Jean Jacob

Portrait de Jean Jacob réalisé par Jean-François Garneray en 1789.

Biographie
Naissance	10 novembre 1669 Charcier
Décès	29 janvier 1790 (à 120 ans) Paris
Nationalité	française

Jean Jacob, né en 1669 à Charcier et mort en 1790 à Paris est une personnalité du Jura, en France, supposé être mort à plus de 120 ans. Son grand âge supposé, mais sujet à controverse^[1], lui permit d'obtenir une certaine notoriété à la fin de sa vie et, par exemple, de rencontrer les membres de l'Assemblée nationale en 1789 à Paris^[2].

Hommages[modifier | modifier le code]

Plusieurs rues du Jura portent son nom, par exemple à Montfleur ou encore à Charcier^[3].

Plaque de la rue Jean-Jacob à Montfleur.
Jean Jacob à 120 ans. Aquatinte par A. Brisseau, d'après Joseph-Marie Flouest.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Jean-Joseph Pithou de Loinville, Vie de Jean Jacob, vieillard du Mont-Jura, âgé de 120 ans, Paris, Valleyre l'aîné, 1789 (lire en ligne).
Antoine de Baecque et Jacques Berlioz, Jean Jacob, l'homme de 120 ans : Doyen du genre humain 1669-1790, Paris, Editions Taillandier, 7 novembre 2019, 224 p. (EAN 9791021040991, présentation en ligne).

Références[modifier | modifier le code]

↑ Marc Fourny, « Jean Jacob, le vieillard qui escroqua la Révolution française », sur Le Point, 27 décembre 2019.
↑ Jules Haime, De la Vie humaine, Paris, Revue des deux Mondes, 1855 (Wikisource) : « Le 23 octobre 1789, un habitant du mont Jura, âgé de 120 ans, fut introduit devant l’assemblée nationale, qu’il remercia au nom de ses compatriotes “d’avoir”, disent les journaux du temps, “dégagé sa patrie des liens de la servitude”. »
↑ « Chemin : Rue Jean Jacob (Charcier) », sur OpenStreetMap

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notices d'autorité :
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[1] Marc Fourny, « Jean Jacob, le vieillard qui escroqua la Révolution française », sur Le Point, 27 décembre 2019.

[2] Jules Haime, De la Vie humaine, Paris, Revue des deux Mondes, 1855 (Wikisource) : « Le 23 octobre 1789, un habitant du mont Jura, âgé de 120 ans, fut introduit devant l’assemblée nationale, qu’il remercia au nom de ses compatriotes “d’avoir”, disent les journaux du temps, “dégagé sa patrie des liens de la servitude”. »

[3] « Chemin : Rue Jean Jacob (Charcier) », sur OpenStreetMap

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