Discussion:Sous-station de traction
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Quelques erreurs[modifier le code]
Si je ne m'abuse, les pertes en ligne ne sont pas proportionnelles à l'intensité, mais au carré de celle-ci.
D'autre part, la puissance d'une sous-station qui délivre du courant alternatif ne s'exprime pas en Watts (W) mais en Volts.Ampères (VA) compte tenu du déphasage tension/intensité.
La vraie raison de l'adoption de moteurs à courant continu série à collecteur n'est pas tellement un problème d'isolement mais un plutôt un problème de commutation au niveau du collecteur. D'autre part, à l'origine, seul le moteur à courant continu série permettait d'obtenir un couple maximum au démarrage contrairement aux moteurs asynchrones ou synchrones à couple très faible ou nul au démarrage qui les rendaient impropres à un usage pour la traction.
Au sujet de l'encombrement des moteurs il est relativement faible comparé à un moteur Diesel par exemple et ne constitue pas vraiment une limitation. Les CC 6500 possédaient tout de même 2 moteurs de 12 tonnes chacun.
Cordialement, --Géofer (d) 5 novembre 2012 à 13:20 (CET)
== Réponse à Géofer ==
La section «Sous-station de traction» est un premier travail que j'ai entrepris après un stage de formation Wikipédia. Il n'est pas achevé et je vous remercie pour vos remarques.
«Pertes en ligne» : j'ai effectivement utilisé cette expression qui peur prêter à confusion, je pensais à ce que je vais développer plus loin, les chutes de tension en ligne qui sont effectivement proportionnelles à l'intensité. Derrière le mot «pertes» on peut effectivement comprendre pertes énergétiques et elles ont bien proportionnelles au carré de l'intensité. Je vais corriger.
«Puissance d'une sous-station en alternatif» : la puissance utile la traction, puissance active, s'exprime en watts, c'est la puissance de définition des équipements qui s'exprime en volts-ampères.
«Moteurs de traction» : je n'ai pas écrit que le moteur à collecteur avait été choisi pour des questions d'isolement et j'ai précisé qu'à l'origine il pouvait être utilisé en traction sous des fréquences réduites (16,66, 25 Hz), c'est effectivement la commutation qui imposait cette limitation. Les moteurs à induction ayant une vitesse proportionnelle à la fréquence pouvaient difficilement être utilisé en traction, sauf avec des astuces électriques (résistance statoriques) ou des groupes convertisseurs. Ce type de moteur a néanmoins été utilisé dans plusieurs applications, particulièrement en Italie. Mais, depuis plus de trente ans, tous les engins construits utilisent des moteurs à induction polyphasé alimentés en fréquence variable grâce aux actuelles électroniques de puissance.
«Encombrement et isolation» : on ne peut pas comparer les moteurs électriques de traction, multiples sur un engin, avec le moteur Diesel en général unique. Mais même placé dans la caisse (cas des 2D2) et à fortiori dans les bogies l'espace disponble, compte tenu des transmissions, reste restreint ce qui conduit à des engins très compacts. Et c'est bien cette compacité, avec les faibles distances entre composants sous tension, qui a imposé cette limite de 2000 V que j'ai citée en ajoutant que, pour les électrifications sous continu 3000 V, les moteurs ne tournaient jamais sous cette tension mais étaient isolés à ce niveau. Et, à ma connaissance, aucun des moteurs à induction actuels ne tourne à plus de 2000 V.
Cordialement. --Utilisateur:Michel Comte 25 janvier 2013, 18 h 10
Fusion de l'article avec l'article parent[modifier le code]
Bonjour,
Cet article est très détaillé mais il rentre en doublon par rapport à l'article parent Système d'électrification ferroviaire. Il faudrait fusionner la section "Les différents systèmes d'électrification" celle de l'article parent. De même pour la section "Le circuit de traction" qui pour moi doit faire l'objet d'un article à part ou être remonté aussi dans l'article parent.
Je me suis permis d'ajouter un embryon de section à propos du Principe de fonctionnement des sous-stations pour recentrer cet article sur son objet principal.
Cordialement, Tipounk (discuter) 22 février 2024 à 16:05 (CET)