Discussion:Droits de scolarité au Québec
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Crédits d'impôts[modifier le code]
Dans tous ces calculs ne manque-t-il pas la valeur des crédits d'impôts au Québec ? Je ne me rappelle pas trop bien si depuis le printemps érable la structure fiscale n'a pas été modifiée en défaveur des étudiants. Il me semble qu'avant, il y avait des montants de frais de scolarité qu'il était possible de reporter afin de les appliquer une fois que les revenus sont suffisant pour payer de l'impôt alors que maintenant, je pense ces crédits ne sont plus reportables et ne sont pas remboursables. Donc pour tous les étudiants qui ne doivent déjà pas payer de l'impôt en travaillant que 15h par semaine (job chez McDo ou au Tim Hortons par exemple), ils se retrouvent à ne plus pouvoir bénéficier de ce "remboursement d'impôts" Si quelqu'un si connait en matière fiscale ce serait bien de l'indiquer, car ça finit par compter dans les frais totaux à payer. (31 Mai 2020)
Désorganisé[modifier le code]
L'article est un peu désorganisé. Je comprends qu'il n'est pas facile d'en faire une version plus structurée dans le contexte actuel. Je peux cependant faire quelques suggestions pour plus tard :
- Dans la section historique, il faudrait décrire les travaux de la commission Parent, l'absence de droit de scolarité pour les niveaux primaires et secondaires publics ainsi que le montant des droits collégiaux et universitaires en fonction des époques.
- Établir des chiffres clairs pour les frais universitaires. Avant de dire que l'étudiant paie 11 % de ceci, 16 % de cela, qu'il paie plus que les européens, mais moins que les nord-américains, il faut les chiffres. - Simon Villeneuve (contact) 15 avril 2012 à 16:08 (CEST)
- Bonjour, Simon. Tu aurais dû voir l'article avant les événements! Encore plus un fouillis. J'ai ajouté récemment plusieurs section-nements pour nous aider à naviguer dans notre révision. Je suis d'accord que la commission Parent est une section prioritaire. J'ai analysé une partie du rapport de 2010 sur le financement des universités. Il y est clairement dit que deux principes s'opposent, quant à la question des droits de scolarité : celui du droit à l'éducation et celui de la « juste part ». En outre, les auteurs (rappelons que la Table des partenaires universitaires (syndicats d'enseignants, associations étudiantes, autres) ont refusé de participer à ce rapport, disant que « les dés étaient pipés »), reconnaîssent que les réforme (imposées par le Gouvernement Charest malgré le déficit démocratique de cet exercice) s'inscrivent résolument dans ce nouveau principe de la « juste part ». Il faudrait dont une section sur le principe de la « juste part », qui ne soit pas une cooptation de ce discours (après tout, l'argument du droit à l'éducation est aussi un argument fondé sur la justice et sur la part que les différents acteurs acceptent de payer (essentiellement, « juste part » d'impôts). --Pierre-Alain Gouanvic Discuter, tchatter etc. 15 avril 2012 à 21:03 (CEST)
- Bonjour,
J'ai fait une relecture rapide de l'article, notamment de la section universitaire. Dites-moi ce que vous pensez de la réorganisation pour l'instant. J'ai enlevé du texte que je ne jugeais pas pertinent. Je l'ai mis ci-dessus, si jamais vous n'êtes pas de mon avis. Bye. — Riba (discuter) 15 avril 2012 à 22:42 (CEST)- Bonjour, effectivement, je ne suis pas entièrement d'accord, personnellement, mais je suis plutôt content de voir une page plus propre maintenant. Reprenons donc graduellement l'enrichissement de la page.J'ai déplacé la boîte dans une section séparée, ci-dessous, pour « digérer » ce mélange. Invitation à extraire une par une les phrases jugées pertinentes et à justifier leur réintroduction, après la boîte déroulante. --Pierre-Alain Gouanvic Discuter, tchatter etc. 16 avril 2012 à 03:14 (CEST)
- Bonjour,
Texte retiré (15 avril 2012)[modifier le code]
À l'université de Montréal, les étudiants paient 15,7 % des coûts, alors que les subventions paient 76,3 % des coûts. Cet argent sert aux trois quarts à payer la masse salariale dont 12 % des coûts provient de la direction et 37,5 % du personnel non enseignant (sans compter les professeurs qui ne font que de la recherche). Les professeurs et chercheurs représentent 42,9 % des coûts salariaux alors que c'est 6 % pour les chargés de cours. Le service de la dette cause 1,8 % des dépenses. La dette est entièrement due à la hausse des dépenses de l'université (particulièrement pour l'immobilier et l'administration) qui a fait suite à la hausse des frais de scolarité. La dette augmente continuellement depuis le dégel des frais alors que les universités n'avaient aucun déficit avant le dégel de 2007[1].
En 2007, les universités du Québec dépensaient 20 290$ par étudiant, comparé à 18 941$ pour le Canada et 11 254 $ pour la moyenne des pays de l'OCDE[réf. nécessaire]. Les universités du Québec sont donc parmi les plus dépensières au monde[réf. nécessaire]. La plus grande dépense des universités et donc l'utilisation principale des droits de scolarité (11 % du revenu des universités) est le salaire des professeurs et chargés de cours. La deuxième est le coût de la recherche si on ne considère pas le fait que les professeurs sont principalement payés pour leurs recherches. Cependant, la différence de coûts entre les dépenses des universités du Québec provient principalement des frais de gestions et des développements immobiliers qui sont beaucoup plus importants au Québec qu'ailleurs au Canada. Les professeurs ont un salaire plus faible au Québec qu'ailleurs au Canada, mais ils sont plus nombreux que dans les universités voisines[réf. nécessaire]. Les frais de scolarité québécois sont parmi les plus chers au monde[réf. nécessaire].
En considérant les frais institutionnels obligatoires en plus des frais fixés par le gouvernement, mais sans considérer les frais d'utilisation de certains services obligatoires de l'université (puisqu'ils varient trop selon la situation), les frais optionnels, les frais d'assurance, les frais hors campus et les frais d'association même s'ils sont obligatoires pour un étudiant québécois, le coût d'une année de 30 crédits à l'université de Montréal est de 2695,50$[2],[3]. Pour l'UQAM, c'est de 2637,70$[4]. Pour l'université Laval : 2717,16$[5]. Pour l'université de Sherbrooke : 2700$[6]. Pour l'université McGill : 3689,80$[7]. Pour l'UQO : 2603,60$[8]. Il faut donc considérer une moyenne universitaire d'environ 2650 $, plus ou moins 50$ de frais. C'est cependant beaucoup plus cher à l'université McGill. Les frais institutionnnels obligatoires augmentent plus vite que l'inflation et font que depuis 1988, il n'y a plus eu de véritable gel des frais de scolarité[réf. nécessaire]. La hausse réelle des 5 prochaines années sera donc plus grande que 1625$ en comptant les frais institutionnels obligatoires[réf. nécessaire].- http://www.umontreal.ca/budget/Budget-UdeM-2011-12.pdf
- http://www.etudes.umontreal.ca/payer-etudes/droit-scolarite.html
- http://www.etudes.umontreal.ca/payer-etudes/frais.html
- http://www.servicesfinanciers.uqam.ca/droits-de-scolarite-et-autres-frais.html
- http://www.sf.ulaval.ca/pdf/tableaux_aut2011_hiv2012_quebec.pdf
- http://www.usherbrooke.ca/admission/cout-des-etudes/etudiantes-et-etudiants-quebecois/
- http://francais.mcgill.ca/law-admissions/undergraduates/costs/
- http://services.uqo.ca/SimulationFraisEnLigne/default.aspx
Controverse de neutralité[modifier le code]
Comme dans le cas de Grève étudiante québécoise de 2012, la pose du bandeau de non neutralité semble reposer sur une critique de l'exhaustivité de l'article, qui est clairement identifié comme ébauche. Contrairement à l'article mentionné plus haut toutefois, l'usager anonyme qui a posé le bandeau n'a pas fait la démonstration de la l'absence de neutralité en pointant spécifiquement vers des sections qui pourraient porter à controverse et n'a même pas tenté de corriger la non-neutralité présumée, à l'exception de quelques ajouts de {{refnec}} (qui ont été fournies par des éditeurs). Qui plus est, l'article est une ébauche et est identifié comme tel. Enfin, je note également l'absence d'activité sur cette page depuis la pose du bandeau, ce qui m'amène à penser qu'il s'agit d'un geste non-constructif. S'il n'y a pas d'autre objection majeure sur la neutralité de l'article (un bandeau de neutralité doit être une procédure d'exception plutôt que la règle), je suggère de retirer ce bandeau à compter du 13 mai et d'utiliser la procédure normale sur Wikipédia, qui est le travail collaboratif et l'établissement de consensus sur la page de discussion. — Bouchecl (dring) 10 mai 2012 à 18:43 (CEST)
- Bandeau retiré — Bouchecl (dring) 13 mai 2012 à 15:49 (CEST)