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Discussion:Miserere (Rouault)

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Création de l'article Miserere[modifier le code]

Par ce mot, j'exprime mes remerciements aux utilisateurs Utilisateur:Jistrum, Utilisateur:Polmars, Utilisateur:Eric-92, Utilisateur:Daehan pour le formatage de l'article. Un mot de gratitude pour Utilisateur:Agapite qui a bien voulu me relire dans Modernité avant que le lien avec Rouault ne soit assuré (en faveur de celui qui fut le plus ancien des artistes qui ait fait le pas de la modernité avec ceux qui, du point de vue de l'âge, le suivaient).

Suite de la rédaction de l'article - discussion[modifier le code]

En l'état, l'article relatif au Miserere mérite d'être étoffé. Il le sera par référence à la correspondance entre Monique Saint-Hélier et Lucien Schwob publiée en 1985 et par rapport au Rouault - Souvenirs de Claude Roulet, publié en 1961. Je n'ai pas sous le yeux l'ouvrage de 2005: merci à chacun de vérifier si ce que j'affirmerai ici est compatible avec l'état de l'historiographie de l'artiste et de motiver les critiques voire proposer des solutions en DISCUSSION.--Sotousg (discuter) 21 novembre 2014 à 15:44 (CET)[répondre]

L'exemplaire du Rouault de Cl. Roulet dont je dispose est annoté (crayon vert de J.P.S. - monogramme pour Jean-Paul +S.), ceci en date du Nouvel-An 1964. Il y a renvoi au texte (pp. 175/76 pour la beauté des formes). Le nom de Picasso en page 175 est ainsi explicitement souligné dans le texte d'une lettre de Léon Bloy à l'artiste, datée du 1er mai 1907, que l'auteur cite largement avant de préciser que l'auteur "s'est installé à Versailles vers 1910" où, au long de cinq ans, les liens avec Jacques Maritain furent fermement noués. Le Miserere permet ainsi d'admettre que la construction de l'église Eglise Saint-Michel de Porchefontaine à Versailles (1908 à 1935/37) et sa décoration par les fresques illustrant la Sainte-Trinité (1945) disposent d'un préalable fondateur absolument déterminant (rien moins qu'à Versailles!), pouvant en particulier expliquer le fait que Rouault ait été obligé de suspendre vingt ans durant la publication prévue en 1927.--Sotousg (discuter) 21 novembre 2014 à 15:44 (CET)[répondre]
L'intervention du 14 décembre 2014 me permet de présumer le fait que la corbeille du Miserere, mise en place par Rouault le 22 novembre 1908, a été approuvée le mardi 20 juillet 1909 par les familles de feu Gustave Moreau, d'Edouard Stebler, sous l'autorité d'Albert Gerne (1858-1934) accompagné de Pierre Beck (intervenant au nom d'Albert Trachsel). Sitôt après le retour de Paris de Charles Humbert, une convention aurait été passée à Delémont le 17 mai 1912, impliquant notamment la famille Widmer de Péry (Canton de Berne). On notera ici que Pierre Beck, graveur à Bienne, est représenté par Léo-Paul Robert dans ses peintures monumentales du Grand Escalier du Musée de Peinture de Neuchâtel; il apparaît dans le rôle du chef d'Atelier qui est intégré au tableau figurant l' Industrie spécifique aux Montagnes neuchâteloises. La convention en question permettra la clôture de la correspondance échangée entre Christian Beck et André Gide (dernière lettre, n°139, du 20 novembre 1913), une correspondance engagée vers la fin de l'été 1896, au moment où les Salons de la Rose-Croix à Paris parvenaient au moment critique qui entraineront leur cessation en 1897 avec le Sixième Salon organisé dans la Galerie Georges-Petit. De cette convention résultera aussi l'œuvre de Jean Petit, dédié à Le Corbusier.--Sotousg (discuter) 14 décembre 2014 à 14:39 (CET)[répondre]