Discussion:Réfraction

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Sans titre[modifier le code]

Snell : Hollandais, décédé avant d'avoir publié les résultats qu'il avait montré à Descartes. --Dbfls 21 mai 2006 à 16:23 (CEST)[répondre]


Bonjour,
Les commentaires qui viennent d'être ajoutés concernant le paragraphe "réfraction" et l'illustration avec le crayon sont incompréhensibles : soit à modifier, soit à déplacer soit, sinon, à... supprimer
--Dbfls 26 mai 2006 à 11:05 (CEST)[répondre]

J'avoue que j'ai mis un peu de temps à comprendre les explications et qu'il faut les réécrire. Je pense que l'auteur veut dire que l'observation d'un crayon apparement cassé est biaisée car ce qui importe est le parcours de la lumiere (i.e. d'un point du crayon à l'oeil de l'observateur). Comme la densité de l'eau (milieu 2) est plus dense que l'air (milieu 1), l'angle theta 2 (par rapport à la normale de l'interface) est plus faible que l'angle theta 1 (ce qu'appelle l'auteur cassure vers le bas). L'exemple du crayon n'est donc pas un bon exemple car il donne l'impression que theta 2 > theta 1 (j'ai l'impression de ne pas avoir ete clair la dessus moi meme :-) . andre 26 mai 2006 à 13:45 (CEST)[répondre]
Je suis d'accord pour dire que les explications sont mal formulées, mais l'exemple du crayon est tout à fair bien à mon goût. Cela permet de faire le lien entre la notion de réfraction et la vie de tous les jours. Il faut juste reformuler l'explication. --fffred 27 mai 2006 à 00:23 (CEST)[répondre]
J'ai compris. D'ailleurs, c'est le même "pb" quand on explique l'ordre des couleurs de l'arc-en-ciel, si on se fie à la trajectoire des rayons on donne l'inverse. C'est effectivement l'effet "en retour" en qq sorte qui importe. En fait, je suis tout à fait d'accord pour rajouter l'explication du crayon brisé, car elle est souvent absente et, pire, fausse... Et comme, selon moi, un dessin vaut toujours mieux qu'un long discours, je vais faire un schéma (et un petit discours). --Dbfls 27 mai 2006 à 08:33 (CEST)[répondre]
Voilà. J'ai mis le schéma avec les explications qui vont avec. Par contre, la phrase avec la goutte de lait... Je l'ai ôtée mais je la recopie ci-dessous ; peut-être peut-elle être clarifiée également. --Dbfls 27 mai 2006 à 08:57 (CEST)[répondre]

Une remarque amusante : si l'eau était légèrement diffusante (une goutte de lait), pour "matérialiser" le trajet du rayon réfracté, le point d'observation restant celui d'où l'on observait le crayon, la cassure du rayon, preuve du phénomène de base, en serait visuellement atténuée...puisque son image, à l'instar de l'image de la partie immergée du crayon, serait "remontée" vers le haut : l'observation du phénomène de base est minimisée par ses propres effets !! La "preuve" par le crayon brisé fait partie des idées reçues..


Au lieu de jouer au yo-yo, les "acteurs" devraient lire la page de discussion !! --Dbfls 30 mai 2006 à 20:27 (CEST)[répondre]

Lorsqu'on examine la figure de l'imagerie du crayon brisé, il est assez étonnant de voir A et A' sur la même verticale( ou quasiment ):je ne voudrais pas être caustique ...mais quand même !

Bonjour inconnue
Le "quasiment" de votre phrase est de rigueur... Vous aurez remarqué, si vous avez lu le texte qui accompagne (?) qu'il n'y est pas question de verticale... Par ailleurs, cette partie a été rajoutée pour compenser les insuffisances d'une rédaction un peu hasardeuse. Enfin, cette image a été faite à partir d'un logiciel de simulation d'optique géométrique, le même qui a été utilisé pour faire les images qui sont dans la partie dioptre de la page optique géométrique (que vous n'avez sans doute pas vue). Aux limitations de résolution imposées par l'écran, la figure est exacte. Si vous pensez qu'il est important de faire apparaître cet aspect caustique que vous soulignez, proposez une meilleure illustration au lieu d'ironiser. Merci d'avance ! --Dbfls 31 mai 2006 à 20:57 (CEST)[répondre]

Ignarde que je suis : j'avais pas lu à coté du dessin...mais, quand même, comment qui fait ce Logiciel, j'aimerais bien savoir pour faire pareil . Promis, je lirai la réponse !

Voir ici : http://www.artkaos.net/contenu/cours_de_photo/07.04.pdf Jean-Jacques MILAN 1 juin 2006 à 21:55 (CEST)[répondre]
Pour ce qui me concerne, j'utilise RayTrace (http://members.ozemail.com.au/~imesoft/), mais il en existe d'autres évidemment. Le principe est tout simplement un "raytracing" basique qui utilise les lois de Snell-Descartes à chaque intersection d'un rayon et d'un dioptre, quel qu'il soit. En fait ce qui est extraordinaire, c'est du côté de la physique, à savoir : comment se fait-il qu'il suffise de trouver l'intersection de "rayons" pour avoir l'image ?...
Mais que l'inconnue se crée un compte et une page utilisateur !  ;-) --Dbfls 5 juin 2006 à 17:18 (CEST)[répondre]

--bonjour chers contributeurs quelqu'un a-t-il une équation de la jolie courbe bleue de P' dans l'eau, ou tout au moins les équations qui la définissent? je suppose que c'est une strophoïde ou un cisso¨de, mais j'ai la flemme de faire des calculs à bientôtMichelbailly 29 juin 2006 à 11:16 (CEST)[répondre]

D'après Maple, ca donne :  ;)
D'ailleurs ca ne peut être ni une strophoïde, ni une cissoïde, car elle passe par 0 (pas d'asynmptote) --fffred 29 juin 2006 à 13:25 (CEST)[répondre]

regroupement[modifier le code]

pourquoi ne pas regrouper les constructions de descartes et huygens , dire que celle de huygens se base sur la célérité de la lumière dans le milieux ( contrairement à celle de descartes ) revient à ignorer que l'indice est proportionel à l'inverse de la célérité , puisque descartes utilise l'indice , la construction de decartes est donc la même sauf que le cerle 1 vient avant le 2 . En gros pouquoi ne pas dire qu'il s'agit de deux approches identiques dont l'un se base sur la vitesse et l'autre l'inverse de la vitesse , ce qui entraîne la commutation des cercles correspondants ?

car ce ne sont pas deux approches identiques. Ce n'est qu'a posteriori que l'on fait le lien entre un indice purement expérimental de Descartes et une onde dont la célérité dépend du milieu. Le tracé de Huygens repose sur l'idée des ondelettes qui n'est pas l'onde périodique que l'on connaît depuis Fresnel, puis Maxwell. Rassembler les deux, risquerait ramener ces "constructions" à de pures règles formelles et a-historiques, et sinon, demanderait d'expliciter à ce niveau le lien entre les rayons et les surfaces d'ondes. Intéressant, voire fondamental, mais au-delà de l'article présent. Me semble-t-il... --Dbfls 10 juillet 2006 à 20:41 (CEST)[répondre]


Pb avec l'analogie[modifier le code]

J'ai supprimé de la page de l'article le paragraphe sur l'analogie que je recopie ci-dessous. Telle quelle l'analogie est fausse et trompeuse : on se retrouve avec aucun changement de direction mais un front d'onde qui ne serait plus perpendiculaire à la direction de propagation... --Dbfls 11 juillet 2006 à 18:45 (CEST)[répondre]


Les athlètes qui nagent progressent moins vite que ceux qui courent ; ceci entraîne un changement direction de la ligne formée par les athlètes lorsqu'ils changent de milieu

Pour comprendre en quoi un changement de vitesse entraîne un changement de direction, on peut faire une analogie avec la situation mécanique suivante : des athlètes doivent effectuer une course sur la plage, puis nager. Ils partent en ligne (non parallèle au rivage) et vont tous à la même vitesse, mais ils nagent plus lentement qu'ils ne courent. La ligne formée par les athlètes est le "front d'onde", le rivage étant donc le dioptre. On voit alors que ceux qui ont rencontré la rive en premier et ont commencé à nager progressent plus lentement que ceux qui sont encore sur la plage. La conséquence immédiate est que le front d'onde va être modifié et lorsque tous les athlètes seront en train de nager, le front d'onde sera toujours une droite, mais la direction aura changé.


Chercher des analogies par contre c'est pas forcement idiot mais ce n'est pas évident. Ce changement de ligne de front ne nous interresse pas ici. Mais je vois tout de suite une modification possible de cette analogie en attachant les nageurs entre eux : une voiture dont un flan seulement passe dans une grosse flaque d'eau est légèrement déviée. Si la voiture arrive sur un front d'eau de biais, un flan sera freiné un peu avant l'autre, créant la déviation. La voiture tourne autour de la roue bloquée en première. Elle va augmenter son angle avec la normale au front d'eau. En passant de l'air à l'eau, le train de roues se comporte donc comme la lumière. Et en ressortant, même chôse, les roues qui sortent de l'eau les premières entrainent un virage autour des roues toujours dans l'eau. L'indice de réflexion est analogue à la résistance au frottement. Ce qui manquait aux nageurs, c'etaient une liaison qui fait que leurs différences relatives de vitesse provoquent des virages ce qui n'aurait pas ressembler à grand chose comme métaphore. Le front de nageurs prend une direction normale à lui même etait le postulat manquant et non naturel. Il est plus naturel pour un train de roues d'avoir une direction maintenue perpendiculaire à l'axe des roues. Quelqu'un pour se servir de cette analogie ? Lacrymocéphale 23 avril 2008 à 15:22 (CEST)[répondre]

Indice du milieu variant progressivement[modifier le code]

Dans le cas d'un changement brusque d'indice, le parcours du rayon est une ligne brisée. Si le changement est progressif (mais avec des surfaces d'indice égal bien planes), le parcours en ligne brisée est remplacé par un parcours en courbe, en gardant le principe que le rayon se rapproche de la normale à mesure qu'il pénètre dans des couches d'indice plus élevé.

En sens inverse, le rayon s'écarte de la normale à mesure qu'il pénètre dans des couches d'indice moins élevé. La réflexion totale avec un changement brusque de l'angle est remplacée par une courbe avec un sommet arrondi et le rayon repart "vers le bas" (dans le cas du milieu dont l'indice diminue avec l'altitude).

On peut penser ces deux cas à partir du cas simple air-eau, en remplaçant le changement brusque d'indice par une succession d'indices rapprochés pour une suite de couches minces remplaçant la surface de l'eau. Les lignes brisées à un seul angle net sont remplacées par des lignes brisées avec une succession de changements de direction de très peu d'importance chacun. Les parcours sont alors des polygones très proches d'une courbe. Martin Dubreil (discuter) 14 décembre 2023 à 18:58 (CET)[répondre]