Discussion:Tom Morel
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[modifier le code]Bonjour à toute l'équipe ! je veux bien essayer de travailler sur le sujet dans un avenir proche. Une erreur dans votre bandeau d'introduction : Hélas, Tom Morel n'est pas mort lors de l'assaut des troupes allemandes et miliciennes sur les Glières...
Le Lieutenant Morel est mort stupidement, le 9 mars 1944, Morel et ses hommes investissent le village de Entremont, et prennent d'assaut l'Hotel de France, siège des GMR (police aux ordre de Vichy, commandée depuis Annecy par le Commandant Lelong). Après un combat intense, les maquisards s'introduisent dans l'hotel. Leur chef, le Commandant Lefèvre, garde un pistolet caché dans sa veste. Dans la confusion de la fouille des prisonniers, il le sort et tire sur Tom avant d'être lui-même abattu. Tom Morel s'écroule. Une seule balle en plein coeur, tirée par surprise, a mis fin à la vie du charismatique chef du maquis des Glières.
Celui qui conduisait le groupe Glières après la mort de Morel s'appelait Maurice Anjot, lui aussi Officier (capitaine) dans les chasseurs alpins.
Actuellement, le Quartier Militaire qui héberge le 27ième Bataillon de Chasseurs Alpins d'Annecy (dans lequel ont servi les deux chefs de Glières) s'appelle justement "Quartier Tom Morel". Il est installé dans la banlieue d'Annecy, dans la ville de Seynod (le Quartier De Galbert, ancien site du 27ème BCA situé centre ville a été revendu par le Ministère de la Défense, pour permettre la construction d'un nouveau quartier d'habitations).
Gérard Humbert 3 mars 2007 à 22:48 (CET)
Le 8 février 2008. Bonsoir Monsieur Humbert,
Tout d'abord, permettez-moi de vous demander si vous êtes parent (fils, petit-fils...) avec Henri Onimus-Humbert, adjudant en mars 1944 et commandant de la compagnie Humbert du bataillon des Glières ? Si oui, vous êtes peut-être, comme moi, membre de l'Association des Glières, mais, comme je ne me rends jamais aux réunions, aux cérémonies ou aux repas (à ma grande honte !), je ne vous connais pas...
Cela dit, je suis d'accord avec votre remarque, sauf que je ne pense pas que Tom soit mort stupidement, mais, à la rigueur, lui qui était si entier, si intrépide et qui croyait avoir "la baraka", à cause d'une confiance excessive envers un officier de police, certes français, mais vichyste (après l'exfiltration du bataillon des Glières, beaucoup de maquisards ont été dénoncés entre autres par les GMR prisonniers pourtant bien traités)...
Sur ce, le quartier Tom Morel est en fait situé sur la commune de Cran-Gevrier (colline de Gevrier) et non sur celle de Seynod dans la banlieue d'Annecy...
En outre, l'intendant de police et directeur des opérations de maintien de l'ordre en Haute-Savoie en mars 1944, Georges Lelong, n'était pas commandant (chef de bataillon ou d'escadrons), mais lieutenant-colonel de gendarmerie...
Quant à l'hôtel de France à Entremont, il n'était pas le "siège des GMR", mais celui de l'état-major du G.M.R. Aquitaine dont le commandant (grade de police) Lefèvre était le chef...
Cordialement,
Alain Cerri [1]
P.-S. Vous écrivez : Tom Morel s'écroule. Une seule balle en plein coeur, tirée par surprise, a mis fin à la vie du charismatique chef du maquis des Glières. En quoi est-ce stupide ? Ainsi, un seul coup d'escopette, tiré par surprise dans le dos, a mis fin à la vie du charismatique... chevalier Bayard en 1524... Ce sont les aléas de la guerre... Peut-être aurait-il été plus glorieux, pour l'image d'Epinal, que Tom se fasse tuer en s'élançant à l'assaut du P.C. du G.M.R. à la tête de la S.E.S. juste quelques instants auparavant... Alain Cerri (d) 8 septembre 2008 à 10:44 (CEST)
Le 16 mai 2008.
Cher Bob08, qui avez cru bon de changer "B.C.A." (bataillon de chasseurs alpins) en "BCA" (sic), je sais que, depuis belle lurette, les imprimeurs ne s'embêtent plus à mettre des points et que l'on trouve "BCA" (sic) au lieu de "B.C.A." dans les livres.
Pourtant, selon le fameux ouvrage de référence, Le bon usage. Grammaire française, de Maurice Grévisse (12e édition, Duculot, 1986), p. 151, § 111, a), 1° : "Pour une locution, on abrège chacun des mots avec autant de points qu'il y a de mots abrégés : P.S. = post scriptum [...]."
Page 271-272, § 189 : "Les sigles sont des abréviations qui sont constituées d'initiales, mais qui sont traitées comme des mots, soit qu'on donne aux lettres leur nom : une H.L.M., soit qu'on leur donne leur valeur habituelle : l'OTAN. Dans le second cas, on parle d'acronymes [c'est-à-dire de sigles prononcés comme des mots ordinaires]."
Page 273, § 190, a) : "Lorsqu'on donne aux lettres leur nom, on les écrit d'ordinaire en grandes capitales et on les fait suivre d'un point : ["B.C.A." et non "BCA", car il ne s'agit pas ici d'un acronyme, c'est-à-dire, je le répète, d'un sigle prononcé comme un mot ordinaire : "OTAN" et non "O,T,A,N.", mais "B,C,A," et non "Bssa" ou "Bka" comme on devrait prononcer si vous écrivez "BCA"].
A puriste, puriste et demi !
Cordialement,
Alain Cerri (d) 8 septembre 2008 à 10:44 (CEST)
Le 27 juillet 2008
Cher M. Humbert,
Je rejoins le propos de M. Cerri sur votre résumé descriptif de la mort de Tom. Je viens de finir le remarquable livre de Patrick de Gmeline, paru aux éditions Presses de la Cité en 2008 : Tom Morel, héros des Glières. Le lieutenant Morel n'est pas mort "stupidement", il est mort en héros.
Merci de corriger votre propos s'il vous plaît, même si vous n'avez pas totalement tort sur le fond.
Didier Morandi 27 juillet 2008 à 22:06 (CET)
retrait paragraphe
[modifier le code]J'ai retiré le paragraphe suivant :
La Seconde troupe du mouvement des Scouts Unitaires de France du groupe de Saint-Cloud (France, Hauts-de-Seine) porte son nom.
La Première troupe du mouvement Scouts d'Europe du groupe de Pont-Audemer (Eure, Normandie, France) porte son nom.
L'un des deux clans de routiers Scouts d'Europe de Paris porte son nom[1].
Nous lui devons, entre autres, l'un des plus beaux discours dans notre langue : Pour réussir.
«Pour réussir il faut vouloir de toutes ses forces avec un idéal bien défini. C’est à dire qu’il faut savoir où l’on veut se diriger, ce que l’on veut faire dans la vie. Votre premier but c’est d’entrer à l’école de votre choix. Tant qu’il n’est pas atteint, vous ne serez jamais en repos.
Mais à côté du concours inévitable qu’il faut réussir, il y a la vie, vous êtes des hommes, il faut penser et agir en homme, et presque tout de suite en chef. Quel que soit le métier qui vous appelle vous aurez à commander, car vous êtes ceux sur qui la France comptera. Vous ne vous déroberez pas et pour être un chef digne de ce nom, un de ceux qui referont la France, il faut se préparer dès maintenant. Vous devez être des forts physiquement, intellectuellement et moralement.
Dressez votre caractère, Trempez votre énergie en luttant contre vos défaillances.»
Lettre du Lieutenant Tom Morel aux Officiers de Saint-Cyr.
Je ne vois pas en quoi les troupes scoutes locale sont notables, ni en quoi ce discours est important 78.232.54.121 (discuter) 26 septembre 2015 à 17:48 (CEST)
Augmenter infos sur place religion dans sa vie ?
[modifier le code]Hello à tous,
cette biographie est étonnamment silencieuse sur la foi de Théodose Morel et sur l'impact décisif qu'elle a eu sur sa vie et ses décisions : ses biographes s'accordent à établir un lien direct entre sa foi et son action de résistant, entre autres. Je ne pense donc pas qu'il soit prosélyte ou biaisé d'introduire plus d'éléments en ce sens, dûment sourcés, dans la page, voire même y consacrer une section.
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