Discussion:Techniques de l'estampe

Reformulation ?

Les techniques d'impression et l'imprimerie sur tissu existent depuis le vie siècle ; si les Japonais et les Chinois semblent avoir été les premiers à trouver des techniques pour reproduire des images, ce n'est qu'au xive siècle que des techniques de gravure en tant que telles apparaissent en Occident

Ainsi reformulé, on comprend mieux ?

--Aldine Esperluette (discuter) 7 février 2017 à 13:31 (CET)

Bonjour Aldine Esperluette,

Ah, je n'avais pas compris que c'était la structure de la phrase qui n'allait pas.

En fait, ce que je veux dire, c'est que les techniques d'impression existe depuis l'apparition de l'imprimerie sur tissu (qui date du XVI^e siècle).

Cordialement, — Daehan ^[p|d|d] 7 février 2017 à 14:13 (CET)

Désolée, je me suis mal exprimée ;-) Est-ce que la phrase est correcte ainsi ?

--Aldine Esperluette (discuter) 7 février 2017 à 14:26 (CET)

Nickel, merci ;) — Daehan ^[p|d|d] 7 février 2017 à 14:28 (CET)

Technique de la "cravate"

Bonjour, En répertoriant mes eaux-fortes de Daubigny, j'ai été confronté plusieurs fois avec une mention indiquant "à la cravate". Michel Melot, dans "L'œuvre gravé de Boudin, Corot, Daubigny, Dupré, Jongkind, Millet, Théodore Rousseau" publié par les Arts et Métiers graphiques en 1978, indique page 273 dans la note "54 - Lever de Lune dans la vallée d'Andilly" : "Dans sa recherche pour trouver un style original de gravure, Daubigny s'est essayé à différentes techniques, le vernis mou (n°49) et l'aquatinte (n°7), mais sans que ces deux procédés capables de rendre un certain modelé semblent lui avoir donné satisfaction. Il maîtrise ici un procédé qui lui est propre, ou que, du moins, il est le premier à avoir systématiquement développé (déjà dans nos n°7 et 12); et qu'il appelait "la cravate". C'est une façon d'obtenir un effet d'aquatinte grâce à l'emploi d'un vernis mou sur lequel on applique un morceau de soie. En se décollant le morceau d'étoffe laisse l'empreinte de sa trame sur le vernis mou et, si l'opération est conduite délicatement, cette trame apparaîtra à la morsure, donnant à l'encrage une teinte. Nous assistons là à une des premières recherches de "cuisine" que les peintres-graveurs de la seconde moitié du siècle multiplieront à l'envi et qui sont caractéristiques de l'esprit dans lequel la gravure originale se développe, soucieuse d'un langage technique renouvelé, mais à partir de moyens manuels ou artisanaux qui font partie du langage de l'artiste, et l'expriment autant que son style de dessinateur." Je manque de connaissance technique pour alimenter la page... Je télécharge parallèlement l'eau-forte "Lever de lune dans la vallée d'Andilly". Bien cordialement, MAS Estampes (discuter) 10 février 2022 à 15:52 (CET)

Bonjour MAS Estampes ,

Merci pour ce message, c'est pour ça que je trouve l'estampe fascinante : l'ingéniosité des artistes pour trouver de nouvelles techniques !

Si on trouve suffisamment de sources, on pourrait créer l'article sur cette techniques. Par contre, quel nom aurait-elle ? Eau-forte à la cravate ? Aquatinte à la cravate ?... Daehan ^[p|d|d] 10 février 2022 à 16:53 (CET)

Henriet indique "eau-forte avec cravate" dans le catalogue raisonné de Daubigny n°47 MAS Estampes (discuter) 10 février 2022 à 17:09 (CET)

Estampe et gravure sur bois

Bonjour Daehan, MAS Estampes et Aldine Esperluette pardon de mettre les pieds dans la plat sur ce sujet. Ma question est la suivante : quand on consulte l'article gravure sur bois, on comprends que cette technique remonte bien avant l'invention de la gravure à partir de métal. Est-ce qu'une image obtenue à partir d'une matrice en bois est une estampe ? Bien à vous, Marc-AntoineV (discuter) 9 janvier 2024 à 12:02 (CET)

Bonjour @Marc-AntoineV,

Si c'est sur papier (ou équivalent), oui. Mais avant l'impression sur papier, il y avait l'impression sur textile : tu fais référence à ça ? Daehan ^[p|d|d] 9 janvier 2024 à 12:12 (CET)

Ok. Donc une image sur papier obtenue grâce au bois gravé est une estampe. Mon problème ici est que l'article commence directement avec les productions en Occident — or, sont conservées des images produites en Asie sur papier, ainsi que des matrices (en bois, et aussi en métal, sous forme de moule fondu) assez remarquables : sur le plan du concept, reproduire une image, la multiplier, n'est pas une invention occidentale. Les impressions sur papier existent en Asie bien avant que de telles productions n'apparaissent en Europe : elles sont artisanales, artistiques (livres) mais aussi quasi-industrielles (billets). Ne devrait-on pas préciser dans le titre, le RI et l'intro, qu'il s'agit d'examiner les techniques d'estampe en Europe dans le domaine artistique ? Ce qui sous-entend d'ailleurs l'apparition du concept d'auctorialité (anonyme ou pas, collectif ou singulier) ? Marc-AntoineV (discuter) 9 janvier 2024 à 12:27 (CET)

Complètement d'accord. N'hésite pas : cet article est une ébauche.

Pour info, j'avais traduit ces articles : Impression au bloc de bois et Histoire de l'imprimerie en Extrême-Orient, qui devraient donner du grain à moudre Daehan ^[p|d|d] 9 janvier 2024 à 12:51 (CET)