN 84-7679-302-2).
- (es) avec Lorenzo Abad Casal, El arte ibérico, Madrid, Historia Viva, (ISBN 84-7679-406-1).
- (es) Tartesios, íberos y celtas : pueblos, culturas y colonizaciones de la Hispania antigua, Temas de hoy, (ISBN 84-7880-849-3).
- (es) avec Carmen Sánchez Fernández, El descubrimiento del orden clásico. El arte en Grecia y Roma. El arte paleocristiano, Madrid, Plantea, (ISBN 84-08-46940-1).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (es) « Cupauam37_38 », sur uam.es (consulté le )
- (es) « El arqueólogo Manuel Bendala recibe este viernes un homenaje », Diario de Cadiz, (lire en ligne)
- (es) « Honoris Causa 2014 », sur huelva24.com (consulté le )
- (es) « Victoria Camps y Manuel Bendala, próximos ‘Honoris Causa’ de la Onubense », sur huelvabuenasnoticias.com (consulté le )
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (es) Santiago Belausteguigoitia, « Tartessos era la bisagra que unía los mundos atlántico y mediterráneo », El País, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) Amelia Castilla, « Bendala destaca en un ensayo las huellas dejadas por iberos y celtas El arqueólogo analiza el pasado de la Hispania antigua », El País, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) Ritama Muñoz-Rojas, « La imagen recuperada », El País, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « El arqueólogo Manuel Bendala recibe este viernes un homenaje », Diario de Cadiz, (lire en ligne, consulté le ).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- (es) « Victoria Camps y Manuel Bendala, próximos ‘Honoris Causa’ de la Onubense », sur huelvabuenasnoticias.com (consulté le ).
