La famille Jarrosson est une famille française, originaire de Tartaras dans le département de la Loire, puis établie à Lyon depuis le début du XVIIIe siècle.
Maurice Jarrosson (1714- ), notaire royal à Tartaras. Il épouse Colette Barrier.
Joseph (1757-1833), notaire royal à Tartaras. Le 19 juillet 1785 à Lyon/Saint-Pierre-et-Saint-Saturnin, il épouse Jeanne Marie Soulary.
Maurice Jarrosson (1786-1869). Veuf de Marie Cécile Froger, il épouse Anne Marguerite Bourbon en secondes noces le 14 janvier 1835 à Lyon.
Louis Jarrosson (1839-1897), industriel. Le 19 décembre 1866 à Lyon/2e, il épouse Jeanne Peyraud. De ce mariage naissent sept enfants. Veuf en 1884, il épouse en secondes noces Reine Marie Delorme, le 27 avril 1886 à Sainte-Foy-Les-Lyon.
(2) Maurice JarrossonMaurice Jaerrosson en 1966. (1890-1971) : de 1914 à 1919, il combat dans l'armée française, dans l'artillerie, une infirmité au pied droit l'empêchant de servir dans l'infanterie. De 1919 à 1955, il travaille dans la soierie familiale à Lyon. De 1919 à 1947, il est conseiller municipal de Sainte-Foy-lès-Lyon. Pendant l'Occupation, il s'oppose à ce que l'on mette le buste du maréchal Philippe Pétain dans la salle du conseil. « Vous serez bientôt obligés de le remonter au grenier », dit-il. Ce mot lui vaut d'être le seul conseiller municipal maintenu par le pouvoir gaulliste en 1944. En 1947, il est élu maire sans étiquette de Sainte-Foy-lès-Lyon. Il est réélu en 1953 et en 1959 et reste maire jusqu'en 1965, année où il se retire de la vie publique. Il favorise l'implantation des premiers logements collectifs à Sainte-Foy-lès-Lyon[1]. Le 7 juin 1919 à Lyon 2e, il épouse Germaine Rodet. De ce mariage, naissent neuf enfants de 1921 à 1934.
Régis Jarrosson (1925-2020)[2], ancien élève de l'École polytechnique (entrée en 1945[3]). Il épouse Hélène Cosseron de Villenoisy.
Bruno Jarrosson (1955), ingénieur et consultant, épouse Pascale Joffroy.