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Discussion:Sexualité dans le judaïsme

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Cette ébauche a le mérite de poser la question de la sexualité telle qu'elle est perçue dans la tradition juive. Cependant, j'y lis, à cette date, énormément de maladresses qui rendent l'article dogmatique et brutalement réducteur, voire choquant.

Conceptions traditionnelles et théologiques : Il faut que l'auteur rappelle dans quelle tradition rabbinique il se place( orthodoxe?), en précisant comment les différentes notions sont décrites, dans quels textes précisément, et sont interprétées selon les differents courants du judaïsme pour être intégrés au dogme.

Même si les rabbins orthodoxes placent la sexualité des hommes exclusivement dans le temps du mariage dans le but unique de la procréation, on l'a comprit, d'autres courants, tout aussi légitimes, du judaïsme ont pu évoluer avec leur temps et sont arrivés à reconnaitre que la sexualité existe tout au long de la vie des individus, avant, pendant et après le mariage.

Aspect historiques, sources et influences entre civilisations : héritage mésopotamien, babylonien, une comparaison avec la tradition grecque serait formidable, quelle fut notamment l'apport conceptuel durant l'hellénisation d'Israël à partir de 332 av.JC?? et évidement romain.

Une comparaison avec les religions monothéistes ( Christianisme/Occident chrétien, l'Islam/Umma) serait pertinente.

Conceptions Modernes : Des juifs se sont rendus célèbres par leur abondante contribution à la connaissance moderne de la sexualité, au travers d'une oeuvre picturale, littéraire, cinématographique, théologique,ou psychologique ou encore médicale.

Certaines contributions se sont simplement attachées à décrire les effets de la tradition juive orthodoxe sur le groupe ou l'individu confronté à la réalité de la sexualité.

L'article est plutôt mal aux point en effet. Mais je ne pense pas que cela soit un TI. Nahoum (d) 16 mai 2010 à 19:40 (CEST)[répondre]
On peut s'aider de: he:יחסי מין#המין ביהדותen:Sex_and_religion#Judaism.Nahoum (d) 16 mai 2010 à 23:16 (CEST)[répondre]

À reprendre

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La base de la sexualité dans le judaïsme est le couple marié hétérosexuel. Comme dans les autres religions du livre, l’homosexualité est proscrite, puisque, selon les textes, le but ultime du couple est la procréation. Ceci étant posé, il est reconnu que, pour être suffisamment complices, mari et femme doivent être heureux ensemble. Et que ce bonheur repose de manière non négligeable sur l’harmonie sexuelle. On dit même que lorsqu’un couple atteint l’orgasme, Dieu est présent dans l’étreinte des partenaires. De quoi insister sur la fréquence des relations, objet d’une codification précise. Sans souci d’argent et avec du temps libre, un homme doit donner la possibilité à sa femme de faire l’amour tous les jours. Lorsqu’il travaille loin de sa femme, c’est une fois par semaine… Autre exigence touchant l’homme, il ne peut se refuser à sa femme si elle lui fait comprendre (pudiquement) qu’elle a envie de lui. Il est même dit qu’une épouse « entraînant » son mari de manière décente aura des enfants sages et justes.

Pendant l’amour, les partenaires peuvent se regarder et se toucher où bon leur semble. L’homme n’a cependant pas le droit de regarder directement le sexe de la femme, ni de l’embrasser, considération toutefois discutée, beaucoup l’autorisant. La femme, quant à elle, peut faire ce que bon lui semble. Masturbation et fellation sont donc autorisées, à condition de ne provoquer aucune éjaculation extra-vaginale, considérée comme une perte grave. C’est la raison pour laquelle un homme se masturbant est considéré comme fautif.

Le plaisir féminin est aussi important pour les sommités rabbiniques : il est primordial que l’époux évite toute précipitation dans l’amour, pour permettre à sa femme d’arriver à l’épanouissement physique. Pour donner entière satisfaction à sa partenaire, l’homme est autorisé à lui parler pendant leur rapport. Il lui est surtout conseillé de ne négliger ni préliminaires, ni mots doux et caresses. Précision parfois énoncée crûment lorsqu’il est question de sécrétions vaginales.

Récompense suprême, il est parfois suggéré que celui qui aura su faire jouir sa femme pendant l’amour sera père d’un garçon. Après les rapports, certains sages considèrent que l’homme, pour lui montrer qu’il tient à elle, doit rester une demi-heure auprès de sa femme. La position classique du « missionnaire » est recommandée, la tradition tolérant que la femme chevauche l’homme, ou que, « allongée, elle donne le dos à son mari ». En revanche, les positions assises ou debout, ainsi que la sodomie, ne sont autorisées que par quelques rabbins dont Maïmonide quand d’autres les interdisent.

Cet esprit plutôt libéral est toutefois encadré par des interdits majeurs. D’abord, le contact physique est interdit lorsque la femme a ses règles et dans les sept jours qui suivent. Un couple pratiquant s’abstient donc environ douze jours par mois. Il est aussi défendu d’avoir des rapports sexuels pendant la journée, à moins d’être dans une chambre totalement obscure. La rue, la forêt ou les espaces publics sont proscrits. Toutes ces règles trouvent leur raison dans la « pudeur » et le devoir de dominer ses pulsions. C’est ce que souligne une célèbre interprétation du verset « Soyez saints car je suis saint, moi l’Éternel votre Dieu », donnée par le rabbin médiéval Nahmanide : « Ne buvez pas comme des ivrognes, ne faites pas l’amour comme des coqs. »


Suppression de la seule information sourcée

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Je suis très surpris de cet article.... Il n'y a aucune source. Je parle de source scientifique bien sur...... J'en ai rajouté une première avec une référence de très haut niveau (à mettre le lien de l'article anglais je ne sais pas faire svp https://en.wikipedia.org/wiki/Benjamin_Brown_(scholar) .... qui a immédiatement été supprimée ! Michel1961 (discuter) 15 mai 2019 à 08:30 (CEST)[répondre]

J'ai rajouté plusieurs sources de référence.... toujours supprimées !!!! comment demander aux personnes de discuter sur cette pdd ??? Michel1961 (discuter) 15 mai 2019 à 17:14 (CEST)[répondre]
Cet article est mauvais à se taper la tête contre les murs, et depuis 2010 apparemment, tout le monde s'en fout. C'est aussi ça Wikipédia!

Il y a des phrases qui ne veulent rien dire

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Comme celle-ci: Le judaïsme est bien plus modéré en ce qui concerne la masturbation féminine, jusqu’à la permettre[réf. nécessaire], bien que certains décisionnaires l’aient interdite

Ce qui revient à dire "c'est permis, mais y en a pour qui c'est interdit". La formulation est limite comique. Mais ça ou ne rien dire, c'est pareil.

S'il y avait un concours du plus mauvais article, celui-ci pourrait concourir!

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Cet article résume tout ce qu'il ne faut pas faire sur Wikipédia et c'est un long monologue de l'auteur ou des auteurs qui analysent les textes et livrent leurs opinions sur ces textes. Ils se posent en exégètes et en rabbins, mais jamais on ne voit de vrais rabbins ou des universitaires tout au long de cet article. Franchement, j'ai bien envie de le proposer à la suppression tellement c'est un mauvais exemple, mais le thème, bien que mal traité, est quand même intéressant. Mais tout est à réécrire!