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Discussion:Parsec

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Hohenheim11, pour la recommandation de Fondation d'Asimov, c'est un avis subjectif...

Apatmir 30 janvier 2007 à 14:17 (CET)[répondre]

J'ai retiré la phrase qui suit le calcul du parsec, puisque ce calcul se base sur l'u.a. qui est une notion, certes déduite de, mais désormais indépendante de l'orbite terrestre exacte. J'ai aussi supprimé le premier calcul du parsec qui faisait double usage.Lady9206 29 juillet 2007 à 00:11 (CEST)[répondre]

Distance des astres courants

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"L'étoile [...] Proxima Centauri, se trouve à 1,316 parsec [...] Les distances des autres objets célestes n'appartenant pas au système solaire sont bien plus grandes et se mesurent couramment en kiloparsecs (symbole kpc) ou mégaparsecs (symbole Mpc)."

Il y a un risque de confusion : les "autres objets céleste" ne sont pas clairement définis et on pourrait croire qu'on se limite aux astres visibles à l'oeil nu voire aux seules étoiles visibles. La plupart des astres visibles hors système solaire ont des distances de quelques dizaines de parsec, parfois quelques centaines. il vaudrait mieux préciser que les distances des galaxies s'expriment en mega parsec, voire giga parsec, que la plupart des étoiles visibles ont des distances inférieures au kilo-parsec ... etc. Baldodo (d) 10 février 2008 à 16:06 (CET)[répondre]

Erreur dans le premier dessin

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On lit "motion parallaxe apparente", erreur de traduction du même dessin de la wiki anglophone... ApprentiMiam (d) 17 mars 2010 à 14:33 (CET)[répondre]

Ce schéma me semble très perturbant. Le terme étoile proche imaginaire désigne une étoile qui n'existe pas, dans la réalité, ou une étoile qui n'existe pas, dans le schéma ? (j'espère que vous comprenez ce que je veux dire ... ^^') Les étoiles distantes représentent quoi exactement ? Existent-elles (dans le schéma) ? Elles ne sont pas visibles depuis la Terre séparément, n'est-ce pas ? Je remercie d'avance quiconque m'éclairera ...

Je suis également perturbé par ce schéma. Je ne vois pas ce que vient faire "étoiles éloignées" dans le schéma, et cela laisse croire que l'image en parallaxe de l'étoile proche est une étoile éloignée réelle (je pense que c'est le pb exposé ci-dessus), qui semble avoir une orbite réelle. En fait c'est plus un schéma pour expliquer le calcul de distance d'une étoile à partir de la parallaxe, qu'un diagramme de définition du parsec, ce qu'est en réalité le deuxième schéma qui est beaucoup plus clair (et plus simple). Malheureusement, on ne peut pas le remonter facilement, car il est utilisé dans la section calcul. Je vais essayer d'améliorer tout cela. --Jean-Christophe BENOIST (d) 29 mai 2012 à 13:45 (CEST)[répondre]


Distance des astres courants II, le retour

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Je me permets de reprendre à mon compte une observation, après un répit de presque 5 ans (ce qui ne manque pas d'être inquiétant). La phrase

« L'étoile la plus proche du Soleil, α Cen C (Proxima Centauri), se trouve à 1,316 parsec (4,28 années-lumière). Les distances des autres objets célestes n'appartenant pas au système solaire sont bien plus grandes et se mesurent couramment en kiloparsecs (symbole kpc) ou mégaparsecs (symbole Mpc ) »

est en effet source de confusion, en tout cas d'imprécision. Car si on respecte la structure de la langue française, cela signifierait que parmi les objets n'appartenant pas au système solaire, il y a d'une part Proxima Centauri (à 1,316 pc), et d'autre part tous les autres qui sont à des distances « bien plus grandes ». Cela peut être considéré comme faux car, ainsi que Baldodo l'a fait observer, il y a de nombreux objets à des distances de quelques dizaines de parsecs.

Par ailleurs, c'est plutôt intuitif de noter qu'il y a plus d'objets lointains que d'objets proches ! Si la répartition des objets dans l'univers était uniforme, un simple calcul de coin de table nous montrerait qu'il y aurait (à la louche) 30 000 fois plus d'objets à des distances comprises entre 1000 et 1 010 pc que d'objets à des distances inférieures à 10 pc : simple résultat de géométrie à trois dimensions !

Il me semble donc que, pédagogiquement, il serait judicieux d'expliciter et développer la remarque de Baldodo, afin de fixer les idées d'un lecteur néophyte et surtout donner des ordres de grandeur. On pourrait imaginer une rédaction du type :

« L'€™étoile la plus proche du Soleil, α Cen C (Proxima Centauri), se trouve à 1,316 pc (4,28 années-lumière) ; l'étoile la plus brillante du ciel, Sirius (α Canis Majoris), se trouve à 2,64 pc (8,55 a.l.). La plupart des étoiles visibles à l'œil nu sont à quelques dizaines ou quelques centaines de parsecs. Par comparaison, la Galaxie a un diamètre d'environ 25 000 parsecs (25 kpc, soit 80 000 années-lumière) ; le Grand Nuage de Magellan est à environ 48 kpc (158 000 a.l.) et la Galaxie d'Andromède se trouve à une distance estimée de 780 kpc (2,6 millions d'a.l.), ces deux objets restant visibles à l'œ“il nu. Le Groupe local, auquel appartiennent aussi bien la Voie Lactée que la Galaxie d'Andromède, a un diamètre d'environ 3 millions de parsecs (3 Mpc, soit 10 millions d'a.l.). Les ordres de grandeur des distances des galaxies s'expriment en dizaines ou centaines de méga parsecs ( ou pc ). Enfin, l'objet le plus lointain actuellement identifié est un quasar situé à environ 4 milliards de parsecs (4 Gpc : pc, soit presque 13 milliards d'a.l.). ) »

Il serait (il me semble) particulièrement intéressant de proposer une représentation graphique de ces résultats. Sauf que naturellement, ce ne serait pas pertinent de s'intéresser au nombre d'objets en fonction de la distance, parce que cela n'aurait pas de sens de mettre dans le même sac une étoile et une galaxie. Peut-être qu'une piste intéressante serait de représenter la masse totale estimée dans une sphère en fonction du rayon de cette sphère, mais outre que ce serait probablement d'une grande imprécision, cela risquerait fort d'être taxé (très injustement) de travail inédit. En revanche, on pourrait peut-être insérer une représentation graphique indiquant, en fonction d'une échelle (logarithmique !) de distances exprimées en parsecs, les distances par rapport à nous de quelques objets importants (limites du Nuage de Oort, Proxima Centauri, une exoplanète, le centre de la Galaxie, Andromède, etc. etc.)

Par respect, je ne modifie rien. D'autant que j'aimerais bien savoir comment on peut aligner correctement (verticalement) des instructions en LaTeX avec le reste du texte... Il faut bien reconnaître que, typographiquement, écrire « 1 milliard  », ce n'est pas très beau. C'est la vie ! on rêve du Cosmos, et on se casse la figure sur des questions de bête informatique !

Preem Palver 19 janvier 2013 à 16:29 (CET)

N'hésitez pas ! Ces remarques me paraissent judicieuses, donc pas de problèmes. Respecter un article, c'est aussi l'améliorer Émoticône Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 19 janvier 2013 à 18:43 (CET)[répondre]