Jean Bouchot

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jean Bouchot
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 45 ans)
BesançonVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domiciles
Activité
Père
Parentèle
Autres informations
A travaillé pour
Conflit
Taille
1,72 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Cheveux
Yeux

Jean Bouchot est né à Paris 6e, le . Conservateur du musée de Saïgon (1925-1930) puis du musée de Besançon (1930-1932). Il meurt à Besançon le .

Biographie[modifier | modifier le code]

Jean Bouchot est né à Paris 6e, le 29 juin 1886. Il est le fils du conservateur à la BnF Henri Bouchot et de Claire Chevalier et le filleul de Jean Gigoux. Sa sœur Jacqueline Bouchot est conservatrice au musée du Louvre. À la mort de son père en 1906, il a vingt ans et il s'engage volontaire pour 3 ans à Paris 6°[1]. Il cherche sa voie et donne des conférences sur l'aviation[2]. En 1913, il accepte de partir comme professeur de français à Helsingfors Helsinki, où il passe un an. Pendant la Première Guerre mondiale, il devient aviateur. En août 1917, il évoque les questions russes [3]dans le Petit Comtois[4]. Il y évoque de nouveau la Finlande[5] en août 1918[6].

L'Asie[modifier | modifier le code]

Marié avec Germaine Gervais, il part à Pékin en 1920 à la légation de France puis il s'installe à Saïgon en Cochinchine en janvier 1925, il entre à la Société des études indochinoises et fonde le musée Blanchard de la Brosse. Il dirige les fouilles de Xuan-Loc [7]. Malade, il quitte Saïgon pour prendre la direction du musée des Beaux-Arts de Besançon, où il classe la collection Henri Mouhot. Il meurt en juin 1932, sa mère décède peu de temps après lui.

Œuvre[modifier | modifier le code]

  • L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL no 3653 - les blancs fantomes de l'hiver en Finlande, photo de Jean Bouchot
  • Voyages en Finlande: Les sites qu'il faut aller voir, Ed. de la Sté des touristes de Finlande, 1914
  • Jean-Joseph Ruedolf, peintre de la Chine, Édition Pékin : A. Nachbaur, 1921
  • Le P. Parrenin : (1665-1741), Édition Pekin : Nachbaur, 1923
  • L'empire ou la ruine, Édition Hanoï-Haïphong : Imp. d'Extrême-Orient, 1924
  • Saïgon sous la domination cambodgienne et annamite, Édition Saïgon : Portail, 1926
  • Au berceau des rois Khmers, Édition Saïgon : Paul Gastaldy, 1929

Notes et références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]