Discussion:Pierre Bédier

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Attaques non-encyclopédiques[modifier le code]

Bonjour, je remarque que Bédier se fait lancer pas mal de petits piques sur cet article, il y a donc un besoin de neutraliser les propos et le récit. Dans un premier temps, voici un éléments à retirer car de toute évidence, le classement évoqué n'a aucun fondement, aucune crédibilité. Peut-être que ce M. Bédier est un pitre député, mais il faut pouvoir l'affirmer avec des sources un peu plus costauds que celle d'un journaliste en quête de visibilité.

Le 15 avril 2009, un classement établi par le journaliste Vincent Nouzille fait de Pierre Bédier le premier des députés les moins actifs de l'Assemblée nationale sur la période de juillet 2007 à avril 2009. Le classement est établi grâce à l'addition des questions posées, des propositions de lois et des interventions en séance et en commission[1].

Cassenoisettes (d)), 13 juin 2012 12:01

De plus, la partie controverses, bien qu'indiscutablement valide, est beaucoup trop développée alors qu'il existe un article spécifique à cette affaire. Une fois de plus, la neutralité passe par la concision et l'essentiel des informations partagées. Voici les contenus que je retire, qui figurent de toute manière sur l'article de l'affaire en question, et qui n'ôte aucunement l'info nécessaire à la compréhension des évènements:

1. Les liens entre Pierre Bédier et Michel Delfau étaient très anciens et étroits. Pierre Bédier avait été associé dans le passé avec Michel Delfau dans la société de communication DB2A (Delfau, Bédier, Ancelet Associés) domiciliée jusqu'en 1989 à Paris, au 65 rue de Rivoli, dans des locaux sous-loués à une société de Michel Delfau. L'expert comptable de DB2A n'était autre que Jean-Pierre Pécriaux, également comptable des sociétés de M. Delfau. Par ailleurs différentes sociétés appartenant à celui-ci étaient clientes de DB2A, comme AiNett (société de nettoyage impliquée dans l'affaire Bédier) AIS (société de gardiennage) ou encore Promotess. Par ailleurs DB2A entretenait également des liens étroits avec Jacques Masdeu-Arus et Gilles Forray, puisqu'elle avait pour principal client, à la fin des années 80, la Ville de Poissy dont elle assurait la communication au travers d'une association "ad hoc". (anecdotique, déjà présent sur la page de l'affaire)

2. Dans cette affaire, Pierre Bédier est soupçonné de « recel d'abus de biens sociaux » et de « corruption passive ». Il est poursuivi avec trois autres prévenus, parmi lesquels Jacques Masdeu-Arus, lui aussi député (UMP) des Yvelines et maire de Poissy. (répétitif)

3. Le 25 septembre 2006, Pierre Bédier comparaît devant le tribunal correctionnel de Paris. Le 24 octobre 2006, au terme d'un réquisitoire de trois heures, la procureure Marie-Christine Daubigny a demandé 18 mois de prison avec sursis, 80 000 euros d'amende, assortis d'une peine complémentaire de trois ans de privation de droits civiques, contre Pierre Bédier.

4. Le 7 février 2007, Le Canard enchaîné révèle la disparition de pièces à conviction (scellés) de l'affaire Bédier au pôle financier du tribunal de Paris. (anecdotique)

5. « parce que, naturellement, je n’ai pas commis ce pour quoi cette décision judiciaire a été prise ». L'appel a un effet suspensif (inutile ici)

6. Le 20 mai 2009, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Pierre Bédier, confirmant ainsi sa condamnation à 18 mois de prison avec sursis, à une amende de 25 000 euros et à trois ans de privation des droits civiques, entraînant une peine d'inéligibilité de six années pour « corruption passive » et « recel d'abus de biens sociaux ». Pierre Bédier perd ainsi son mandat de conseiller général et de président du conseil général des Yvelines[1]. Le jour même, il annonce sur son blog qu'il va saisir la Cour européenne des droits de l'homme[2]. (répétitif)

7. Le 22 mai 2009, conformément au code électoral, la préfète des Yvelines le démet de ses fonctions de conseiller général et de président du conseil général, entraînant la nomination de Christine Boutin (ancienne première vice-présidente du conseil général), à la tête de l'assemblée départementale, dans l'attente d'une élection cantonale partielle à Mantes-la-Jolie[1]. (répétitif)

Cassenoisettes (d)), 13 juin 2012 12:31

Guerre d'édition[modifier le code]

Maintenant que le bandeau "guerre d'éditions" a été mis en place, j'attends les arguments des personnes qui ont provoqué cette situation génante. Je ne suis pas du tout arrêté sur la version finale que cet article doit avoir, mais je fais simplement face pour l'instant à des personnes qui n'argumentent pas du tout leurs choix, alors que je m'en donne la peine... Cassenoisettes (d), 13 juin 2012 14:19

Bon... --Cassenoisettes (d) 27 juillet 2012 à 12:10 (CEST)[répondre]

Nouvelle guerre d'édition[modifier le code]

A/Aux IP(s) qui tentent d'ajouter des informations non-sourcées, merci de sourcer vos ajouts correctement, de passer par la page de discussion en cas de conflit, et de ne pas passer outre la communauté Wikipédia. Merci d'avance. Kethu (d) 4 juillet 2013 à 11:21 (CEST)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 1 lien(s) externe(s) sur Pierre Bédier. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 11 avril 2018 à 19:19 (CEST)[répondre]