Discussion:Mouvance autonome en France

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons


Discussion thématique[modifier le code]

Questions générales[modifier le code]

Titre de l'article[modifier le code]

Je propose de changer le titre de l'article "Mouvement autonome" en "Mouvement autonome en France". Car je pense que : - Si on devait faire un article sur le Mouvement autonome du monde entier (ou plutôt partout où il y en a), l'article serait beaucoup trop long. - Il y a trop de différences historiques et idéologiques entre les mouvements français, italien et allemand pour qu'on puisse se permettre de les rassembler en un seul et même article. Ensuite, je me demande s'il ne serait pas judicieux de parler de "mouvance" plutôt que de "mouvement", ou alors quelque chose comme "Mouvement pour l'Autonomie politique en France", qui permettrait de regrouper les groupuscules "inorganisés" révolutionnaires (les "totos"), les groupes et collectifs autonomes révolutionnaires (Camarades, OCL, Marge, ...), ainsi que les mouvements autonome issus de mouvements sociaux (Travailleurs, Chômeurs et Précaires en colère, ou le Mouvement de l'Immigration et des Banlieues, comité des mal logés etc), et les collectifs de l'autonomie ouvrière (Collectif de la BNP, etc) en un seul et même article. Personnellement je suis d'accord avec cette solution, sans oublier tous ces enfants d'autonomes que sont les collectif anti prison GIP CAP CAPJ APAD Parloir Libre comite antirepression, , anti mil OP 2O CAIO, antipsy et les lieux de vie et ecoles differentes et là il y aura une vision un peu plus complète et moins partisane, n'en déplaise aux insurrectionnalistes qui se sont toujours crus les seuls autonomes --Christian Hivert (discuter) 17 novembre 2020 à 14:23 (CET)[répondre]

Tout à fait d'accord : MOUVANCE AUTONOME EN FRANCE ! Je propose que si d'ici une semaine , ou 15 jours, personne ne s'y oppose, ce titre soit acté.--kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 09:05 (CEST)[répondre]

Nouveaux Mouvements Sociaux[modifier le code]

Une grande partie de ce qui est développé dans l'article les nouveaux mouvements sociaux et celle où il est question des LGBT concerne précisément ce qui manque à l'article présent, ce sont ceux là les mouvements autonomes en France des années 1960 aux années 2000, en dehors des partis et des syndicats, cette dénomination idéologique, nouveaux mouvements sociaux et LGBT, n"a pris corps dans les milieux de la sociologie puis des médias et de la politique que lorsque ces mouvements avaient été repris et encadrés par les forces politiques et syndicales officielles après 2000, ce sont les thèmes développés par Bourdieu, professeur à l'EHESS créé par la Fondation Rothshild et Rockfeller, dans sa tentative laborieuse de réécrire l'histoire des mouvement sociaux et de les inscrire dans une nouvelle perspective où ils seraient managés par des professionnels de la lutte créés et soutenus par les intellectuels, personnalités médiatiques et universitaires, et d'où les sujets des luttes seraient oubliés et leur invisibilité sociale transcendée grâce à quelques opérations coup de poing médiatiques et ne remettant fondamentalement en cause aucune structure d'oppression.

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

92.144.49.176 (d) 11 avril 2013 à 14:04 (CEST) Oui Christian, d'accord sur ton analyse. Personnellement, dés 1968 (oui, j'étais précoce, 14 ans ! ), en province ( comme disent les parigots ) à Montpellier et en Cévennes, j'ai participé à la création de plusieurs groupes, ou les aient cotoyés, autonomes de fait, rentrant dans la catégorie "nouveaux mouvements sociaux " : espéces d'athénée libertaire (avec bibliothéque, librairie, etc), embryons de coopérative de production et de consommation (en circuit court et bio), groupes de luttes de lycéens, d'étudiants, d'ouvriers,de femmes, GLH (Groupe de Libération Homosexuelle ), GRIAP ( Groupe de Reflexion Information Action sur les Prisons), Collectif Cannabis, GIP (Groupe d'information sur les psychotropes), et multiples squats et embryons de ZAD, n'ayant que de rares contacts et liens très informels avec les groupes équivalents à Paris énormement plus médiatisés, et n'ayant pas de gurus ni de grands intellos (mais bien sûr nous lisions aussi Deleuze, Foucault, etc, et Vaneigem, et Hakim Bey...). Et de tels groupes existaient et existent toujours dans beaucoup d'autres villes de province, et même, de plus en plus à la campagne, avec la croissance des néo-ruraux. Faut-il inclure ces groupes, AUTONOMES de fait, dans cet article sur la "mouvance autonome en France " ? Il me semble que oui, car bien que tous leurs membres ne se revendiquent pas d'une quelconque appartenance politique, ni d'une quelconque idéologie, une bonne partie de leurs fondateurs, animateurs et leaders de fait, se situent en leur for intérieur (sans exhiber leur drapeau noir et autres symboles et autres bouquins théoriques, ni jouer les gurus et grands théoriciens) dans la mouvance libertaire, autonome ( salut les totos !), etc. Ces groupes étaient, et sont, autonomes de fait, et sont la moelle, la séve, les colonnes vertébrales et les multiples branches et racines de la mouvance autonome  ! --kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 09:39 (CEST)[répondre]

Pratique ou courant politique ?[modifier le code]

le propriétaire et garde chiourme de cette page n'aime pas que ses petits mensonges soient révélés, à qui cette monstrueuse occultation profite t elle??? futur grand commis de l'état en quête d'honorabilité et donnant ses gages au grand pouvoir?? --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

Années 1980

Ceux qui se considèrent comme le mouvement autonome de France et ne sont que des égautonomes de la tendance hégémonique, directoriale et anti ouvrière se retranchent dans les squats parisiens mais tentent encore de faire croire que certaine émeutes ouvrières sont de leur fait :

"Le mouvement se retranche dans les squats parisiens mais apparaît encore dans certaines émeutes :

Les autonomes se mobilisent également beaucoup pour la libération des prisonniers."

De multiples collectifs autonomes continuent leurs actions en faveur d'un certain nombre d’avancée sur le plan social ou politique des injustices criantes de leur époque. Comité des mal logés, luttes anti carcerales, luttes anti huissiers, luttes anti militaristes, luttes anti psychiatrie, mouvement des écoles différentes , mouvements de jeunes de banlieue non inféodés à SOS Racisme, luttes contre la double peine, les rédacteurs de cet articlet sont soit amnésiques, soit incompétents soit payés pour l'être

   1 Proposé par : 88.122.176.78 (d) 5 février 2009 à 23:49 (CET)
       1.1 Problèmes de non-neutralité
       1.2 Propositions pour la neutralisation
   2 Le concept et l'identité
   3 complément historique: Les Groupes Autonomes Libertaires dés 1968

Proposé par : 88.122.176.78 (d) 5 février 2009 à 23:49 (CET)


Problèmes de non-neutralité

Cet article valorise le point de vue exclusif de certains pro-situs du Comité Invisible et ignore ou détruit tout ce qui est de la particularité et de l'essence du mouvement autonome, c'est une insulte à la mémoire et à l'intelligence des acteurs de ce mouvement --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]


Pourriez-vous être plus précis (par des exemples notamment) ?

DocteurCosmos (d) 16 février 2009 à 12:40 (CET)


Oui il serait intéressant d'avoir un complément d'information car je viens de relire le texte et je ne trouve pas d'insistance sur le Comité Invisible !?


Mes contributions à cet article ont été éffacées depuis le début, j'ai donc rassemblé mes souvenirs et en ai fait un article ouvertement polémique disponible à cette adresse, l'article à connotation plus encyclopédique évitait mon positionnement anti Pro-situ (A l'heure actuelle representés par le comité invisible et ceux qui utilisent cette signature) à l'époque c'était les Fos (soyeurs du vieux monde) groupe ultra minoritaire chez tous ceux qui se reconnaissaient dans l'autonomie

Le point de vue--kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 13:12 (CEST) anti casseurs voleurs est un point de vue trés autonome, l'autonomie prolétarienne bien évidement, ce qui n'est pas la thése des prositu surreprésentés dans l'article survivant, le vol est une contrainte et est subi comme une aliénation au même titre que que le salariat, le travail ou activité utile a la collectivité est nécéssaire au bien commun et doit être autonome, c'est à dire ne pas se mettre au service du profit de quelques uns contre tous, c'était ce que disait cet article que l'on ne retrouve m^me plus dans les historiques, il y avait un certain nombre de sources concernant des luttes sociales autonomes en france démontrant un fort mouvement en faveur de l'Autonomie du prolétariat qui n'avait rien à voir avec les eternels surmédiatisés émeutiers casseurs voleurs.[répondre]

Dans cet article survivant ne sont pris en compte que des farfelus ultra minoritaires que dans nos milieux de luttes autonomes on nommait les bourgeois des beaux salons de l'ultra gauche parisienne dont nous connaissions tous les liens quasi familiaux entretenus au plus haut sommet de l'état avec l'entourage des responsables de la Cagoule mittérandienne.

A la base nous étions cinq cent prols dans le comité des mal logés dont il n'est même pas fait mention ( juste listé) on peut consulter leur brochure( document que j'ai corrédigé avec cinq autres camarades en 1991 à( http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/2/61/97/51/Brochure-du-comit--des-mal-log-s-19991/brochure-comite-des-mal-log-s-1991.pdf) document pdf téléchargeable

et les collectifs de jeunes squatters autonomes et punks étaient foisonnants, par contre le fos étaient ultra minoritaires et créaient des bagarres avec mort d'homme, les publications comme tiqqun sont confidentielles et incompréhensibles, cet article survivant représente un point de vue ultra minoritaire dans le mouvement autonome français il est plus que partial, le bandeau ne doit pas être retiré, et je n'ai pas le courage et l'intention de réécrire mes précédentes contributions effacées de l'historique

J'avais fait l'erreur de les créer directement sur le site et de ne pas les sauvegarder sur mon ordi, l'article polémique sur mon site est très inférieur mais reprend quelques paragraphes enrichissant cette vision partiale de l'autonomie que vous publiez


   Merci de ce retour dont le fil n'est cependant pas facile à suivre.
   Je viens de vérifier et aucune version de l'historique n'a été supprimée (ou plutôt purgée). Voilà l'historique complet qui court du 9 janvier 2004 jusqu'à aujourd'hui.
   Pourriez-vous pointer quelques unes des contributions que vous évoquez ? DocteurCosmos (d) 15 avril 2009 à 15:38 (CEST)

Une de mes contributions les plus abouties est peut-être celle-ci en date du 11 février 2009 à 02:49

Mais je ne retrouve pas celle où j'avais inséré des liens et l'une d'elle qui mentionnait la coloration très autonome des mouvements de jeunesse bretonne et basque, l'articulation sur le journal Libération était mieux formulée, ces versions que je vient de retrouver grâce à votre lien avaient disparues après le 11 février, les autres versions annulées sont datées du 3 et 4 Février.

D'autre part, par la suite, après relecture, il me parait aberrant de faire débuter l'aventure autonome en France en 1974, Cornelius Castoriadis avant 1967 développait déjà le concept d'Autonomie (lorsque avec Debord ils collaboraient à Socialisme ou Barbarie), la référence lancinante aux maoïstes concernant les Autonomes est délirante ( ils étaient fortement structurés et nullement Autonomes), l'autonomie organisée des groupes parisiens (Marge et Camarades) marque la fin et la désaffection du plus grand nombre par refus de se faire assimiler aux casseurs de manifs et aux voyous sans valeur prolétaire volant tous et toutes pour se procurer leur came, aucune référence non plus à ce poison qui décima le mouvement des squats largement initié par les Autonomes, et de plus les premiers Groupes Autonomes en France étaient initiés et composés de militants communiste libertaire de Front Libertaire des luttes de classe dès 1970, ces groupes étaient très nombreux et à l'origine des fameuses "communautés" de l’après 68.

Il y a survalorisation du rôle joué par les Fos, plutôt destructeurs d'autonomie

le mouvement de l'autonomie concerne des luttes sociales telle que le Comité des mal logés

dont la brochure est disponible à http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/2/61/97/51/Brochure-du-comit--des-mal-log-s-19991/brochure-comite-des-mal-log-s-1991.pdf, et bien d'autres (la luttes des employés de la comatec dans les même années, voir l'anarchosyndicalisme de classe de la CNT d'avant la scission)) mais il y avait, il y a fort longtemps, une belle bagarre à Lipp, tous ces oublis majeurs visant à gommer toute trace d'intervention du prolétariat dans sa propre histoire, les anti-marxistes prétendent nous faire une révolution sans les classes laborieuses (Historiquement cela porte un nom ) et des pratiques de vie alternative à la domination capitaliste, en aucun cas elle ne saurait être réduite à la pauvre expression spectaculaire marchande de black bloc, pâle reflet en copier coller des historiques Schwartz Blocs Allemands(eux composés de prols participant aux luttes sociales du moment), d'autre part l'autonomie ne prône pas le vol ou la délinquance qui sont des aliénations au même titre que le salariat or les seules revues citées ( ultra confidentielles de gauche )en font une apologie forcenée, l'autoreduction est une pratique typiquement italienne ,n'a jamais mordu de manière populaire en France et n'a jamais été pratiquée en Allemagne

La version affichée est donc entièrement fallacieuse, c'est une réécriture complète au service de la valorisation de Pro situs ultra minoritaires chez les minoritaires

Les mouvements du style Action Directe ont toujours été rejetés par les Autonomes, bagarres physiques à l'appui, la solidarité anti repression ne vaut pas acceptation de dogmes délirants, voir l'insipide et éphémère revue d'AD en 1982, pas plus qu'aujourd'hui le soutien à des gens que l'on peut estimer injustement poursuivis ne vaut acceptations des bouffées délirantes remarquablement bien rédigées contenues dans l'insurrection qui vient

L'épisode Rey Mupin appartient plus à l'histoire des manipulations policières, le fournisseur de la première arme était un indic jugé à part de Florence Rey afin de ne pas faire de lien, et Florence ne s'est jamais revendiquée de la moindre Autonomie

L'article publié pourrait s'appeler les émeutiers en France, quelque chose dans ce genre, en aucun cas le mouvement autonome --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]


   Merci pour ce retour. Pourriez-vous indiquer des sources qui permettraient la reprise et la fiabilisation de l'article ? DocteurCosmos (d) 16 avril 2009 à 11:34 (CEST)

Je suis en très grande partie d'accord avec toi, sauf concernant les "pro-situs" (il existe toutes sortes de pro- ou post-situs, ou situs tout court, à ne ne pas confondre les uns avec les autres, surtout les "situs" de salons, de bistrots et d'amphis avec les "situs" de la rue et du "terrain"); j'y reviendrais plus loin. Vite fait, concernant les FOS (je ne connaissais pas cette abréviation, mais j'en ai cotoyé certains ex-, et j'ai entendu parler de première source de certains de leurs déplorables "exploits", en Cévennes entre autres.Il me semble qu'ils doivent être très brièvement cités en insistant sur leurs actions négatives, et en sourçant. Les maos: oui il me semble qu'ils n'ont rien à faire dans cet article. Hier en remaniant la phrase d'introduction j'ai laissé cette référence, mais OK pour la supprimer. Autres références: j'ai laissé la référence aux "négristes" (est-ce necessaire ? ), mais perso je n'ai jamais lu une ligne de sieur Negri, ni jamais entendu quiconque y faire référence. Et je découvre le terme d'"opéraïsme". Par contre ne sont pas cités les " indiens métropolitains " de Bologne, entre autres lieux, qui ont influencé certain-e-s un peu plus jeunes que moi. Les désirants ! certes ! nous sommes tous-toutes des désirant-e-s ! mais de là à citer "les désirants" comme une des 5 tendances de la mouvance toto dans les années 70, il y a une marge, c'est délirant ! Mais citer Deleuze et Guettari comme référence intellectuelle OK.(ces deux là ont été aussi actifs dans certains comités et certaines actions, et l'achat d'un mas en Cévennes mis à la disposition de groupes divers et d'été) Les "teppistes": jamais entendu parler, quoique le concept de "délinquance révolutionnaire" me parle.Soit supprimer cette référence, soit la développer dans un paragraphe qui pourrait être intitulé "influences théoriques" ou quelque chose comme çà... ? Grosse parenthèse : il me semble qu'il faut toujours avoir à l'esprit en contribuant à wikipedia que des ados de 14 ans, ou moins, nous lisent pour préparer un exposé scolaire, ou par simple curiosité, et que nous ne rédigeons par un mémoire de master 2, ni une thèse de doctorat. wikipedia est une encyclopédie généraliste et didactique.

Concernant le "Comité invisible " et autres "comité indicible " (si si, il existe...), je vais aborder le fond du fonctionnement des groupes autonomes tel que je le connais après plus de 50 années d'expériences pratiques plus ou moins intenses et intermittentes ( pour ne parler que des 2 dernières années : Notre Dame des landes, les Gilets jaunes, soutien aux catalans et à des luttes et actions locales et régionales) 1) Il faut différencier les "vrais" groupes autonomes des groupes de la mouvance autonome qui agissent sur une action précise et plus ou moins ponctuelle ou pérenne(occupation d'un lieu, etc) comme ceux des nouveaux mouvements sociaux. Les "vrais" groupes autonomes sont par essence, pour la plupart, clandestins et anonymes ( ne mettant en avant publiquement ni le nom de leur groupe, si il existe, ni leurs personnes). Beaucoup d'entre eux disposent d'une facade légale et publique, en association avec d'autres personnes ne faisant pas partie du G.A, souvent sous forme d'asso Loi 1901 avec un local ouvert au public, servant de lieu de réunions à d'autres groupes et assos très divers, de bibliothèque-librairie, parfois d'un bar et d'une cantine, et même de chambres ou dortoirs (pour des permanent-e-s, et en hébergement d'urgence pour des personnes en difficultés) Mais ces deux structures, groupes autonomes et lieu associatif public, sont clairement séparés, les réunions des G.A se faisant en dehors du local public, et aucune trace du G.A ne se trouvent dans ce local, mis à part quelques piles de tracts, flyers, et brochures signés d'un nom quelconque ( comité , ou collectif, de ceci ou de cela). L'entrée dans un groupe autonome se faisant par cooptation suite à des contacts personnels plus ou moins fortuits ( perso ce fut le 1er mai 1969, lors d'une fête publique -avec repas, danses,discours, etc- organisée, dans un grand bâtiment municipal, par la section départementale de la CNT-FAI ibérique - Confederacion Nacional del Trabajo - Federacion Anarquista Iberica.).Je pourrais developper pendant des pages le mode de fonctionnement interne des G.A, et leurs actions, mais je me contenterai de parler que des années précédant 1990. Je me rends compte en écrivant ces notes et en relisant l'article et la page de discussion qu'ils existent deux sortes de G.A , ceux qui signent de leurs noms et sont mediatisés, et les autres, qui sont clandestins. 2) cet article est très, beaucoup trop, centré sur Paris et sa banlieue, ses idéologues, ses groupuscules et la moindre manif et occupation, alors qu'il y a autant, si ce n'est plus, de manifs et occupations, qui se sont passé, et se passent toujours en "province". Je citerai simplement quelques actions auxquelles j'ai participé, que d'autres membres du groupe (nous étions divisés en sous-groupes par zone géographique et lieux de travail et d'études) m'ont raconté, en temps que membre d'un G.A clandestin (Le Groupe Autonome Montpellier-Cévennes). L'influence des anarchistes ibériques (catalans, castillans, basques) dans le midi de la France. Tout d'abord il faut spécifier que dans le "midi" de la France, qui correspond au "Nord" de la Catalogne,de l'Espagne et des Pyrénées, nous avons subi une très forte influence des anarchistes ibériques (castillans, catalans, andalous et basques) ne serait-ce que par nos origines familiales, et la proximité géographique. Et ce dès 1939, lors de la Retirada (exil des combattants républicains, dont beaucoup d'anarchistes, suite à la victoire des fascistes de Franco), puis pendant la Résistance (entre 1940 et 1944, rappelons qu'une bonne partie des combattants de la brigade de la 2ème DB du général qui entra en premier le 24 aout 1944 dans Paris pour la libérer était composée d'anarchistes espagnols !), puis dans les années 50, 60, etc . Ces anarchistes, ou libertaires, ibériques réfugiés puis installés dans le sud de la France nous influencèrent beaucoup de part leurs pratiques de solidarité, de clandestinité parfois, et accessoirement d'usage des armes et explosifs. Environ un tiers ou un quart des membres des G.A du sud de la France avaient, dans les années 60 et 70, des origines (parents et/ou grands parents) ibériques plus ou moins républicaines et anarchistes. --kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 13:12 (CEST)Les traditions de luttes des mineurs, etc dans les Cévennes : Notre G.A s'appelait "Montpellier-Cévennes" et étaient composés en partie de mineurs, du côté d'Alés et la Grand-Combe, ou de fils et filles de mineurs, ayant la tradition de longues et dures gréves, ainsi que la mémoire des groupes de résistants assez nombreux en Cévennes, et des guerres de religion (résistance armée au pouvoir royal et catholique aux XVIIème et XVIIIème siécles). Accessoirement la récupération d'explosifs divers était assez facile dans les mines ! --kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 13:12 (CEST)Convergence des luttes avec les vignerons occitans et catalans D'autres membres de notre G.A étaient viticulteurs exploitants, ou ouvriers agricoles, et nous pratiquâmes une solidarité active avec les mouvements viticoles des années 1960-70, que cela soit lors des manifs dans les villes du coin (Narbonne, Béziers, Montpellier) qui rassemblèrent parfois plus de 100.000 personnes, jusqu'à 300.000 ! et croyez-moi, c'était quelque chose, entre les jets de cocktail, les tirs de grenades, la mise en fuite de dizaines de fonctionnaires, barres à mine et pieds de biche en mains, etc . Et les plasticages de gendarmeries, de centres de perceptions des impôts, de prisons, causant au minimum la casse de quelques portes et vitres, et la crémation de quelques véhicules de l'Etat. Tout cela a été très peu médiatisé au niveau national ! Vous vous rendez compte, ce sont des mauvais exemples, si les gens commencent à plastiquer les bâtiments de l'Etat... cela peut donner des idées à d'autres ! A coté de ce nous avons vécus " dans le Sud" dans ces années, les "petites " manifs parisiennes (hors 1968) me font sourire et pitié..... --kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 13:12 (CEST)Anecdote sur l'utilisation des armes à feu[répondre]

A propos de 1968 à Paris, des membres du groupe y étaient présents(je n'y étais pas, n'ayant que 14/15 ans, mais j'avais deja créé mon propre petit groupe autonome, situationniste de fait, sans jamais encore avoir entendu parlé de ces deux notions, dans ma ville de province du Sud) ) et m'ont raconté des bagarres sur les toits du quartier Latin entre ceux qui voulaient tirer, armes chargées à la main, sur les flics, et ceux qui ne voulaient pas disant que ce n'était pas le moment, que les flics allaient répliquer avec des armes à feu, et que l'Armée pourrait intervenir, et que cela allait être des massacres, et que nous allions perdre. Cet usage, ou non, de la violence envers les personnes (avec uniformes ou non) méritent un paragraphe.

A suivre: sur les différentes sortes de " situs", et faire le ménage dans la beaucoup trop longue énumération des manifs et occupations parisiennes.... et comment SOURCER ! Salut et fraternité. et shake les totos et totettes (ou sisters si vous préferez)...


Propositions pour la neutralisation

J'avais trouvé pas mal de sources sur net ou en références papier et je n'ai pas le temps en ce moment pour les retrouver toutes, elles étaient dans l'article correctement référencé que je ne retrouve pas, on peut dans un premier temps voir du côté de Castoriadis, un site entier lui est consacré ou est développé le concept d'Autonomie, Debord à écrit des choses pertinentes sur les pro situs dans les commentaires, sur AD également, l'article de Guillon disponible sur mon site http://www.mouvementautonome.com/article-28795872.html, les embrouilles fos ad et les autres sont un peu abordées dans le truc partial de Schiffres, une recherche sur l'Ora front libertaire des luttes de classe fournira des éléments corroborant la proportion importante de communiste libertaire dans le mouvement autonome et leur apport théorique et pratique certain, leurs positions anti lutte armée et anticasseur est particulièrement claire dans des document de style expression directe sur la tv des années 70, ainsi que leur référence aux premiers groupes autonomes, le livre les Marginaux livre des pistes intéressantes sur l'antériorité des pratiques autonomes par rapport aux tentatives tardives de théorisation récupération menées par Marge-Camarades, Et d'autres courants importants de l’extrême gauche revendiquaient l'Autonomie de la Classe Ouvrière, il faudrait retrouver les publications d'avant 68.

Pour le versant Autonomie des lutte de classe des luttes des années 80, mal-logés et comatec voir du côté de la CNT, si les nombreux maliens du comité de la comatec et ceux habitant les nombreux squats ne font pas partie du mouvement autonome, Rouillan est Curé, Les deux brochures d'AD couverture rouge étaient en vente libre à la librairie parallèle,il n'y est nulle part fait mention de l'appartenance du groupe à un quelconque mouvement autonome, en 1977 ou aux environs une brochure s'intitulait luttes (ou pratiques) autonomes et désobéissance civile sur le catalogue "autrement" il me semble, > Bob Nadoulek, même si certains le font passer pour flic maintenant, était un acteur important et apprécié de ce mouvement et a laissé des publications dans son sillage qui ne corroborent pas loin de là la réécriture finale de l'article en ligne Voici la preuve de l'effacement de la page Mouvement Autonome, ma demande de restauration est listée encore dans les moteurs de recherche et n'existe plus sur Wiki... --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

  *
        o
          Le mouvement Autonome a toujours rejeté les thèses ... 
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l’Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli, il ...
        o bellaciao.org/fr/spip.php?article80594
  *
        o
          le mouvement autonome n'aime pas les insurectionnalistes pro-situs du ... 
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l'Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli, il ...
        o nantes.indymedia.org/article/16292
        o  · Page en cache
  *
        o
          Le mouvement Autonome des luttes sociales n'aime pas l'Hégémonie du ... 
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l'Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli, il ...
        o www.mouvementautonome.com/​article-28064195.html
        o  · Page en cache
  *
        o
          Mouvement autonome: la version caviardée de wikipédia, pour cause de ... 
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l'Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli, il ...
        o www.paperblog.fr/1587900/​mouvement-autonome-la-version-caviardee-de-wikipedia-pour-cause-d...
        o  · Page en cache
  *
        o
          Contre l'hégémonie du Comité Invisble de l'Autonomie et la ... 
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l’Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli, il ...
        o grenoble.indymedia.org/​2009-02-14-Contre-l-hegemonie-du-Comite
        o  · Page en cache
  *
        o
          Wikipédia:Demande de restauration de page/Traitées - Wikipédia
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l'Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli, il ...
        o fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Demande_de_restauration_de_page/​Traitées
        o  · Page en cache
  *
        o
          comité invisible - Le blog de Christian Hivert
    Le Mouvement Algérien Pour la Paix et les Libertés (MAPLI) se revendique de l'Autonomie également, ses luttes sont contre la dictature de Boumédienne puis de Chadli
        o www.mouvementautonome.com/​categorie-10776208.html
        o  Page en cache

La page en question doit être a peu de choses prés celle publiée le 11 Fev 2009 sur PaperBlog à http://www.paperblog.fr/1587900/mouvement-autonome-la-version-caviardee-de-wikipedia-pour-cause-de-revisionnisme-pro-situ-du-comite-invisible/ --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]


Le concept et l'identité

Je pense que Christian Hivert confond le mouvement autonome en tant qu'identité politique (les groupuscules d'extrême-gauche telles que Camarades, Marge, l'OCL, Action Directe, et les Fossoyeurs du vieux monde) (l'Autonomie avec un A majuscule) et l'autonomie ouvrière en tant que forme de lutte (avec un A minuscule) que l'on peut rencontrer dans différents pays et à différentes époques sans que cette forme de lutte soit catégorisée comme un courant politique.

Je crois que Wikipédia a clairement distingué les choses :

   Mouvement autonome décrit les groupuscules politiques
   Autonomie ouvrière aborde l'histoire des luttes autonomes

Cette distinction devrait satisfaire Christian Hivert.

Non ?


Alphonse Wagner (d) 23 mai 2009 à 02:29 (CEST)


Et non, Alphonse, tu es inepte et tu te la pètes.

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

je crois que Wikipédia démontre clairement ce qu'elle est

Cela n'a jamais été vécu comme cela, l'Autonomie ouvrière est là où elle se lutte et les groupuscules tentent d'encadrer, le mouvement Autonome est indissociable de sa base sociale, les prols en lutte, tout comme de ses groupuscules qui théorisent et propagandisent, le mouvement Autonome sans base sociales et réduit aux groupuscules, ça fait court et c'est historiquement inexact, la confusion puisque ce mot est subrepticement employé, est plutôt à voir dans l'acharnement à dissocier les luttes, exemple le comité des mal logés, mouvement Autonome large et complétement intégré a l'histoire du mouvement Autonome français, et tous les autres exemples, nier ces réalités revient à ne laisser en présence que les voleurs braqueurs et casseurs, ultra-minoritaires dans tous les mouvements Autonomes, le groupuscule sans base sociale n'a qu'une vocation historique, servir de troupes fraiches aux bandits de l'histoire, et finir sur les miradors --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

Et par ailleurs on voit le grand cas fait des contributions extérieures, cet article est mensonger, est-ce partout comme cela sur wiki,

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

complément historique: Les Groupes Autonomes Libertaires dés 1968

Les G.A.L, dont j'ai fait partie très jeune, existaient au moins dés 1968. Je ne sais depuis quand ils existaient. J'étais dans celui de "Montpellier-Cévennes" (auto-dissous en 1973).Il en existaient au moins une dizaine d'autres, dont celui de Toulouse, avec une organisation nationale assez informelle et souple: l'Union des G.A.L, ou UGAL, avec quelques éphéméres journaux externes "JOUIR sans entraves", et bulletins internes . Par principe nous étions clandestins, et publiquement inexistant, pour 2 raisons: ne pas se faire fliquer, et le refus de mise en avant de toute organisation et individus,considéré par principe comme nuisibles. De fait, nous n'arrétions pas,collectivement ou individuellement, de nous investir dans la radicalisation surtout pratique, et théorique, des moindres actions sociales et culturelles de nos milieux ambients; mais sans que JAMAIS notre nom apparaissent; soit nous nous investissions "anonymement" dans un groupe deja existant, "comité de gréve, ou d'action" de ceci ou cela, soit nous le crééions avec d'autres individus , en nous présentant comme "inorganisés" ! Ce qui explique que les GAL, qui ont eu une certaine importance dans la radicalisation à la fin des années 60, début des années 70, partout où ils existaient, sont quasiment inconnus (volontairement, je le répéte) des historiens plus ou moins patentés! Nous n'étions pas " comme des poissons dans l'eau ", mais des molécules de cette eau...! Un tel comportement, à continué, individuellement, aprés leurs auto-dissolutions (dans le "midi" à cause de morts violentes,ou au contraire du refus de l'ultraviolence). moi-méme et d'autres copains-copines nous nous sommes investis dans la création, avec d'autres individus, de la plupart des mouvements novateurs des années 70 (homos, squatts,anti-prisons, légalisation cannabis, mouvement écolo politik,centre d'animation socio-cul, coopératives bio,etc) mais à titre individuel, et en gardant notre drapeau (noir) et nos surnoms (enragés, et pro-situs)dans nos poches. L'histoire de la mouvance des autonomes reste à écrire. C'est complexe, car chaque membre d'un groupe autonome, étant, en principe, lui-même autonome par rapport à ce groupe ! Mais nous avions aussi une facade publique et légale (ass. loi 1901), a Montpellier le "dédale Culturel", éspece d'ébauche d'Athénée libertaire (lieu de réunions,hébergement,bibliothéque, coop bio, etc). je pense que 40 ans il y a prescription,et qu'il serait temps que les dernières taupes sortent médiatiquement de leurs trous...! Ah ! mes sources ? Pour le moment ma simple mémoire, mais je pense rassembler quelques documents et publier au moins un article prochainement.

Salut et fraternité.

Kristofol


Merci Kristofol d'apporter un peu d'eau à mon moulin, il s'agit donc bien de luttes sociales en immersion complète dans le monde social des luttes et non pas de tentatives de séparations absurdes et à l'infini de minus pro-situs imbus de leurs études et méprisant envers la classe des démunis qu'il voudraient dociles sous leur encadrement éclairés de besogneux des coups tordus préparés dans les ministères, l'autonomie continue d'exister ainsi.

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET) http://www.mouvementautonome.com[répondre]


S'il te plait, l'auteur, Tu fait des raccourcis un peu frustres. Sur Nadoulec, renseigne toi, son job actuel. Flic, ce qu'il était déja à l'époque sans doute. (Il ne s'en cache plus) Quand aux raccourcis qui t'amêne de Rouillan à Florence Rey, c'est du niveau d'un mauvais roman sans investigation. Rouillan sans Puig Antich, le camrade GARROTTE en espagne, c'est dure à comprendre. Nathalie Ménigon sans les luttes de la BNP, ou des employés du nettoyage du métro, des foyers SONACOTRA, ca peut pas se comprendre. Si tu veux faire oeuvre encyclopédique, fait comme Diderot ou d'Alembert: Enquette à partir d'éléments autre que ta propre mémoire. Ne tombe pas dans l'impératif de faire court, au risque de tomber dans France Dimanche Ceci dit en reconnaissant une démarche comme positive. Pour ma par, j'ai, sous le coup de la colère renseigné la page Tramoni sans prendre le temps de rechercher la rigueure qu'elle aurait mérité. Un jour je prendrai le temps Mais certains ont trop payé pour les faits de cette époque pour qu'un acteur tombant su ton site par hazard ne trouve pas matierre à s'emporter


Dis-donc, c'est bien gentil ton commentaire mais je sais pas si tu savais mais Wikipedia c'est pas un site perso mais une encyclopédie collective, ce qui signifie que les articles sont destinés à être écrit COLLECTIVEMENT. Par définition, un article est TOUJOURS trop court. Donc, si tu veux améliorer cet article qui n'est pour le moment qu'un très bref résumé de ce que pourrait être une histoire du mouvement autonome, le mieux c'est que tu l'écrives toi-même ! C'est la règle du jeu ! Donc, j'attend avec impatience ta contribution et surtout celles des principaux concernés : je veux dire, ceux qui sont le mieux placés pour en parler : les anciens autonomes de l'époque en question ! Merci de signer ton commentaire la prochaine fois, ce sera un peu plus clair pour ceux qui lisent cette page !

Alphonse Wagner 26 jul 2004 à 16:51 (CEST)

Cet article est en effet assez mauvais dans ceratins de ces developement, il ne semble pas que Madame Rey et M.Maupin n'aient jamais confié qu'ils etaient des autonomes.

Madame Rey ne déclare rien, il serait donc judicieux de pas penser pouvoir le faire a sa place.

D'autant plus qu'il y a eu suffisamment de bagarre entre les autonomes et ceux d'Action Directe lorsqu'ils se côtoyaient encore un peu, pour ne pas faire de ce groupe armé aux tendances géopolitiques floues et donc hautement manipulées par des stratèges étatiques des "autonomes", on les appelaient les couboilles ou les zéros selon l'obédience...

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

--82.248.66.85 (d) 24 mai 2012 à 15:13 (CEST)[répondre]


Bonjour. Je crains un problème de neutralité ...

Guffman 3 août 2006 à 10:39 (CEST)[répondre]


  • Il se pose effectivement un problème de neutralité, mais pas comme une tendance à la prise de parti unilatérale. Il me semble qu'il se pose au contraire dans les effets de dissémination du sens. Si on continue sur la pente que prend cet article (qui en vient à enregistrer tout les faits qualifiés d'« autonomes », par qui que ce soit, et en particulier par la police et leur relais AFP, dont on connait l'acuité des analyses politiques...), nous risquons de tomber dans la situation proprement anarchique du concept d'anarchie. L'emploi du terme deviendra alors, par la force des choses, un jugement de valeur, qu'il soit revendiqué ou dénoncé. Pour éviter au mouvement autonome dans sa réalité historique ce qui est arrivé à l'étiquette anarchiste, il faut absolument exclure de cet article tous les faits qui ne concernent pas sans équivoque un mouvement politique constitué, c'est-à-dire ayant défini explicitement son approche du politique, de telle sorte que l'« autonomie » y soit effectivement conceptualisée. Qu'en pensez-vous ? Winckelmann (d) 25 avril 2008 à 10:58 (CEST)[répondre]

Le problème c'est que les autonomes français définissent rarement de manière explicites leur approche du politique : généralement ils optent volontairement pour la dissimulation et la confusion afin de brouiller les pistes.

Alphonse Wagner (d) 16 février 2009 à 22:15 (CET)[répondre]


Concernant le mouvement 2006, quelles sont les sources pour prouver que ceux qui ont "saccagé" et taggué étaient des autonomes?Viking59


L'occupation de l'EHESS a été revendiquée par de nombreux groupes autonomes, notamment le Comité d'Occupation de la Sorbonne en Exil.

Alphonse Wagner (d) 16 février 2009 à 22:19 (CET)[répondre]


Le problème c'est que l'autonomie n'est pas un mouvement politique, encore moins un mouvement politique constitué. C'est une pratique. Ce que propose Winckelmann reviendrait en quelque sorte à réduire l'autonomie à un certain nombre de tactiques/pratiques/stratégies ou d'idées/concepts qu'on attriburaient aux autonomes de manière autoritaire. On ne peut pas pour les tactiques/pratiques/stratégies, puisque par exemple, des autonomes squattent mais tous les squatters ne sont pas autonomes. OU encore, les autonomes peuvent participer au Black bloc, mais les BB ne sont pas constitués exclusivement d'autonomes. Ou encore, les autonomes se réunissent pour écrire des textes, mais beaucoup d'autres personnes se réunissent pour écrire des textes, etc... On ne peut pas pour les idées/concepts, parce que de nombreux idées et concepts dont se servent les autonomes sont aussi utilisés par d'autres groupes et mouvement politiques. L'autonomie ouvrière par exemple qui est aussi bien revendiqué par certains groupes comme Camarades ou des groupes italiens et par la CNT-AIT, mais aussi par certains groupes maos, par des groupes communistes, etc... Etre autonome ne se définit pas, on est autonome ou pas, qu'on connaisse la signification de ce mot ou pas. --Emarginati (d) 5 mars 2010 à 02:56 (CET)[répondre]

Problème de définition et de date

L'autonomie n'est pas un concept, c'est une pratique. En ce sens, cela ne sert à rien de lui donner une date de naissance. Est autonome "celui qui se gouverne selon ses propres loi". Le mouvement autonome ne s'est pas développé grâce à Camarades, il existait déjà avant. Surtout que Camarades a eu une influence négligable sur les autonomes, il faut ainsi rester sur terre. Camarades c'est une trentaine de personnes au grand maximum, si on ajoute les gens du collectif agitation on monte à 70 pas plus. L'OCL sur Paris c'est aussi 70 personnes, dont il faut enlever ceux qu'en ont rien à pêté de l'autonomie. Marge c'est une trentaine de personne au grand max, plus quelques personnes en province. En gros, on frôle les 200 au grand maximum. On est bien loin des 2000 autonomes revendiqués par "l'autonomie parisienne" à la fin des années 70. Pour la France, il existe des groupes autonomes bien avant 1974 avec par exemple les Guerilleros du Plaisir en 1971, ou encore plus tôt l'existence de groupes autonomes à l'université de Vincennes. La démarche des squatters de la rue des Caves est tout aussi autonome que celle des Occupants-Rénovateurs ou des squatters de l'USINE ou de la rue des Cascades, et leur squat commence pourtant en 1971. Et on pourrait continuer la liste...

--Emarginati (d) 5 mars 2010 à 02:36 (CET)[répondre]

Sans compter le comité des mal logés qui réunisait la particularité d'être créé par des bordiguistes, des autonomes et des communistes libertaires et d'être un comité assembléïste adepte du communisme de conseil et promouvant l'autonomie opuvrière " tout le pouvoirs aux soviets" vos découpages théoriques et saucissonnages de nos réalités ne tiennent pas la route ancien animateur du comité des mal logés --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

--82.255.252.99 (d) 29 mars 2012 à 18:19 (CEST)[répondre]


J'ai inclus dans la chronologie un truc sur les groupes autonomes de la faculté de Vincennes ainsi que sur le groupe les Guerilleros du Plaisir. Je pense aussi modifier les passages qui parlent de l'apparition du mouvement autonome en 1974 et qui en attribue l'origine au groupe Camarades

--Emarginati (d) 10 mars 2010 à 11:49 (CET)[répondre]

Je propose aussi de changer le titre de l'article, ainsi que de ceux sur l'Italie et l'Allemagne. Plutôt que Mouvement autonome en France, je pense qu'il vaudrait mieux l'intituler l'autonomie en France, non ?

--Emarginati (d) 11 mars 2010 à 07:19 (CET)[répondre]

Pas fan du renommage, le terme le plus utilisé est mouvement autonome.

-Aemaeth [blabla] [contrib] 11 mars 2010 à 10:03 (CET)[répondre]

Le problème c'est de savoir est-ce qu'il y a mouvement ? Parce qu'on peut pas vraiment dire mouvement, comme ça, sans l'expliquer. Par exemple, dans le cas de l'Allemagne, on parle des autonomes en mouvement, et non du mouvement autonome.--Emarginati (d) 11 mars 2010 à 15:08 (CET)[répondre]
Hum, l'histoire des "totos" est un peu complexe à traiter : manque de source ou d'analyses sérieuses. AMHA mvt autonome présente assez bien le but de l'article, séparer l'autonomie ouvrière (càd lorsque les travailleurs eux-même gèrent leurs luttes) et l'autonomie "politique" (que les médias appellent ultra-gauche, anarcho-autonome, et autres noms d'oiseaux). Même si l'appellation mvt autonome est assez incorrecte (multiplicité des acteurs, des pratiques et des théories, pas un mvt homogène), c'est certainement la plus utilisée. "Autonomie en France", je suis pas sure que ça parle aux gens. Il faudrait attendre d'autres avis. -Aemaeth [blabla] [contrib] 12 mars 2010 à 13:37 (CET)[répondre]
De toute façon, je n'aurais pas changer le titre sans demander l'avis d'autres personnes. Par contre, je pense qu'il serait important de mettre un petit truc en tête d'article pour dire que cette appelation ne nous convient pas. Je vais essayer de rajouter différentes petites choses à la chronologie et commencer à faire des articles sur des groupes autonomes.

--Emarginati (d) 13 mars 2010 à 17:17 (CET)[répondre]

Ultra-gauche[modifier le code]

C'est une erreur grossière que de confondre les autonomes avec l'ultra-gauche. Les autonomes ne sont pas d'ultra-gauche : ils sont simplement d'extrême-gauche. L'ultra-gauche, c'est autre chose, cela renvoie au conseillisme.

Alphonse Wagner (d) 23 septembre 2008 à 02:38 (CEST)[répondre]

Je ne sais même pas si on peut considérer que les autonomes sont d'extrème-gauche. Qu'en pensez-vous ?

Modèle:Noon signé

Les journaux classent tous la mouvance anarcho-autonome dans l'ultra-gauche cependant. Voir par exemple : [1] [2] [3]
Les journaux se sont emballés en faisant du copier-coller des sources policières qu'ils trouvaient. L'anarcho-autonomisme n'existe pas, jusqu'à preuve du contraire il s'agit d'une pure invention. [[User:boss_78|boss_78]] ([[User talk:boss_78|discussion]]) (d) 17 février 2009 à 16:47 (CET)[répondre]
Le dictionnaire de l'extrême gauche le classe lui « à gauche de l'extrême gauche », ce qui est cohérent avec l'intro actuelle de l'article.

--Ian 11 novembre 2008 à 12:21 (CET)[répondre]


A gauche de l'extrême-gauche, ça ne veut pas dire d'ultra-gauche : il ne faut pas faire d'amalgame. C'est comme si on disait que le Parti Communiste est d'extrême-gauche sous prétexte qu'il est à gauche de la gauche... Sébastien Schifres est très claire à ce sujet : http://www.lexpress.fr/actualite/politique/depuis-5-ans-il-y-a-une-resurgence-du-mouvement-autonome_700146.html

Les autonomes ne sont pas conseillistes : c'est un mouvement insurrectionnaliste.

Alphonse Wagner (d) 16 février 2009 à 21:55 (CET)[répondre]


Mais il est très partial, il défend sa boutique d'adolescence périmée

certains autonomes, un sur mille à peine sont insurectionnalistes, émeutiéristes, voyoutistes et j'en passe, ils se concentrent autour de la rédaction de revue d'apologie du meurtre et du sabotage autant éphémères qu'ultra confidentielles et on ne les a jamais vus sur le terrain, les autres , les vrais autonomes comme le comité des mal logés et ceux qui luttent contre les taules sont conseillistes absolument, il faut arrêter ces stupidités mensongères et diffamatoires --Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

--82.248.66.85 (d) 24 mai 2012 à 16:43 (CEST)[répondre]


Je ne pense pas non plus qu'on puisse dire que l'anarchisme autonome soit une invention policière puisque Marge et l'OCL se revendiquaient à la fois de l'Autonomie et de l'anarchisme. Le groupe Non Fides, apparu en 2007, s'est définit lui aussi comme "un groupe anarchiste autonome".

Alphonse Wagner (d) 18 février 2009 à 01:11 (CET)[répondre]

Rien à cirer de comment les flics, journalistes, sociologues et historiens classent politiquement les "vrais" autonomes, je parle de ceusses qui étaient, et sont, plus ou moins clandestins et anonymes! j'ai effectué un petit sondage des anciens (encore vivants) et des jeunes: aucun ne se situe comme faisant partie de l'ultragauche, ni de l'extrème gauche ! Ils se définissent souvent comme anarchistes, et/ou libertaires, ou simplement "autonomes" , et pour les anciens et quelques jeunes "situationnistes", ou "écolo-libertaires". --kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 18:40 (CEST)[répondre]

Proposition de refonte complète de l'article[modifier le code]

il me semble que l'ensemble de cet article est à reprendre , car beaucoup trop parisien, et trop centré sur les années 1970 à 2000, alors que le concept d' AUTONOMIE OUVRIERE date de la fin du XIX éme siècle , et que les premiers groupes autonomes datent de cette époque ! et que des groupes autonomes ont dûs toujours existés au cours du XXème siècle en France, la plupart du temps clandestins , et changeant constamment de noms suivants les actions et mouvements dans lesquels ils étaient impliqués . J'ai moi-même fait partie d'un Groupe Autonome Libertaire ( GAL) très actif, en province, en 1969-71, et fédéré au niveau national dans l'UGAL, et aussi au niveau international, mais comme je viens de l'écrire nous étions clandestins , et n'apparaissions jamais sous notre vrai nom ( les médias nous appelaient " les contestataires", " les casseurs" , et les gauchistes nous appelaient " les situs " , ou " les enragés " ! eh oui , nous n'étions pas qu'à Paris ! ! )  ! Et de tels groupes existaient deja avant 1968 ! il n'existe donc quasiment aucune trace de nous (volontairement ) dans les médias , livres d'histoires, et thèses diverses ! mais il y'a prescription, et il est temps que la taupe montre un peu le bout de son nez ! Il va falloir sourcer tout cela ! travail de bénédictin , en fouillant dans les archives personnelles et collectives .

Petite proposition préliminaire: changer le titre de l'article " mouvement autonome en France " en " MOUVANCE AUTONOME EN FRANCE ", qui me parait mieux correspondre à la non-organisation globale et pérenne de ce " mouvement " en France ….!

Ensuite redéfinir clairement ce que sont les concepts d'AUTONOMIE politique, de GROUPE AUTONOME ! et très accessoirement leurs liens idéologique et pratiques éventuels avec l'extrème et l'ultra gauche ! personnellement , je ne me suis jamais pensé ni situé " à gauche" , ni à " l'extrême gauche " , ni même à l' "ultra gauche ", et surtout pas " gauchiste " ( quelle horreur ! ) ! le mot latin "ultra" signifiant " au dela ", " après" , alors pourquoi se définir comme " au-delà de la gauche " , alors que je considère ce concept de " gauche " comme archaïque et nuisible , avec de très forts relents nauséabonds ! pas plus que je me définis comme " athée " = sans dieu , car pourquoi se définir par rapport à quelque chose qui n'existe pas ! ? (je préfère les termes de libre penseur et païen ). Il semble que cette position était partagé par la plupart des camarades de l'époque , mais je vais quand même faire un sondage auprès des anciens encore en vie ! Vers 1968-1973, les membres des GAL , ne disaient pas d'eux mêmes qu'ils étaient " autonomes' " , ni ne considéraient le terme d' " Autonomie " comme un concept idéologique , le mot d' " Autonome " dans notre nom ( clandestin, et interne ) était purement TECHNIQUE!

C'était le constat d'un état de fait, et d'un mode de fonctionnement organisationnel purement technique ! ce n'est que plus tard , après 1976 je suppose, que certains , je ne sais si ce sont les militants ou les media , ont commencés à employer le mot " autonomes " , et à parler d'autonomie ! n'empêche qu'auparavant nous étions " autonomes " de noms et de faits , sans que nous mettions ce mot en avant !
Entre nous, nous parlions du Groupe pour parler de nous mêmes, et de l'UGAL (Union des Groupes Autonomes Libertaires ) pour parler de notre fédération nationale , et nous nous pensions et disions de nous mêmes que nous étions anarchistes , et/ou libertaires , et/ou situationnistes (ou pro-situationnistes pour nous différenciés des extrêmement  rares membres encartés de l'I.S ), pour nous différencier des anars et libertaires  " classiques " de la FA, de la CNT-FAI , et des autres groupuscules de cette mouvance ! 

Personnellement , je ne " travaillerai " pas sur la période ultérieure aux années 1980.

Voila ! ya du boulot, et cela risque de prendre du temps , mais il me semble que cela vaut le coup , pour l'instruction des jeunes générations , et accessoirement pour celle des historiens et sociologues ! J'espère une bonne collaboration avec toutes et tous , que cela soit sur des points de détails ( c'est avec une multitude de détails que l'on écrit l'histoire ! ) , ou des synthèses, ou des  analyses socio politiques ! 

Ceci dit je suis néophyte sur wiki, et vraiment pas doué pour les manips informatiques, alors quelqu'un pourrait-il , ou elle, créer , en interne , une page " chantier " , ou " nouvelle rédaction " , je sais pas comment on dit ? pour commencer une nouvelle rédaction , avec un plan détaillé qui se remplira au fur et a mesure ! Bien entendu , une grande partie de ce qui existe deja sur l'article actuel sera laissé tel quelle , bien qu'il me semble que la très longue énumération des manifs et actions parisiennes , soit trop détaillée , ou au contraire pas assez, car ne mentionnant très peu les actions des groupes de province ! mais dans ce cas si l'on mentionne toutes les actions " autonomes " ( manifs , plasticages, occupations , ouvertures de lieux publics , etc ) des groupes de province , il y aura des pages et pages en plus , mais pourquoi pas ! portez vous bien …

--kristofol (discuter) 24 novembre 2014 à 17:15 (CET)[répondre]

kristofol Camillo Rémy :Il semble qu'effectivement une bonne part de l'article soit à refondre, et il comporte une part non négligeable de travaux inédits, et il manque de références. Je ne sais pas si j'aurai le courage dans les temps à venir, mais si c'est le cas je m'appuierai notamment sur :
Xavxav (discuter) 30 mai 2017 à 01:17 (CEST)[répondre]

Merci aux courageux rédacteurs de cette nouvelle mouture, l'article commence à vraiment ressembler à ce que cela fut et est encore dans bien des luttes existantes de nos jours, je pense aux zadistes entre autres, mais aux aidants de migrants aussi

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

Bon mais encore des contre vérité lancinante Gerald Biot n'a jamais fait parti de Utilisation Subversive des Intérêts Nuisibles aux Espaces, c'est un opportuniste menteur qui gérait la caisse de Rockalusine et commandait le SO façon KCP les jours de concert, rien à voir avec ce que fut le squat politique U.S.I.N.E. dont on peut avoir un aperçu à https://www.montraykreyol.org/article/utilisation-subversive-des-interets-nuisibles-aux-espaces , et la survalorisation de Mouliez Boutang, il a besoin de publicité à ce point pour parfaire son parcours universitaire rémunéré ?

--Christian Hivert (discuter) 16 novembre 2020 à 18:20 (CET)[répondre]

Liens externes[modifier le code]

Pourquoi avoir supprimé le lien vers la vidéo de l'occupation du Collège de France ?

Alphonse Wagner 21 octobre 2007 à 00:16 (CEST)[répondre]

Pourquoi avoir supprimé le lien vers autonomie.bravehost ?

Alphonse Wagner (d) 27 décembre 2007 à 00:22 (CET)[répondre]

Chronologie[modifier le code]

XXe siècle[modifier le code]

Années 1970[modifier le code]

Je me suis permis de rectifier le petit chapitre sur le 1 mai 1979 en effet c'est Place de la République que se termine la "manif" et c'est là que le SO de la LCR se fait "accrocher" par les CRS : j'en étais témoin et une photo de cet incident figure dans un ouvrage de Michel FIELD " Jours de manifs" Chez Textuel Encre Noire 1996. (signé ? )

Quel intéret de mentionner ce minuscule incident ? Si chacun de nous mentionne chaque manif auquel il a participé ayant donné lieu à des incidents (heurts quelconques ) on n'en finit plus . Il doit bien y avoir un blog sur lequel transférer cette beaucoup trop longue et détaillée énumération de "hauts faits ", sinon en créer un, et faire un renvoi de cet article vers le blog ! ? Action .... quel blog ? qui s'en charge ? aprés avoir fait un tri en gardant quelles " actions " significatives . Selon quels critères ?

1° a priori, pour qu'elles soient mentionnées dans wikipedia, il faut qu'elles soient sourcées, ne serait-ce que par une mention dans un media quelconque. Cette simple nécessité de sourçage va deja occasionner du boulot ...et permettre de faire le tri.

2°que cette action présente un intérêt par son originalité : très grands nombres de manifestants, manif à vélo ou à poil, crémation de bâtiments publics ou privés ou de véhicules de l'Etat ou non, 3°bien sûr si il y a eu un mort ou plusieurs blessés graves, et des interpellations ayant donné lieu à de lourdes condamnations (plus d'un an ferme ? ) Idem pour les squats: quel intérêt de lister presque systématiquement chaque ouverture et expulsion de squat ? Une simple liste des principaux squats avec leurs adresses et la date de leur ouverture et de leur expulsion , ou abandon, suivit amplement. Cette liste est pour le moment presque exclusivement PARISIENNE ! qu'en est-il de la "province" ? Perso, je pourrais vous faire de tête ( sans me rappeler précisement du jour, ni du mois, sans consulter mes archives) dans les heures qui suivent, une liste d'environ 5 pages, au moins, d'actions auxquelles les membres des G.A, les autonomes, ou totos ont participé plus ou moins collectivement, depuis 1967 (occupation temporaire d'une cité universitaire de filles; hé oui, avant Nanterre ! ) jusqu'à samedi dernier 5 octobre 2019 pour la énième manifestation des Gilets jaunes, à Montpellier et dans ses environs, et l'ouverture d'un nouveau squat..... --kristofol (discuter) 8 octobre 2019 à 10:35 (CEST)[répondre]

XXIe siècle[modifier le code]

Quelle place faut-il accorder au courant communisateur ?

Hyderabadlucknow (discuter) 24 décembre 2017 à 11:33 (CET)[répondre]

Jean-Jacques Georges a supprimé le paragraphe concernant le courant communisateur. Je reproduis ci-dessous le paragraphe en question :

"Le courant communisateur se fédère autour de la revue Meeting (2004-2008) puis de Sic (2009-2015). En lien avec des groupes d'ultra-gauche, il défend une conception marxiste révolutionnaire qui dénonce le négrisme comme une forme de réformisme inféodé au capitalisme. Les communisateurs critiquent en particulier la revendication du revenu garanti mise en avant par Toni Negri. Les communisateurs s'opposent également à Tiqqun pour sa négation de la lutte de classe. Les communisateurs se réfèrent notamment à l'expérience des "Fossoyeurs du Vieux Monde". Sous l'influence de la revue d'ultra-gauche Théorie Communiste, ils mettent en avant l'idée que le prolétariat "doit s'abolir en tant que classe" à travers un processus de "communisation" qui abolirait les rapports marchands. Dans cette perspective théorique, le prolétaire doit refuser sa condition sociale et lutter pour pouvoir vivre sans travailler. Le prolétaire doit ainsi refuser de respecter les lois de la propriété privée. Le délinquant et le prisonnier deviennent alors les figures révolutionnaires par excellence. Dans cette logique, les communisateurs privilégient la lutte anticarcérale."

Je pense que cela mérite discussion car même si ce paragraphe est trop long, on ne peut pas nier que les communisateurs soient présents dans le mouvement autonome (Meeting, Sic, Kaliméro, Rémouleur...). Il faudrait au moins une phrase pour mentionner l'existence de cette tendance, et ce d'autant plus que toutes les autres tendances sont mentionnées.

Hyderabadlucknow (discuter) 26 décembre 2017 à 13:38 (CET)[répondre]

Moi, je suis comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois... dans les sources. Si "on ne peut pas nier" la présence de ces fameux « communisateurs » (qui n'ont apparemment rien communisé, soit dit en passant...) alors normalement on devrait avoir des sources qui attestent qu'ils ont bien une importance. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 26 décembre 2017 à 15:20 (CET)[répondre]

"En France, deux groupes exercent leurs influences sur le mouvement autonome : Meeting et Tiqqun." (Marcel Gay, Le Coup de Tarnac, Massot, 2009, p. 139) Hyderabadlucknow (discuter) 27 décembre 2017 à 03:02 (CET)[répondre]

Oui, il y a une revue qui s'appelle "Meeting", sous-titré « Revue internationale pour la communisation ». Je n'ai trouvé nulle part de trace de l'appellation "courant communisateur".
Tout ça reste à un niveau sous-groupusculaire et il faudrait des sources fiables car nous en manquons cruellement. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 27 décembre 2017 à 14:49 (CET)[répondre]

"Au cours des années 1970 est née, à partir du courant conseilliste, une branche qui s'est autodéfinie comme "programmatiste" (affirmation du prolétariat comme classe révolutionnaire et définition d'une période de transition politique). S'appuyant sur la revue Théorie communiste, dont la première publication date de 1977, ce groupe affirme dépasser la vieille ultragauche conseilliste et prendre en compte le nouveau cycle de lutte, qui, à partir de 1995 et de la résurgence des chômeurs et des précaires, est en mesure de montrer "comment une activité de classe peut aller au-delà des classes, poser l'abolition des classes et donc du prolétariat lui-même" (Théorie communiste, n°15). Désormais, ce courant s'affirme comme "communisateur", c'est-à-dire pratiquant la communisation des pratiques et de la politique révolutionnaires, les bases du communisme existant dorénavant. Il s'exprime également dans la revue Meeting ainsi qu'à travers les publications des éditions Senonevero."

Serge Cosseron, Dictionnaire de l'extrême gauche, Larousse, 2007, p. 263.

Hyderabadlucknow (discuter) 27 décembre 2017 à 17:17 (CET)[répondre]

Ca fait déjà de quoi faire une ou deux phrases, ici et dans communisme de conseils. Mais pas beaucoup plus, vu leur échec manifeste à sortir de la marginalité. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 27 décembre 2017 à 17:58 (CET)[répondre]
Années 2000 : Relations CNT/Autonomes[modifier le code]

"Le 15 novembre, des affrontements opposent des autonomes au cortège du Parti Socialiste, à l'occasion de la manifestation du Forum Social Européen qui se déroule à Paris. La CNt-Vignoles s'interpose pour protéger le cortège du PS contre les autonomes."

La CNT qui protège le PS c'est du n'importe quoi!! On croit rêver! C'est absolument faut! La personne qui a écrit ça ne devait pas être sur les lieux ou alors fait part d'une grande mauvaise foi. La CNT avait décidé collectivement avant la manif de ne pas attaquer le PS mais de ne pas empêcher ceux qui voulaient le faire. AU début de la manif, il y a eu des bousculades (rien de remarquable) entre une poignée de toto (autonomes) et quelques personnes du SO (service d'ordre) de la CNT parce que le SO demandait aux totos de ne pas se mettre derrière eux pour lancer leurs projectiles sur le PS. Pendant la manif la CNT laissait faire aux totos ce qu'ils voulaient sans rien leur dire. D'ailleurs de nombreux jeunes et moins jeune de la CNT se sont joint aux totos pour attaquer le PS. Assez de mensonges SVP.

Sinon il n'y a pas de problème de neutralitè à mon avis. Sauf avis contraire, je rectifirai la page dans quelques jours. Arko


Je supprime le passage sur le 15 novembre 2003. C'est totalement faux de dire que la CNT a protégé le PS... c'est même plutôt l'inverse.


Source ?


http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=10064

Années 2010[modifier le code]

Je propose de rétablir le paragraphe suivant :

"D'un point de vue autonome, la ZAD va plus loin que le squat puisqu'il ne s'agit plus seulement d'occuper un bâtiment mais un terrain beaucoup plus vaste. Les ZAD sont essentiellement des terrains non construits mais elles peuvent avoir vocation à servir pour l'agriculture ou la construction. Dans cette perspective, la ZAD peut être considérée comme une transition entre le squat et la commune insurrectionnelle, comme un saut qualitatif dans le projet révolutionnaire théorisé par les autonomes."

Références : Mauvaise Troupe, Défendre la ZAD, L'Eclat, 2016.

Hyderabadlucknow (discuter) 22 juillet 2017 à 18:48 (CEST)[répondre]

2016 : Je propose de rétablir la phrase suivante :

"Mouvement contre la loi Khomri, visant à libéraliser le code du travail. A Paris, les autonomes prennent la tête des manifestations."

Références : Mathieu Dejean, "A Paris, contre la loi Travail, un cortège de tête à l’aise avec la violence", Les Inrocks, 15 septembre 2016.

Hyderabadlucknow (discuter) 22 juillet 2017 à 17:12 (CEST)[répondre]

OUH LA LA ! QUEL GALIMATIAS[modifier le code]

bravo à certains contributeurs ! je suis ravi d'apprendre, grâce à eux, que le mouvement autonome est apparu en France en 1976 ! alors que j'ai été moi-même membre du "Groupe autonome libertaire Montpellier-Cévennes ", membre de la coordination "UGAL - Union des groupes autonomes libertaires " du 1 mai 1969 à fin décembre 1971.Mais nous étions clandestins, et n'avons jamais signé le moindre document public de notre vrai nom, ni même un Tag; car par principe nous étions contre la mise en avant de toute organisation, et nous signions nos tracts, brochures, communiqués et tags, de noms éphémères différents selon les actions dans lesquelles nous étions engagés avec des "inorganisés". Merci de m'apprendre que nous étions d'extrème ou d'ultra-gauche !Vous ètes très forts! Ni bibi, ni les survivants que j'ai interrogé récemment, ne nous sommes jamais sentis comme faisant partie de l'extrême-gauche, ni de l'ultra-gauche ! Fuck off la gauche, qu'elle soit extrême, ultra, ou pas.Entre nous, nous nous sentions et disions anarchistes, libertaires, et les camarades d'extrême ou d'ultra-gauche, les anars classiques, et les militants occitans et catalans nous appelaient "les situs", bien que nous ne revendiquions pas de ce terme de situationnistes. Merci aussi de m'apprendre quelques mots en -ismes que j'ignorais, et que j'ai déjà oubliés. Merci enfin d'énumérer la moindre manif, occupation et action s'étant passé à paris et dans sa banlieue dans les années 70, 80 et 90 !Quels grands apports à l'Histoire ! Ces énumérations me paraissent bien superflues dans une encyclopédie comme wikipedia... Et je pourrais vous citer, de mémoire, ou après quelques recherches , autant de manifs , occupations et actions diverses en PROVINCE, comme disent les parisiens . Conclusion: l'ensemble de cet article est à reprendre entièrement, ne serait-ce que son titre, pour lequel je propose "MOUVANCE" plutôt que "MOUVEMENT".... Portez vous bien. --kristofol-Camille-rémy (discuter) 20 août 2018 à 17:51 (CEST)Kristofol Dimanche 6 octobre 2019. Je viens de modifier la première phrase de l'article. Et je propose, et insiste pour que son titre soit modifié en "MOUVANCE AUTONOME EN FRANCE". Maintenant "action", "sur le terrain"; j'essayerai de prendre le temps de refondre cet article un de ces jours ou nuits . Carpe diem, noctemque... ;)--kristofol (discuter) 6 octobre 2019 à 10:03 (CEST)[répondre]

les vrais autonomes du sud de la France: clandestins, anonymes, et actifs. Non au parisianisme et à l'idéologisme à outrance[modifier le code]

je copie ici quelques notes que je viens de poster plus haut dans cette discussion dans le chapitre "discussion thématique", alinéa "politique ou pratique ? "  : Je suis en très grande partie d'accord avec toi, sauf concernant les "pro-situs" (il existe toutes sortes de pro- ou post-situs, ou situs tout court, à ne ne pas confondre les uns avec les autres, surtout les "situs" de salons, de bistrots et d'amphis avec les "situs" de la rue et du "terrain"); j'y reviendrais plus loin. Vite fait, concernant les FOS (Les Fossoyeurs du nouveau monde- groupuscule assez radical, trop, actif à la fin des années 70, début 80, spécialistes du cassage de squatts en prétextant qu'ils étaient contre-révolutionnaires car trop parcellaires et éphémères, avant le Grand Soir- en gros)- je ne connaissais pas cette abréviation, mais j'en ai cotoyé certains ex-, et j'ai entendu parler de première source de certains de leurs déplorables "exploits", en Cévennes entre autres.Il me semble qu'ils doivent être très brièvement cités en insistant sur leurs actions négatives, et en sourçant. Les maos: oui il me semble qu'ils n'ont rien à faire dans cet article. Hier en remaniant la phrase d'introduction j'ai laissé cette référence, mais OK pour la supprimer. Autres références: j'ai laissé la référence aux "négristes" (est-ce necessaire ? ), mais perso je n'ai jamais lu une ligne de sieur Negri, ni jamais entendu quiconque y faire référence. Et je découvre le terme d'"opéraïsme". Par contre ne sont pas cités les " indiens métropolitains " de Bologne, entre autres lieux, qui ont influencé certain-e-s un peu plus jeunes que moi. Les désirants ! certes ! nous sommes tous-toutes des désirant-e-s ! mais de là à citer "les désirants" comme une des 5 tendances de la mouvance toto dans les années 70, il y a une marge, c'est délirant ! Mais citer Deleuze et Guettari comme référence intellectuelle OK.(ces deux là ont été aussi actifs dans certains comités et certaines actions, et l'achat d'un mas en Cévennes mis à la disposition de groupes divers et d'été) Les "teppistes": jamais entendu parler, quoique le concept de "délinquance révolutionnaire" me parle.Soit supprimer cette référence, soit la développer dans un paragraphe qui pourrait être intitulé "influences théoriques" ou quelque chose comme çà... ? Grosse parenthèse : il me semble qu'il faut toujours avoir à l'esprit en contribuant à wikipedia que des ados de 14 ans, ou moins, nous lisent pour préparer un exposé scolaire, ou par simple curiosité, et que nous ne rédigeons par un mémoire de master 2, ni une thèse de doctorat. wikipedia est une encyclopédie généraliste et didactique.

Concernant le "Comité invisible " et autres "comité indicible " (si si, il existe...), je vais aborder le fond du fonctionnement des groupes autonomes tel que je le connais après plus de 50 années d'expériences pratiques plus ou moins intenses et intermittentes ( pour ne parler que des 2 dernières années : Notre Dame des landes, les Gilets jaunes, soutien aux catalans et à des luttes et actions locales et régionales) 1) Il faut différencier les "vrais" groupes autonomes des groupes de la mouvance autonome qui agissent sur une action précise et plus ou moins ponctuelle ou pérenne(occupation d'un lieu, etc) comme ceux des nouveaux mouvements sociaux. Les "vrais" groupes autonomes sont par essence, pour la plupart, clandestins et anonymes ( ne mettant en avant publiquement ni le nom de leur groupe, si il existe, ni leurs personnes). Beaucoup d'entre eux disposaient, et disposent toujours pour les nouveaux groupes, d'une façade légale et publique, en association avec d'autres personnes ne faisant pas partie du G.A, souvent sous forme d'asso Loi 1901 avec un local ouvert au public, servant de lieu de réunions à d'autres groupes et assos très divers, de bibliothèque-librairie, parfois d'un bar et d'une cantine, et même de chambres ou dortoirs (pour des permanent-e-s, et en hébergement d'urgence pour des personnes en difficultés) Mais ces deux structures, groupes autonomes et lieu associatif public, sont clairement séparés, les réunions des G.A se faisant en dehors du local public, et aucune trace du G.A ne se trouvent dans ce local, mis à part quelques piles de tracts, flyers, et brochures signés d'un nom quelconque ( comité , ou collectif, de ceci ou de cela). L'entrée dans un groupe autonome se faisant par cooptation suite à des contacts personnels plus ou moins fortuits ( perso ce fut le 1er mai 1969, lors d'une fête publique -avec repas, danses,discours, etc- organisée, dans un grand bâtiment municipal, par la section départementale de la CNT-FAI ibérique - Confederacion Nacional del Trabajo - Federacion Anarquista Iberica.).Je pourrais développer pendant des pages le mode de fonctionnement interne des G.A, et leurs actions, mais je me contenterai de parler que des années précédant 1990. Je me rends compte en écrivant ces notes et en relisant l'article et la page de discussion qu'ils existent deux sortes de G.A , ceux qui signent de leurs noms et sont mediatisés, et les autres, qui sont clandestins. 2) cet article est très, beaucoup trop, centré sur Paris et sa banlieue, ses idéologues, ses groupuscules et la moindre manif et occupation, alors qu'il y a autant, si ce n'est plus, de manifs et occupations, qui se sont passé, et se passent toujours en "province". Je citerai simplement quelques actions auxquelles j'ai participé ou que d'autres membres du groupe (nous étions divisés en sous-groupes par zone géographique et lieux de travail et d'études) m'ont raconté, en temps que membre d'un G.A clandestin (Le Groupe Autonome Montpellier-Cévennes). L'influence des anarchistes ibériques (catalans, castillans, basques) dans le midi de la France. Tout d'abord il faut spécifier que dans le "midi" de la France, qui correspond au "Nord" de la Catalogne,de l'Espagne et des Pyrénées, nous avons subi une très forte influence des anarchistes ibériques (castillans, catalans, andalous et basques) ne serait-ce que par nos origines familiales, et la proximité géographique. Et ce dès 1939, lors de la Retirada (exil des combattants républicains, dont beaucoup d'anarchistes, suite à la victoire des fascistes de Franco), puis pendant la Résistance (entre 1940 et 1944, rappelons qu'une bonne partie des combattants de la brigade de la 2ème DB du général qui entra en premier le 24 aout 1944 dans Paris pour la libérer était composée d'anarchistes espagnols !), puis dans les années 50, 60, etc . Ces anarchistes, ou libertaires, ibériques réfugiés puis installés dans le sud de la France nous influencèrent beaucoup de part leurs pratiques de solidarité, de clandestinité parfois, et accessoirement d'usage des armes et explosifs. Environ un tiers ou un quart des membres des G.A du sud de la France avaient, dans les années 60 et 70, des origines (parents et/ou grands parents) ibériques plus ou moins républicaines et anarchistes. Les traditions de luttes des mineurs, etc dans les Cévennes : Notre G.A s'appelait "Montpellier-Cévennes" et étaient composés en partie de mineurs, du côté d'Alés et la Grand-Combe, ou de fils et filles de mineurs, ayant la tradition de longues et dures gréves, ainsi que la mémoire des groupes de résistants assez nombreux en Cévennes, et des guerres de religion (résistance armée au pouvoir royal et catholique aux XVIIème et XVIIIème siécles). Accessoirement la récupération d'explosifs divers était assez facile dans les mines ! Convergence des luttes avec les vignerons occitans et catalans D'autres membres de notre G.A étaient viticulteurs exploitants, ou ouvriers agricoles, et nous pratiquâmes une solidarité active avec les mouvements viticoles des années 1960-70, que cela soit lors des manifs dans les villes du coin (Narbonne, Béziers, Montpellier) qui rassemblèrent parfois plus de 100.000 personnes, jusqu'à 300.000 ! et croyez-moi, c'était quelque chose, entre les jets de cocktail, les tirs de grenades, la mise en fuite de dizaines de fonctionnaires casqués en uniforme ou pas, barres à mine et pieds de biche en mains, etc . Et les plasticages de gendarmeries, de centres de perceptions des impôts, de prisons, causant au minimum la casse de quelques portes et vitres, et la crémation de quelques véhicules de l'Etat. Tout cela a été très peu médiatisé au niveau national ! Vous vous rendez compte, ce sont des mauvais exemples, si les gens commencent à plastiquer les bâtiments de l'Etat... cela peut donner des idées à d'autres ! A coté de ce nous avons vécus " dans le Sud" dans ces années, les "petites " manifs parisiennes (hors 1968) me font sourire et pitié..... Anecdote sur l'utilisation des armes à feu

A propos de 1968 à Paris, des membres du groupe y étaient présents(je n'y étais pas, n'ayant que 14/15 ans, mais j'avais déjà créé mon propre petit groupe autonome, situationniste de fait, sans jamais encore avoir entendu parlé de ces deux notions, dans ma ville de province du Sud) ) et m'ont raconté des bagarres sur les toits du quartier Latin entre ceux qui voulaient tirer, armes chargées à la main, sur les flics, et ceux qui ne voulaient pas en disant que ce n'était pas le moment, que les flics allaient répliquer avec des armes à feu, et que l'Armée pourrait intervenir, et que cela allait être des massacres, et que nous allions perdre. Cet usage, ou non, de la violence envers les personnes (avec uniformes ou non) méritent un paragraphe.

A suivre: sur les différentes sortes de " situs", notre solidarité active avec les ibériques dans les années 60/70 (Gari etc) et faire le ménage dans la beaucoup trop longue énumération des manifs et occupations parisiennes.... et comment SOURCER ! Salut et fraternité. et shake les totos et totettes (ou sisters si vous préferez)... Note concernant LES NOUVEAUX MOUVEMENTS SOCIAUX en réponse et complément d'une note çi-dessus de Christian Hivert: Oui Christian, d'accord sur ton analyse. Personnellement, dés 1968 (oui, j'étais précoce, 14 ans ! ), en province ( comme disent les parigots ) à Montpellier et en Cévennes, j'ai participé à la création de plusieurs groupes, ou les aient cotoyés, autonomes de fait, rentrant dans la catégorie "nouveaux mouvements sociaux " : espèces d'athénée libertaire (avec bibliothèque, librairie, etc), embryons de coopérative de production et de consommation (en circuit court et bio), groupes de luttes de lycéens, d'étudiants, d'ouvriers, de femmes, GLH (Groupe de Libération Homosexuelle ), GRIAP ( Groupe de Reflexion Information Action sur les Prisons), Collectif Cannabis, GIP (Groupe d'information sur les psychotropes), et multiples squats et embryons de ZAD, n'ayant que de rares contacts et liens très informels avec les groupes équivalents à Paris énormément plus médiatisés, et n'ayant pas de gurus ni de grands intellos (mais bien sûr nous lisions aussi Deleuze, Foucault, etc, et Vaneigem, et Hakim Bey...). Et de tels groupes existaient et existent toujours dans beaucoup d'autres villes de province, et même, de plus en plus à la campagne, avec la croissance des néo-ruraux. Faut-il inclure ces groupes, AUTONOMES de fait, dans cet article sur la "mouvance autonome en France " ? Il me semble que oui, car bien que tous leurs membres ne se revendiquent pas d'une quelconque appartenance politique, ni d'une quelconque idéologie, une bonne partie de leurs fondateurs, animateurs et leaders de fait, se situent en leur for intérieur (sans exhiber leur drapeau noir et autres symboles et bouquins théoriques, ni jouer les gurus et grands théoriciens) dans la mouvance libertaire, autonome ( salut les totos !), etc. Ces groupes étaient, et sont, autonomes de fait, et sont la moelle, la séve, les colonnes vertébrales et les multiples branches et racines de la mouvance autonome ! Autre praxis des membres des G.A à décrire dans cet article : LA RECHERCHE DU PLAISIR IMMEDIAT, par une certaine liberté sexuelle, l'absorption plus ou moins usuelle de vins, alcools, et autres substances légales ou non, et souvent une vie quotidienne plus ou moins communautaire --kristofol (discuter) 7 octobre 2019 à 14:17 (CEST)[répondre]

Pfff, quel boulot, j'y suis depuis hier matin, à modifier et sourcer. Certaines affirmations me font bien rire jaune en lisant par exemple qu'en 1977 se tint à Paris la première réunion de l'Assemblée Générale Parisienne des Groupes Autonomes (AGPA), alors qu'en juin 1969 j'ai participé à une réunion de coordination internationale des groupes autonomes(clandestins, comprenant entre autres des espagnols et des italiens recherchés par la police et dont certains risquaient de se faire garotter = étrangler par une courroie en cuir, par l'Etat espagnol), dans un grand mas cévenol appartenant à Félix Guettari, ou à Gilles Deleuze ( je ne m'en rappelle plus). Mais nous étions clandos, et refusions par principe toute mediatisation.... Ce qui a pour conséquence que 50 ans aprés nos existences soient quasiment inconnus des historiens... MDR... bien que nos actions aient plus ou marqué et influencé le paysage social, culturel, et politique français depuis la fin des années 1960. On est taupe, et invisible, ou on ne l'est pas.--kristofol (discuter) 8 octobre 2019 à 03:38 (CEST)[répondre]

(copie, pour une meilleure lisibilité, d'un commentaire que je viens de faire au début du chapitre "Chronologie", sur des incidents lors d'une manif à Paris en 1979 ) : Quel intéret de mentionner ce minuscule incident ? Si chacun de nous mentionne chaque manif auquel il a participé ayant donné lieu à des incidents (heurts quelconques ) on n'en finit plus . Il doit bien y avoir un blog sur lequel transférer cette beaucoup trop longue et détaillée énumération de "hauts faits ", sinon en créer un, et faire un renvoi de cet article vers le blog ! ? Action .... quel blog ? qui s'en charge ? aprés avoir fait un tri en gardant quelques " actions " significatives . Selon quels critères ? 1° a priori, pour qu'elles soient mentionnées dans wikipedia, il faut qu'elles soient sourcées, ne serait-ce que par une mention dans un media quelconque. Cette simple nécessité de sourçage va deja occasionner du boulot ...et permettre de faire le tri. 2°que cette action présente un intérêt par son originalité : très grands nombres de manifestants, manif à vélo ou à poil, crémation de bâtiments publics ou privés ou de véhicules de l'Etat ou non, 3°bien sûr si il y a eu un mort ou plusieurs blessés graves, et des interpellations ayant donné lieu à de lourdes condamnations (plus d'un an ferme ? ) Idem pour les squats: quel intérêt de lister presque systématiquement chaque ouverture et expulsion de squat ? Une simple liste des principaux squats avec leurs adresses et la date de leur ouverture et de leur expulsion , ou abandon, suivit amplement.

Cette liste est pour le moment presque exclusivement PARISIENNE ! qu'en est-il de la "province" ? Perso, je pourrais vous faire de tête ( sans me rappeler précisement du jour, ni du mois, et sans consulter mes archives) dans les heures qui suivent, une liste d'environ 10 pages serrées, avec une seule ligne par action ou occupation, d'actions auxquelles les membres des G.A, les autonomes, ou totos ont participé plus ou moins collectivement, depuis 1967 (occupation temporaire d'une cité universitaire de filles; hé oui, avant Nanterre !) jusqu'à samedi dernier 5 octobre 2019 pour la énième manifestation des Gilets jaunes, à Montpellier et dans ses environs, et l'ouverture d'un nouveau squat..... --kristofol (discuter) 8 octobre 2019 à 11:23 (CEST)[répondre]

Teppisme ?[modifier le code]

De l'italien "teppisti" I presume ? Vandale ou voyouCe concept ne me semble pas déclencher les foules, si seul Chollet en fait état peut être serait il bien venu de laisser l’appellation habituelle de banditisme ou délinquance révolutionnaire, les "buon banditi" dont parle Lucio Urtubia, mais c'est mineur Christian Hivert (discuter) 7 mai 2024 à 17:09 (CEST)[répondre]