Discussion:Gourou
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Tracasseries faites à Papotages[modifier le code]
- La proposition suivante a été jugée non-neutre par aoineko.
- Aucune motivation de sa part.
- Pas d'explication pour me dire ce qu'il trouve biaisé
- Il y a 11 lignes pour décrire la position des anti-sectes et 3 pour celle des victimes de ces derniers.
- oui, je pense effectivement que cet article est non neutre dans l'etat. aoi
- La neutralité consiste-t-elle à cacher la réalité des documents qui sont effectivement distribués dans les écoles, les cliniques, hopitaux, postes de polices, administrations, entreprises?
- non. aoi
- La neutralité consiste-t-elle à réduire à 0 ligne ce qu'en pensent les défenseurs de la liberté?
- non. aoi
- Ou encore la neutralité n'est-elle pas encore un prétexte de harcèlement de la part de aoineko?
--- Réponse évasive. C'EST QUOI LE PROBLEME. Trop anti-sectes, trop sectes?
- non. aoi
Merci de vos réponses. Je commence à plus trop bien savoir à quoi, à qui, à quelle logique me fier. Merci de me remettre sur le bon chemin.
pap'otages 25 aoû 2003 à 06:21 (CEST)
Compliments, la version Francaise est très bien. Je la traduirai en Anglais. Andries 15 Feb
Différence entre classification et législation[modifier le code]
(gras ajouté)
En France, des études gouvernementales contestées[...]
Des personnes soucieuses d'objectivité en matiére de spiritualité objectent que cette manière de considérer ,"en bloc",les gourous est calomnieuse et en dénoncent le caractère propagandiste, diabolisateur, partial et intolérant, en violation avec les articles 18 et 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et le principe de laïcité qui interdit à l'État toute ingérence dans le fait religieux. Toutefois, au niveau juridique, la Cour européenne des Droits de l'Homme n'a jamais donné droit aux requêtes s'opposant aux législations nationales protectrices des abus des groupes présumés sectaires.
Je ne comprends pas: parle-t-on d'études ou bien de législation ? Apokrif 6 février 2006 à 15:26 (CET)
- Au passage la CEDH ne s'opposent pas aux les législations en tant que telles, elle dédommage simplement des plaignants contre la violation des droits prévus par la convention, ce qui peut parfois inciter un État à modifier une loi qui l'exposerais à de nouvelles condamnations. La formulation et l'opposition entre « personnes soucieuses d'objectivité » et gouvernement sont aussi très problématiques. GL 21 février 2007 à 14:00 (CET)
- sur le mot "études parlementaires" ...il faut en effet repréciser :un rapport parlementaire n'a pas la valeur d'une loi...Elle peuvent bien sûr être remise en question ou déboucher sur une loi.mais par elles mêmes les rapport n'ont pas force de loi.
- sur les personnes soucieuses d'objectivité.
Ceux qui relativisent ,et évitent de diaboliser...Un peu comme le fait cet article plagié d'un site internetBel-Air
Section retirée[modifier le code]
Je place ci-dessous la section récemment ajoutée qui n'est pas destinée à cet article mais à l'article Gurû. Celui-ci traite de l'acception dérivée (et plus ou moins péjorative) du terme (et un renvoi à l'article homonyme est fait dans le corps de l'article). --A t a r a x i e--d 22 janvier 2009 à 19:58 (CET)
Dans l'hindouisme
La religion hindoue est fondée sur la direction spirituelle de personnes appelées maîtres (en sanskrit : gourou)[1].
Il n'existe aucune autorité habilitée à décerner ce titre, puisque l'hindouisme, sans autorité centralisatrice ordonnée, n'a ni Eglise, ni clergé, ni école de formation pour les gourous potentiels[1]. Néanmoins, il serait inconcevable que quelqu'un s'autoproclame gourou[1]. C'est donc en fin de compte la rumeur publique, sur la base d'un accomplissement spirituel supposé, qui laisse entendre que tel ou tel aurait la stature d'un maître (il en est de même pour les brâhmanes)[1].On vient alors l'écouter et si quelques personnes s'en disent disciples, la cause est entendue[1].
Encore faut-il évidemment que le maître ait quelque chose à dire et que son enseignement ait du poids (au sens spirituel bien entendu)[1]. Le plus souvent le maître a commencé par être l'élève d'un autre gourou qui, au fil des années, a pu le former et lui transmettre des enseignements[1]. Dans certains cas, de véritables lignées à caractère initiatique s'instaurent, notamment dans le domaine du vêdânta, ou dans le tantra-mârga et le yoga[1]. Il faut préciser cependant que la très grande majorité des disciples retournent à leurs occupations mondaines après avoir fait retraite auprès d'un maître pour un temps plus ou moins long[1]. Seuls persévèrent ceux qui se sentent appelés[1].
L'enseignement du gourou implique évidemment la présence de disciples[1]. Ceux-ci se groupent volontiers autour du maître afin de profiter pleinement de sa parole et forment ainsi une communauté, l'âshram, où s'organise une vie réduite au strict nécessaire [1]; (en principe l'âshram n'est jamais bâti, puisque le constitution d'une telle communauté se fait au hasard des circonstances [1]; le plus souvent un ascète errant - sâdhou - se fait connaître par la sagesse des avis qu'il donne au cours de ses pérégrinations[1]. Quelques personnes s'attachent à ses pas et, éventuellement, le persuadent de s'arrêter dans une clairière, une grotte, etc[1], en tout cas à l'écart des villages, comme le veut une règle tacite de l'hindouisme vécu[1]).
En principe, le gourou ne se préoccupe pas du fonctionnement de l'âshram qui reste toujours un groupement informel et précaire[1] : volontairement, on proscrit toute forme d'organisation régulière, car il est entendu que l'âshram n'existe que dans la mesure où le maître a quelque chose à enseigner (et qu'il accepte de le faire) et où il y a des gens qui ont envie de recevoir cet enseignement[1].
A la mort du gourou (ou lorsque celui-ci décide de se retirer, déclarant à son élève : "je t'ai enseigné tout ce que je savais, maintenant tu dois t'en aller"[1]), la communauté est dissoute d'elle-même[1].
La norme est également que le nombre des disciples soit très réduit, ne serait-ce que parce que la relation directe maître-élève est privilégiée[1]. Nombreux d'ailleurs les gourous qui n'ont que deux ou trois disciples et parcourent avec eux l'Inde, rendant ainsi impossible l'installation d'une communauté stable[1].
Evidemment, il y a des exceptions : c'est ainsi que le djaïnisme, le bouddhisme et le sikhisme sont devenus des religions à part entière ; - leur gourou (malgré lui ou non) a fondé un groupement qui leur a survécu et s'est détaché de l'hindouisme.
Mais il s'agit là d'exceptions rarissimes, qui confirment la règle : des milliers de maîtres continuent de nos jours de dispenser un enseignement spirituel à de petites communautés informelles qui méritent plainement le nom d'âshram[1].
Reste que la fonction essentielle du gourou, si modeste soit-il, est d'aider ceux qui s'adressent à lui à s'engager sur la voie du développement spirituel allant au-delà de ce qu'offre l'exercice ordinaire de la religion[1].
Les disciples le plus souvent proposés à ses enseignements sont ceux pour ce faire sont le yoga, le vêdânta ou des formes particulières de la bhakti (dévotion)[1]. Bien souvent aussi le gourou apparaît comme un sage qui continue de vivre dans le monde mais accepte de jouer un rôle le rôle de directeur de conscience ou, plus simplement, de conseiller en matière religieuse.
Mais en aucun cas il ne doit être rémunéré (on lui donne des dons : une nourriture végétarienne et frugale essentiellement), sous peine de perdre aux yeux de l'opinion
(seul juge en la matière) son statut de maître spirituel hindou[1], c'est-à-dire de Gourou.Lutte anti sectes[modifier le code]
Toute la fin du chapitre "La notion de « gourou » dans la lutte contre les sectes en France" me parait se rapporter au sujet des sectes en général, et non spécifiquement des gourous. D'autre part dans la biblio, sur 3 livres, les 2 que je connais n'ont manifestement pas été utilisés ici. Je les supprime, j'hésite pour le 3e. Mica (d) 24 janvier 2009 à 12:20 (CET)
- Le 3e n'a pas non plus été utilisé ici, mais il est plus dans le sujet [1]. Mica (d) 24 janvier 2009 à 12:36 (CET)
Notes et références[modifier le code]
- Dictionnaire de L'HINDOUISME, Jean VARENNE, éditions du Rocher (ISBN 2268041514)
Sources et archives en 404[modifier le code]
Plusieurs sources et archives ne sont plus accessibles et deux autres font référence à des pages de Wikipédia. En conséquence, je pose un bandeau à "Sourcer". --Ptypo (discuter) 7 juin 2020 à 10:56 (CEST)
- Bonjour Ptypo, avant d'enlever des sources comme vous l'avez fait, vous auriez pu vérifier si elles étaient encore consultables ou faire un appel pour les réparer (modèle:Lien brisé). C’était facile à faire via une recherche Google. Pour le reste, vous pourriez ajoutez des refnec (il y en a déjà) pour pouvoir cibler ce qui mérite d'être sourcé. Cordialement, Asterix757 (discuter) 7 juin 2020 à 13:53 (CEST)
- Ptypo : J'ai corrigé un autre lien brisé, et ajouté d'autres refs. Cordialement, Asterix757 (discuter) 7 juin 2020 à 14:42 (CEST)
- Bonjour Asterix757. En effet, je comprends tout à fait la démarche mais j'ai manqué de temps hier pour ces recherches et ne connaissant pas le modèle:Lien brisé, j'ai posé le bandeau un peu dans l'urgence. Merci pour vos conseils et votre travail sur cette page. Cordialement, --Ptypo (discuter) 8 juin 2020 à 20:02 (CEST)
- Ptypo : J'ai corrigé un autre lien brisé, et ajouté d'autres refs. Cordialement, Asterix757 (discuter) 7 juin 2020 à 14:42 (CEST)
- Article du projet Religions et croyances d'avancement BD
- Article du projet Religions et croyances d'importance moyenne
- Article du projet Christianisme d'avancement BD
- Article du projet Christianisme d'importance faible
- Article du projet Monde indien d'avancement BD
- Article du projet Monde indien d'importance faible