Discussion:Henri Victor Vallois

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Lien entre race et chromosome Y[modifier le code]

Si on compare à la génétique du chromosome Y

Races primitives : terme politiquement incorrect, mais aussi génétiquement car les Vedda et Australiens ne sont pas à la base de l'arbre phylogénétique du chromosome Y (transmis par le père), ni à celui de l'arbre phylogénétique de l'adn mitochondrial (transmis par la mère), ils sont issus de l'"Out Of Africa" datant suivant les auteurs entre il y a 130.000 et il y a 60.000 ans.

Vedda : domine l'haplogroupe C1b-M356 (ancien C5, "Found with low frequency in South Asia, Central Asia, and Southwest Asia"), peut-etre aussi F1-P91 et C* (C non classé).

Australienne : 2 haplogroupes de branches différentes par moitié : C1d-M347 (ancien C4) dominant dans le Nord-Australie, K21a2 (ancien K2) dans le Sud.


Races noires  : composée de

Ethiopienne : Mélange variale suivant les etnies ethiopiennes de E (mélano-africain) et de J1 originaire de la Péninsule Arabique.

Mélano-africaine : hg E à 90% (la branche E1b1b est blanche (hgs mitochondriaux européeens et moyen-orient) et nord-africaine), 5% hg A (fort chez les Nilotiques : 60% chez les Dinkas), 5% hg B.

Négrille : hg B dominant, plus ou moins mélangé de l'hg E suivant les groupes.

Khoisan : hg A dominant, plus ou moins mélangé de l'hg E suivant les groupes.

Mélano-indienne : hg H dominant et caractéristique avec plus ou moins forte présence de C1b-M356 , F1-P91 et les plus nordiques L, J, G et R.

Négrito : D* dominant aux iles Andaman, K2b1-P397 en Indonésie et Philippines (plus ou moins mélangé de C, de O et d'autres K).

Mélanésienne : C1c-M38 (ancien C2) domine en Est-Indonésie et Mélanésie, présent en Papouasie où domine M dans l'ouest et sur les cotes et S dans l'est intérieur. M et S sont 2 branches de K2b1-P397.


Races blanches : composée de dix races

Nordique : hg I1 dominant en Centre-Scandinavie pour plus de 40%, présent ailleurs dans le Nord de l'Europe, avec I2 au sud, N1c-YAP au nord et à l'est, R1b au sud-ouest, R1a au sud-est.

Est-européenne : hg R1a dominant avec présence de hg N1c ("finnois") augmentant vers le nord et de hg I2a1b ("dinarique") vers le sud.

Dinarique : remarquablement caractérisée par l'haplogroupe I2a1b-M423 qui atteint son maximum chez les Croates d'Herzégovine et de Dalmatie avec plus de 60%.

Alpine : R1b dominant surtout à l'ouest, présence de I1, I2b au nord,de E11b-V13 ("albanais" ou sud-Balkans),I2a1b-M423 ("dinarique") et R1a slave vers l'est.

Méditerranéenne : important mélange avec des apports proche-orientaux d'haplogroupes E1b1b, G, J et T. Dominent R1b en Espagne, France et Nord-Italie, E1b1b-V13 et J2 dans les Balkans, E11b-M81 au Maghreb, J1 et E1b1b-M78 en Egypte.

Sud-orientale :, J1 domine au Sud-Levant et Mésopotamie et dans la Péninsule arabique., J2 domine au nord Levant et Mésopotamie, T et E1b1b-M22 sont présents au Levant. E1b1b-M123 est présent partout.

Indo-afghane : R1a-Z93 domine avec forte présence de L et moindre de J2, G et H.

Anatolienne: J2 domine avec 25%, forte présence de G2 (14%) , de R1b-M269 (14%), moindre de J1,de E1b1b-V13, de E1b1b-M123.

Aïnou : hg D1 très dominant 87% (présent aussi chez un tiers des Japonais, surtout dans le Nord-Hondo et Hokkaïdo), ensuite 10% C1a1-M8 (ancien C1 présent) chez 8% des Japonais. Les hg mitochondriaux sont est-asiatiques et non "blancs".

Touranien : R1a-Z93 dominant et ancien, mais fort apport de C2-M217 (ancien C3) turc et mongol.les hg mitochondriaux sont un mélange d'hg européens et est-asiatiques variables suivant les ethnies.


Races jaunes : composée de huit races

Sibérienne : Ancienne dominance de Q3, encore vrai chez les Kets et Selkups (langues iénisseiennes), reste disséminé ailleurs, présent dans l'Altaï , dominance de C2c (ancien C3) chez les Bouriates et les Tongouses, dominances de N chez les Yakoutes et les Nenets; présence de R1a vers l'ouest et de D vers l'est.

Nord-mongole : forte dominance de C2c (ancien C3), présence de O3 vers la Chine et de O2 vers la Corée.

Centro-mongole : forte dominance de O3, importante présence de O2 vers la Mandchourie au nord et le Vietnam au sud et de O1 sur les côtes sud-ouest de la Chine. Au Tibet, fort mélange de O3 et de D2 et D3 au Tibet. D2 et D3 majoritaires dans certaines provinces du Tibet.

Sud-mongole : Mélange de O1, O2 et O3 avec des haplogroupes mitochondriaux différents de la Chine. Présence de C, D et N.

Indonésienne : Mélange de O1, O2 et O3 variable suivant les iles avec des haplogroupes mitochondriaux différents du continent. Présence de K2-M526 et C1c-M38 (ancien C2) de plus en plus vers l'est.

Polynésienne : Mélange de Sud-mongol, Indonésien et Mélanésiens homogénéisés avec forte sélection naturelle récente. C1c-M38 (ancien C2) mélanésien domine O3 est-asiatique mais les hgs mitochondriaux est-asiatiques dominent largement, surtout le "motif polynésien" le hg mt B4a1a1.

Eskimo : le hg Q1a2a1a1-M3 essentiellement, le haplogroupe mitochondrial est A.

Amérindienne : le hg Q1a2a1a1-M3 principalement et avec d'autres haplogroupes Q1a2a1-L54 est presque exclusif sauf arrivée plus tardive de C2b1-P39 surtout présent dans l'Est-Canada (langues athabascanes) et quelques présences dans l'Est-USA. les haplogroupes mitochondriaux sont A (nord), B (Pacifique), C et D (sud) avec des proportions différentes suivant les régions et ethnies.

Avant le Néolithique il y a plus de huit mille ans et ses expansions agricoles et mélanges, probablement certains haplogroupes caractérisaient mieux beaucoup d’ethnies. Une faible population maintenue par les ressources faibles avec de fortes variations causées par les variations de température moyenne (glaciations et sécheresses) contribuaient à maintenir et augmenter une forte unicité par région des caractéristiques génétiques, anatomiques et physiologiques, ceci entraîné par effet fondateurs, dérives génétiques et pressions naturelles. En général, les caractéristiques de race sont plus parallèles aux haplogroupes mitochondriaux (transmis par les mères) que les haplogroupes Y (transmis par les pères), mais les haplogroupes matrimoniaux sont plus diffus (échange et capture de femmes entre les groupes) que les haplogroupes Y oû la patrilocalité a été le cas très général.

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par FJP (discuter), le 11 juin 2014 à 09:38

Portraits[modifier le code]

Bonjour, on peut voir dans les Origines et jeunesse du Professeur Henri-Victor Vallois, Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris Année 1982 Volume 9 Numéro 2 pp. 93-101, par André Delmas, deux portraits du jeune professeur H. Vallois. Aucun auteur n'est spécifié mais la description des images laisse supposer qu'il faudrait chercher du coté de l'Université de Montpellier et de Toulouse (faculté de médecine).

Un autre portrait, de bien meilleure qualité, est également disponible à cette adresse mais est encore protégée par le droit d'auteur car l'auteur, Robert DOISNEAU, est mort en 1994, il faudra attendre jusqu'en 2065.

Je n'ai pas trouvé d'autre image, malheureusement.

R [CQ, ici W9GFO] 5 août 2016 à 10:47 (CEST)[répondre]

Manque de neutralité[modifier le code]

La conclusion suivante manque de neutralité : "Le consensus scientifique actuel rejette l’existence d'arguments biologiques qui pourraient légitimer la notion de race humaine".
D'une part il n'y a absolument aucun consensus scientifique, et les arguments mis en avant ont déjà été démontrés comme faux. D'autre part, les sources avancées sont au mieux non-représentatives, au pire marginales. L'Observatoire de la génétique n'est qu'un réseau de scientifiques comme des centaines d'autres, et l'auteur de l'article une scientifique sans aucune renommée contrairement à Vallois. Peut-être la meilleure source serait la déclaration de American Association of Physical Anthropologists mais là encore ça n'est qu'une association parmi d'autres, et sans aucune compétence en génétique des populations. J'ajoute que son orientation politique ne fait pas de doute : "Instead, the Western concept of race must be understood as a classification system that emerged from, and in support of, European colonialism, oppression, and discrimination." La science ne devrait pas être mise à contribution de telles constructions politiques. Enfin, prétendre que les races humaines serait dénuées de fondements biologiques entraînerait l'abandon de cette classification pour l'ensemble du monde vivant. Il faudrait donc changer la phrase pour plutôt parler de remise en cause.

Imposteursavant (discuter) 26 juin 2020 à 13:36 (CEST)[répondre]

Etant donné que vous n'avez même pas la politesse de me répondre je vais demander l'arbitrage.

Imposteursavant (discuter) 27 juin 2020 à 00:25 (CEST)[répondre]