Discussion:DEMOS/Archive1

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DEMOS et la direction de l'UNEF[modifier le code]

Depuis quelque temps, sur cette page, il y a une série de revers sur la question de la représentation de DEMOS à la direction de l'UNEF. N'étant pas moi même membre de l'UNEF, j'avoue avoir du mal à suivre cette affaire. Mais, il y a là quelque chose d'intéressant pour l'article. N'ayant pas bien compris le fond de l'affaire, j'aimerai des explications avant de rédiger quelque chose. Que c'est-il passé le 6 avril? Les représentant de DEMOS dans les instances dirigeantes du syndicat (BN et Commission de contrôle) ont-ils été désignés par la majorité sans discussion avec les animateurs officiels de DEMOS? Dans ce cas, deux hypothèses : ou les membre désignés d'office sont, plus ou moins, complice et accepte la désignation, dans ce cas là on peut parler de crise interne à DEMOS. Ou les désignés d'office refusent le coup de force, et on peut parler de bras de fer entre la sensibilité et la majo.

En attendant, des éclaircissements, je propose que l’on cesse les revers. Pour cela, je propose que toute modification sur la question passe d’abord par la page de discussion, et que l’on prenne une décision collective sur la rédaction de ce paragraphe avant de publier sur l’article. Chamole 20 avril 2007 à 09:09 (CEST)[répondre]

Je fais partie des vilains reverteurs. Je ne sais rien au sujet de cette affaire et ne peut donc rien en dire, mais le texte ajouté par une IP à plusieurs reprises n'est manifestement pas neutre, ni sourcée. Oxo | °°° | 20 avril 2007 à 10:14 (CEST)[répondre]


Chamole, tu me semblais portant familier de cette organisation... et nous nous connaissons pourtant il me semble... Mais je n'ai rien contre le fait de te donner des éclaircissments, afin que nous puissions ensemble défendre et propager la vérité...

Oui, les nouveaux membres pour démos ont été désignés d'office sans discussion avec les animateurs de démos. C'est par un membre extérieur à la direction que nous avons appris que de nouveaux membres avaient été nommés et élus à notre insu. Non seulement, la nouvelle personne qui a été nommée responsable de démos n'a jamais milité au sein de démos et a adhéré il n'ya pas plus de trois mois à l'unef, mais en plus, que les représentants d'"opposition " soit nommés directement par la direction majoritaire relève tout simplement de la plus improbable dictature. Ce qui est hallucinant, c'est que non seulement, personne si ce n'est le groupe en question ne peut désigner qui sont ses représentants, et en l'occurence , ceux qui ont été nommés sont plus que minoritaires ( certains d'entre eux d'ailleurs en réunion de sensibilité n'ont pas hésité à dire bêtement devant les militants réunis qu'ils avaient été débarqués par des personnes extérieurs à la sensibilité et à l'unef pour tenter de récupérer la main mise sur ce groupe) et c'est d'ailleurs parce que l'ensemble de l'unef sait pertinnament que ces mecs n'ont aucune légitimité qu'il a été convenu lors du congrès (en plénière, devant les 800 militants présents) que les postes de démos restaient vacants "en attendant accord entre ses membres" .

La direction de ce syndicat a préféré attendre un bureau national qui ne réuni que trente personnes pour faire voter, et de plus, en tout début de bn, alors que les représentants des minorités n'étaient pas tous arrivés, pour faire voter dans l'ombre cette auto-cratique décision. Quand une direction choisit elle - même qui peuvent être ses opposants, c'est le fait des dictatures, des pires régimes fascistes. Mais de plus , alors ue l'unef vient de fêter son centenaire, et que le président avec une réforme des statuts c'est engagé pour un syndicat démocratique, où chacun doit avoir sa place; ces méthodes,qui n'ont rien de nouvelles, restent fort décevantes de la part de dirigeants qui chaque année se regardent en chiens de faïences en se demandant pourquoi ils peinent à recruter de nouveaux militants...Ces pratiques laissent bien sceptiques sur l'honnêteté des convictions de ces dirigeants... qui pourtant régulièrement se plaisent à dénoncer le facisme, l'intolérance, les manoeuvres petites politiciennes de leurs aînés...ainsi que la crise d'une génération a laquelle une bande de vieux réacs refusent de faire la moindre petite place...

Quand à la source, pour oxo, comme les archives du pc, quoi que pourtant, il me semble que depuis plus de deux ans maintenantn, elles semblent visiblement plus libres d'accès que celles de l'unef, elles ne sont pas forcément des plus évidentes à trouver. Néanmoins, si tu rassembles les différents textes de l'unef et de démos en particulier et que tu observes l'évolution de ses membres, que tu regardes ensuite sur le site internet de l'unef, sur la page qui présente les membres du bn, tu peux constater deux choses: 1) les membres de démos qui étaient au bureau national sont purement éliminés de la liste des membres présentés, ce qui peut s'expliquer par la résolution prise au congrès 2) par ce fait, cette explication devient contradictoire avec la présentation de frédéric vigouroux comme membre de la commission de contrôle alors pourtant qu'il est membre de démos. Il y a donc bien deux pratiques différentes et contradictoires vis à vis des différents membres de démos tels que traîtés par a direction de ce syndicat.

Ce n'est donc pas un problème stricte à cette sensibilité mais bien un problème plus large, où la direction d'une organisation fait le choix d'intervenir directement pour désigner qui est ou non son "opposition" (bien que démos ait toujours soutenu la majorité de la majorité nationale, becs et ongles, quand bien même celle ci lui plantait couteau dans le dos en préférant préparer certain congrès plus que de soutenir le mouvement sur le budget de l'université de rouen.. En faisant le choix d'éliminer, à chaque fois, et pas uniquement pour démos, les membres quelle n'estime pas servir ses intérêts partisants, la direction de l'unef vient de montrer une fois de plus son abscence de volonté de réunir une seule jeunesse, unie, solidaire, démocrate, puissante..

Une petite réponse à 90.8.14.225. Merci d'être passer par la page de discution de DEMOS. Avant d'aller plus loin, juste une précision sur moi. Je ne pense pas que nous nous connaissions. En outre, je connais mal l'actuelle UNEF (en tout cas dans son fonctionement interne). En effet, si, comme je le dis sur ma page de présentation (Utilisateur:Chamole), j'ai bien milité à l'UNEF, il y a déjà plusieurs années que c'est finit. En fait, j'ai milité à l'UNEF-ID à la fin des années 90. Voilà, ceci étant dit, j'ignore(ais) tout de cette affaire, intéressante et instructive sur le fonctionnement de l'UNEF. Si ce que tu affirmes est vrai, il faut bien sur écrire quelque chose à ce sujet. Mais avant de rédiger quoi que ce soit, il faut apporter des preuves de cette affaire. Au minimum, il faudrait que d'autres utilisateurs de la Wikipédia proche, ou membre de l'UNEF, tendance majorité nationale aient assez de bonne fois pour confirmer tes dires. Mais mieux, il faut une source sûr et vérifiable. Demos, ou un organisme proche (politique, associatif...), ont-ils communiqué à ce sujet, même sur un journal ou blog interne? Quand au site de l'UNEF, il n'apporte rien puisque le nom des membres de l'équipe de direction n'est pas suivit d'une référence à une tendance ou sensibilité. Merci donc d'apporter un ou deux éléments de preuve. Chamole 26 avril 2007 à 17:02 (CEST)[répondre]
Il s'est passé que qu'une fraction de l'ancienne direction c'est fait mettre mino par une action commune des 2 AGE et d'une fraction de l'ancienne direction, et qu'ils ne l'admettent pas. GL 27 avril 2007 à 16:32
Pour l'absence de communique de quiconque, en dehors de Wiki qui semble être devenue un lieu de combat pseudo-politique tres important pour certains, sans doute parce que c'est le seul, il est tout simplement lie au fait que les personnes qui ont ete congedies etaient totalement incompetents et incapables de faire du syndicalisme étudiant, s'ingeniant meme a ridiculiser l'UNEF en toute circonstances, leur incapacite allaient si loin que plus personne ne pouvaient les soutenir, et depuis ils ont trouve wiki pour faire croire qu'une simple rectification de l'encadrement intermediaire est une lutte politique entre la majo et une de ses sensibilites. Ils interviennent d'ailleurs sous la forme d'IP anonyme, signe qu'ils ont quelques chose à se reprocher. GL 29 avril 2007 à 16:19

Réponse à GL, tes éclaircissements sont intéressant quoique très défavorable à l'ancienne direction. Puisque tu reproches aux autre d'intervenir de manière anonyme, je te suggère de te présenter, surtout de nous faire connaître ton implication à l'UNEF. Pour certains, GL est peut-être suffisamment claire mais pour beaucoup comme moi, ça ne veut rien dire.

La majo a été mise en minorité dis-tu. C'est très intéressant mais par qui? Quelles sont les conséquences politiques d'un tel changement? Une querelle de personne (je n’y crois pas beaucoup!)? Un affrontement dans le courant fabiusien? Il semble qu'il y a pas mal de problème à l'UNEF Rouen, cette hypothèse me parait donc fort plausible. Qu'en est-il? Chamole 30 avril 2007 à 16:27 (CEST)[répondre]

Je suis un militant de l'UNEF en RP qui a assisté au congrès de Lille, où la sensibilité DEMOS est apparue partagée en deux groupes, un rassemblant les présidents AGE qui avait l'air de vouloir faire du syndicalisme avec le soutien très clair de l'ancien responsable de la sensibilté à la CC, et l'autre ou une partie de l'ancienne direction nationale paraissait surtout vouloir garder sa place au BN. J'ai discuté avec les uns et les autres, et c'est vraiment une pure querelle de personne, les AGE en avaient marre de leur suivi qui faisait n'importe quoi. Elle a d'ailleurs fait un discours absolument ridicule, mais extrémement drôle lors du congrès qui a fait mourir de rire tout l'amphi. Sinon on n'avait pas l'impression d'un arriere plan politique, et en tout cas rien à voir avec des luttes internes au courant Fabius, puisque les gens avec qui j'ai discuté, et qui avaient gagné les congrès locaux étaient communiste et socialiste, pour les autres de l'autre côté c'était plus flou et beaucoup n'avaient pas trop l'air de savoir pourquoi ils étaient là, certains n'étaient même pas adhérents (sic.) En tout cas leur groupe a essayé à plusieurs reprises de bordéliser le congrès, mais sans y arriver car ils n'étaient pas vraiment doués. En tout cas DEMOS nous aura offert une bonne tranche de rigolade.
Et pour en revenir au gens qui ne se présentent pas, mais ont l'air d'être bien au courant, je pense que ce sont les comiques qui se sont retrouvés minoritaires et qui ne l'admettent pas GL 2 mai 2007 à 14:10

Les éléments qu'apporte GL correspondent à ce que j'ai pu apprendre en interrogeant les gens de l'UNEF avec lesquels j'ai des contacts. En outre, j'ai relevé ceci sur le blog du député UMP de Rouen, Bruno Devaux, dont la permanence a été saccagé en marge d'une manifestation étudiante : "Juste pour info: Boris Chaumette est le président de l'UNEF rouen. Il y a actuellement une scission importante avec l'ancienne présidente Nathalie Beauval et guillaume Legal (Vice président étudiant de l'université) qui ont été radié de l'UNEF Rouen avec l'aide du national... " (Cf. www.bruno-devaux.com/blog. Notons que Nathalie Beauval et Guillaume Legal sont précisément les personnes qui ont été écartés du BN. En outre, l'étude de la composition des instances dirigeantes de l'UNEF semble confirmer aussi les faits. Avant le congrès, on note pour DEMOS au BN : Nathalie Beauval et Guillaume Legal à la commission de contrôle (CC) Frédéric Vigouroux. Après le congrès Nathalie Beauval et Guillaume Legal disparaissent effectivement du BN alors que Frédéric Vigouroux devient vice-président de la CC, j'ignore sur d'autres membres de DEMOS se retrouve au BN. Pour info, voici les listes de membres du BN, avant et après le congrès :

Voici la liste des membres du BN communiqué sur le Site internet de l'UNEF avant congrès :

L'UNEF aujourd'hui

Le Bureau National de l'UNEF :

Président : Bruno JULLIARD (president@unef.fr) Vice-Président: Benjamin VETELE (bvetele@unef.fr Secrétaire Générale : Caroline DE HAAS (sg@unef.fr) Trésorier : Jean-Baptiste PREVOST (tresorier@unef.fr)

Kamel AOUDJEHANE (ee@unef.fr) Yann BENHAYOUN (rp@unef.fr) Nathalie BEAUVAL Tristan BENOIST Clément BOUDIN(ucef@unef.fr) Laurianne DELAPORTE Reinaldo DOS SANTOS Corentin DUPREY (province@unef.fr) Germain FILOCHE (feruf@unef.fr) Nicolas GOUGAIN (societe@unef.fr) Juliette GRIFFOND Quentin GUILLEMAIN Mila JEUDY (communication@unef.fr) Lucas JOURDAIN Tristan LAHAIS Thierry LE CRAS Sébastien LOURADOUR Camille MICLOT Hélène PASQUIER Guilhem RESSOUCHE Gabriel SZEFTEL (presse@unef.fr) Leyla TEMEL Victor VIDILLES (international@unef.fr) Julien VICAINE Guillaume VIOLET Mickaël ZEMMOUR (aidesociale@unef.fr)

Délégué au Bureau National : Erell DELESVAUX Guillaume LEGAL Mathieu MOREAU

Membres de la Commission de Contrôle : Sophie BINET (universitaire@unef.fr) Fabrice CHAMBON Raphaël CHAMBON Mélanie COLLET Annie GOUBA David HUYNH Marianne MUGNIER Frédéric VIGOUROUX

Et voici l'actuel BN disponible sur le site de ( l'UNEF :

Le Bureau National de l'UNEF Elu par la CA, il anime l'UNEF et coordonne son action au niveau national. Il élit en son sein le président de l'UNEF, et constitue l'exécutif du syndicat.

Président : Bruno JULLIARD — president@unef.fr Vice-Président : Benjamin VETELE — bvetele@unef.fr Secrétaire Générale : Caroline DE HAAS — sg@unef.fr Trésorier : Jean-Baptiste PREVOST — tresorier@unef.fr Délégué Général : Yann BENHAYOUN — ybenhayoun@unef.fr

• Commission Aide Sociale — aidesociale@unef.fr Mickaël ZEMMOUR — responsable de l'aide sociale Camille MICLOT Guilhem RESSOUCHE Quentin GUILLEMAIN Kamel AOUDJEHANE — responsable des questions relatives aux étudiants étrangers

• Commission Universitaire — universitaire@unef.fr Sophie BINET — responsable de la commission universitaire Juliette GRIFFOND Thierry LECRAS Anna MELIN Sébastien LOURADOUR Julien VICAINE

• Commission International — international@unef.fr Victor VIDILLES — responsable des questions internationales Reinaldo DOS SANTOS

• Commission Communication — communication@unef.fr Mila JEUDY — Responsable de la communication Gabriel SZEFTEL — Responsable des relations presse Lucas JOURDAIN

• Commission Province — province@unef.fr Guillaume VIOLET — Responsable de la province Tristan BENOIT Germain FILOCHE — Responsable des élections

• Commission Region Parisienne — rp@unef.fr Hélène PASQUIER — Responsable de la région parisienne Lauriane DELAPORTE

• Commission UCEF (Union des Coopératives Etudiantes de France) — ucef@unef.fr Clément BOUDIN — Responsable de l'UCEF

LA COMMISSION DE CONTRÔLE

Elue par le Congrès, elle vérifie la conformité des décisions de l'UNEF avec ses statuts et émet des propositions de résolution des conflits qui peuvent se poser dans les AGE.

Présidente : Sophie BINET Vice-Président : Frédéric VIGOUROUX Vice-Présidente : Annie GOUBA Mélanie COLLET Tristan LAHAIS Corentin DUPREY Leyla TEMEL

Toutes les sources étant concordantes, y compris le(s) contributeur(s) anonyme(s), j'en conclu qu'une modification est possible. Je propose donc d'intégrer ceci :
"En 2007, des tentions dans l'AGE de Rouen, la principale AGE de DEMOS entraîne le renversement de la présidente Nathalie Beauval et de son équipe, remplacé par Boris Chaumette et ses proches. Cela a des répercutions sur l'organisation de la sensibilité. Ne parvenant pas à s'entendre avant le congrès les membres de DEMOS se révèlent dans l'incapacité de désigner des candidats pour occuper les postes réservés à cette sensibilité au bureau national de l'UNEF. Toutefois, Frédéric Vigouroux, partisan de la nouvelle direction d'AGE conserve son poste à la commission de contrôle". Et l'on modifiera quand les postes du BN seront attribués (à des proches de Boris Chaumette sans aucun doute). Qu'en pensez-vous? Chamole 4 mai 2007 à 10:05 (CEST)[répondre]

  1. Pour : me semble aussi sourcé et neutre que possible. Oxo | °°° | 4 mai 2007 à 10:15 (CEST)[répondre]
  2. Pour : cela me semble très correct, par ailleurs, au vu des contributions anonymes, notamment la première, on peut supposer que les postes ont déjà été attribués, même si cela n'est pas encore indiqué sur le site Fredtoc 4 mai 2007 à 10:56 (CEST)[répondre]
Effectivement, Fredtoc a raison, les postes doivent être attribués. A qui?Chamole 5 mai 2007 à 14:50 (CEST)[répondre]

Je n'ai pu me connecter plus tôt pour des raisons personnelles.

La version proposée est erronée. Du fait que Nathalie Beauval n'est plus depuis longtemps et au moment du congrès présidente d'AGE mais responsable de sensibilité. On le déduit du fait que c'est elle qui est membre du bn à ce moment mais il n'y a pas à priori de source extérieure permettant d'officialiser sa responsabilité, il faut pour valider cette information des témoignages honnêtes de militants de la majorité nationale, quoi que il suffirait de mettre la main sur les publications précédentes de démos, ne serait ce que sa revue parue au moment du congrès pour sourcer cette dernière référence. Aussi le clivage n'est pas un problème local mais en effet un division plus affinée d'un point de vue politique, entre frédéric vigouroux, précédent responsable de sensibilité, de 1998 à fin 2005 (date à laquelle il part 6 mois à l'étranger) et ses suiveurs, et entre Nathalie Beauval qui prends sa succession à la tête de la sensibilité et idem. Au moment du congrès local de l'age de rouen, c'est hadrien régent qui est président d'age (voir signataires du texte de démos et du texte de la majorité natinal pour le congrès de lille). A la suite d'un congrès local très tendu où la majorité d'age s'est rendue compte au dernier moment, que le fichier des adhérents avait été transmis par la directon de l'unef à des gens qui n'appartenaient pas au bureau, dont boris chaumette, la majorité local à été renversée à peu de voix (cinq maxi) sur la base notamment d'un texte diffamatoire (une procédure pour difamation est d'ailleurs en cours) et par des pratiques très discutables lnotamment sur les votes en cité U.. lors de ce congrès local.

Enfin, quand au propos de gl su ce qui s'est passé au congrès, ils n'engagent que lui, mais son ton semble trop agacé pour être crédible. Pour avoir été pmrésent moi aussi au congrès, il me semble que ta vision de l'intervention de la responsable de démos est un peu erronée, quoi que il me sembl que rire lorsque l'on est incapable de comprendre est en fait assez banal. Je mn'ai en tout cas pas du tout le même souvenir que toi sur cette intervention, non seulement je me souviens d'une salle qui très majoritairement s'est soulevée pour applaudir cette interventon (d'ailleurs, ce genre de claque, de débordement de la majorité nationale est assez rare, quand on connaît l'attention toute particulière qu'apporte d'habitude les dirigeants sur le placement des gens dans la salle), mais bon, ta mauvaise foi sur ce congrès est peu être le signe de ton amertume sur ce moment.... Je note néanmoins, que la partie de démos menée par nathalie beauval et guillaume legal au bn, ne devais pas être si ridicule ou si insignifiante puisque la direction de l'unef à préféré se la jouer discrète sur ses projets de liquidation de démos à ce moment.

Je pense en tout cas, que l'actuelle éclatement de démos n'est pas une question de personnes, ni de compétence, il suffit d'aller sur google pour examminer la "trace" militante de l'engagement de chacun des protagonistes pour ce faire une idée. Peut être en effet, ce qui se passe aujourd'hui est un désir de vengeance de la part d'une direction prétentieuse, qui malgrès ses tentatives de ridiculiser toutes actions militantes de la part de démos, depuis son age principale, s'est tout de même fait imposer un mouvement d'ampleur nationale tel que celui qui a duré plus de cinq semaines à rouen sur la question du budget universitaire , ou encore la capacité de cette sensibilité à se dévellopper de façon autonome, ce fût le cas notamment lorsque nathalie beauval et guillaume legal réussir à se défendre sans même une attention autre qu'un ricanement de la part des membres de leurs bureau national, alors que des collectifs intersyndicaux se sont montés, que plus de 60 lettres de soutiens de politiques, des syndicats, de branches syndicales, d'élus, ônt été envoyés au procureur, que même la cgt au niveau national (voir son site à ce moment) à manifestée son soutien (alors que l'unef (!) n'en a pas même pris la peine!!!).


Je pense qu'il y a en fait dux problèmes.

Tout d'abord, C'est donc bien à une fracture entre deux courants de démos à laquelle on assiste, entre la branche "anciens" menée par frédéric vigouroux (en examinant les dernières publications de démos et les signataires des textes nationaux, on constate que jonhathan halimi et boris chaumette n'ont jamais eu aucune implication dans démos, il semble donc être fraîchement "débarqués" (par qui?)au profit des manoeuvres de déstabilisation des actuelles dirigeants de démos avec nathalie beauval et guillaume legal. Il faut noter également que jonathan halimi, désigné aujourd'hui (par qui?) comme soit disant nouveau responsable de démos, a adhéré à l'unef à l'occasion du congrès (aucune trace de lui avant, notamment lors du cn d'octobre par exemple où à ce moment il n'ya aucune fracture dans démos)mais collabore depuis un bon bout de temps au magasine TOC... On est en droit de se demander si il n'y a pas la une manoeuvre de récuparation d'appareil à des fins plus personnelles menée par arnault chmapremier, fondateur historique de démos. Ainsi, cela permet de resituer les propos de démos avec nathalie beauval et guillaum legal sur la question de l'indépendance (voir la dernière page de leur publication au congrès d lille). Peut être, au delà des clivages politiques entre ses deux groupes(et il y en a , souvenons nous tout de même que frédéric vigouroux a ouvertement dit avoir voté oui à la constitution européenne , ce qui n'est pas le cas des nouveaux dirigeants nathalie beauval et guillaume legal), il est peut être surtout question d'une lutte pour une indépendance réelle de cette sensibilité. Ainsi, le groupe beauval/ legal, se retrouvent amenés à défendre ce qui est dans la droite ligne de démos depuis son origine, contre la branche de vieux menée par vigouroux au profit de champremier, qui eux semblent aujourd'hui avoir oubliés ce qu'ils défendaient hier.

Deuxièmement,au delà des problèmes internes de démos, je pense que cette division arrange au mieux la majorité nationale qui a besoin dans les mois qui viennent de faire de la place dans l'unef pour intégrer de nouveaux groupes politiques. est ce d'ailleurs pour cela qu'il n'indique pas les nouveaxu membres de démos au bn? Parce qu'ils savent que leur pratique est scandaleuse et qu'ils ne veulent pas choquer leurs militants? Ou bien afin de se saisir de cette occasion pour faire disparaître démos (jeunes ou vieux), ni vu, ni connu? N'oublions pas que démos est située en fabiusie. Il n'y a pas à ma connaissance de véritables fabiusiens dans l'unef, en revanche , les nouveaux groupes politiques qui vont être intégrés apprécieraient sans doute de pouvoir aller faire la peau à fabius sur ces terres, puisque démos ne le fait pas....


La dernière partie de l'article de démos étant erronée, je le supprime. Je ne propose pas autoritairement autre chose pour l'instant, je pense que cela serait bien si quelqu'un d'un peu plus détaché de cette discussion pouvait proposer quelque chose,je pense également qu'il faut pour tous un moment de réflexion.

Enfin, je me permets juste de rappeler, notamment à gl, que les attaques personnelles, les injures, sont arguments de ceux qui n'en ont pas! ;-)

très certainement, mais si tu pouvais dire qui tu es (Nathalie Beauval ? Guillaume Legal ? une autre personne ?) ce serait bien, d'autant que tu te livres à des attaques personnelles sans preuves , alors que Chamole a fait le travail de retrouver des documents qui appuyent sa position.Fredtoc 5 mai 2007 à 17:03 (CEST)[répondre]


Bien que certains ici refusent de le faire, je vais avant tout me présenter. Je suis Boris Chaumette, le nouveau président d'AGE de l'Unef Rouen. Je ne souhaitais pas intervenir dans cette discussion car pour moi la vie syndicale sur Rouen ne mérite pas de telles emportements mais puisque de + en + de messages me parviennent et qu'il est ici fait référence à certains faits, je pense qu'il est de mon devoir d'apporter un éclairage sur le sujet. Je viens donc de m'enregistrer sur Wikipedia afin d'apparaître avec un pseudo identifiable.

Il a été dit plus haut que j'aurais été "débarqué" pour prendre le contrôle de l'Unef Rouen. Or je tenais à préciser que c'est Nathalie Beauval qui m'a recruté lors du mouvement sur le CPE. Je suis devenu président d'AGE le 3 juillet 2006 après consultation des militants de Rouen et sur proposition de Nathalie Beauval qui a alors démissionné de son poste de présidente d'AGE (source : document officiel de la préfecture + document manuscrit signé par Nathalie Beauval certifiant ma nomination).

Après des tensions qui n'ont rien de politique mais qui reposent sur des incompétences personnelles de la part de certains dirigeants (de très nombreux témoignages peuvent être recueillis ; un certain discours a effectivement déclenché l'hilarité de la salle du Congrès), la situation a été réglée au congrès local qui s'est déroulé les 19 et 20 février. Les adhérents ont élu le bureau d'AGE unanimement (source : procès verbal d'Assemblée Générale signé par l'ancien bureau). Lors du Congrès National à Lille, la sensibilité Demos s'est réunie. Une sensibilité nécessitant de disposer de 2 AGE au minimum, les délégués de l'AGE de Rouen et ceux du Havre ont décidés d'élire leurs représentants au BN et leur responsable de sensibilité. Une majorité de délégués (6 contre 3)a voté pour Jonathan Halimi comme responsable de Demos et membre du BN, pour Frederic Vigouroux comme membre de la CC. J'ai moi même été élu comme délégué au BN (source : je peux citer nominativement les différents délégués et ceux-ci peuvent être interrogés) Certains ont préféré marquer leur mécontentement et la Majorité Nationale, devant ce qui ressemblait à une absence d'accord a préféré ne pas intervenir dans le choix des représentants de notre minorité. Les places sont restées vacantes pdt 15 jours environ, période qui coincide avec les déclarations effectuées sur Wikipedia à ce moment. Le BN, une fois au courant de la situation, a fait respecté les règles qui régissent notre organisation, à savoir que les AGE des tendances et sensibilités minoritaires doivent désigner démocratiquement leurs responsables. Ainsi, le vote des délégués de Rouen et du Havre a été entériné. (Le site internet de l'Unef n'étant pas toujours actualisé, ces informations peuvent être vérifiées auprès du BN).

Je ne comprends pas vraiment les procès d'intention qui d'ailleurs ne reposent sur aucunes sources et qui, je pense, sont des fabulations de personnes refusant le résultat démocratique du Congrès. En particulier, si, comme le prétend l'IP anonyme, Frederic Vigouroux a voté oui à la Constitution, j'ai pour ma part voté non et ne m'en suis jamais caché. Je tiens également à préciser que, alors que je suis le premier concerné en tant que président d'AGE, je n'ai aucune information quant à une éventuelle démarche visant à faire annuler le congrès local qui a été doublement reconnu : par les instances de l'Unef et par l'ancienne direction d'AGE. Par ailleurs, je m'étonne de la remarque sur une éventuelle disparition de Demos. Je n'ai aucune information sur de telles menaces pesant sur cette sensibilité. D'autant plus que lors du CN de janvier, la direction de l'Unef a modifié une réforme statutaire qui aurait pu entrainer à court terme la disparition de Demos puisqu'elle stipulait qu'une sensibilité devrait disposer d'une AGE + d'un membre du bureau d'une AGE d'une autre académie pour se constituer, ce qui n'est pas le cas de Demos (source : texte préliminaire au CN). Pourquoi la direction de l'Unef aurait-elle défendue l'avenir de Demos si c'était pour remettre la sensibilité en cause à peine 2 à 3 mois plus tard ?

J'avoue ne pas bien comprendre pourquoi ce sujet est traité d'une façon aussi enflammée et surtout si tout ce débat a réellement sa place sur une encyclopédie. Si toutefois, les différents contributeurs souhaitent obtenir des renseignements, je suis tout à fait disposé à leur en fournir. Je tiens à leur disposition tous les textes auquels je fais référence. Si les administrateurs de Wikipedia estiment que cet aspect de Demos mérite d'être relaté, la contribution de Chamole semble être un bon résumé.

BorisCh 05 mai 2007 19h12



Boris, prétendre un renversement d'une partie de démos en prétextant des raisons de compétences me semble tout d'abord bien présomptueux mais me semble également être un argument effroyablement apolitique dans un débat qui pourtant est bien politique. Substituer une gestion entrepreneuriale à une direction politique et démocratique me semble être une dérive néo-stalino-fasciste (oui oui, j'assume l'expression!) assez inquiétante. Dire que tes dirigeants ou anciens dirigeants de sensibilité auraient été évincés par la main céleste du bn pour des questions uniquement de compétence, au regard des responsabilités et du passé militant de beauval et legal semble une réponse, si elle n'est malhonnête, assez naïve.... De nouveau, ce que tu dis sur l'intervention de démos au congrès n'engage que toi mais semble toujours d'assez mauvaise foi. D'ailleurs, j'aimerai savoir, avant que tu ne finisses par t'enregistrer et tomber ton masque sur wiki, tel un zorro tombé de son destrier, dis moi, à quel moment es tu intervenu? Ct toi le mec, gl, qui se disait militant de la rp? Difficile alors de faire la différence dans tes propos entre vérité et mensonges....qui il me semble sont assez nombreux...

Enfin, pour bien connaître les membres de démos, je serais assez intéressé que tu précises qui a voter en effet les représentants de démos, puisque tu prétends qu'il y a eu un vote, et à ton avantage, en interne, et que tu nous précises à quel moment pour le congrès ce vote à eu lieu. Je me permets néanmoins de te rappeler, comme il te l'a déja été rappelé il me semble, que la diffamation est un délit !-) A très bientôt, dans l'impatience de tes renseignements...

Ce débat est intéressant, mais juste une chose, on n'est pas là pour instruire, à charge et à décharge, le procès en compétence de Nathalie Beauval et de ses proches ni pour s'insulter ou se menacer. Ce qui nous intéresse c'est l'organisation de DEMOS, la ou les écoles de pensée(s) politique à laquelle elle se réfère. Je note qu'il y a bien une division à DEMOS et des tensions à Rouen. Je note aussi qu'officiellement, et ce jusqu'à une éventuelle annulation du congrès locale par la CC, si elle est saisie (!), le président de l'AGE est Boris Chaumette. A ce sujet, je me réjouis de constater, que comme je lui avais demandé par mail (visiblement je n'étais pas le seul) il soit intervenu dans la discussion et mieux encore, à visage découvert. Reste à savoir quelles sont les implications politiques de la crise. Un retour des réseaux Arnauld Champremier-Trigano? Une plus grande ouverture de DEMOS vers les alter mondialistes et la gauche non socialiste? Aucun changement, une querelle de personne? Chamole 6 mai 2007 à 23:25 (CEST)[répondre]
Je n'ai pas pour habitude d'intervenir dans les débats concernant Wikipedia, mais comme mon nom se trouve cité à plusieurs reprise dans ce débat je me permet de le faire et d'apporter des précisions.
Tout d'abord, l'ensemble des faits rapportés pas Boris Chaumette sont parfaitement exacts, ensuite pour apporter des précisions, le vote qu'il évoque a eu liei lors du temps prévu lors des travaux du congrès de Lille pour les discussions internes des tendances et des sensibilités, à savoir dans la soirée de vendredi, six des délégués de DEMOS étaient présents, dont les présidents légitimement et légalement élus par les congrès des deux AGE qui constituent notre sensibilité. Dans l'impossibilité de trouver un accord de fonctionnement avec la faction Beauval/Legal, alors même que nous avons essayé jusqu'au bout, et sous la pression de la Majorité nationale, il a été décidé, pour ne pas échauffer inutilement les esprits de laisser pendante la question de nos instances jusqu'après la clotûre du Congrès. Toutes les tentatives de conciliation, y compris de direction mixte, ayant échoué, le BN à décider de faire respecter le vote des délégués.
Par ailleurs, et puisque certains, courageusement anonymes, mettent cet aspect en avant, c'est effectivement uniquement la question de la compétence du groupe Beauval/Legal qui m'a poussé à soutenir Boris Chaumette et le président de l'AGE du Havre dans leur action de reprise en main de la direction de leur sensibilité, au delà des clivages politiques qui peuvent nous séparer, nous partageons une vision commune du syndicalisme étudiant. Je n'ai toujours pas compris quels sont quels sont mes "trahisons", car je défend toujours ce que je défendais hier, avec le souci de l'intérêt supérieur des étudiants et de l'UNEF, les anonymes qui m'attaquent seraient donc bien inspirés d'expliquer quels sont ces clivages "politiques", car je ne les ai toujours pas trouvé. S'ils sont assez courgaeux, ils peuvent d'ailleur me contacter, je pense qu'ils connaissent mon mail, mais pour ceux aussi qui souhaiteraient avoir d'avantage de précisions le voici : fvigouroux@unef.fr.
Frédéric VIGOUROUX, vice-président de la CC de l'UNEF, 7 mai 2007 à 12:30


Bonjour, je me présente à mon tour, n'ayant pas pris la peine de m'enregistrer sur Wiki, Jonas Didisse, trésorier de l'AGE de Rouen. Je n'ai pas moi non plus l'habitude d'intervenir sur ce type de médias, mais il me semble tout de même important d'apporter quelques élements qui me semblent importants dans cette reflexion, qui semblerait pourtant plus simple si chacun s'identifiait.

Premièrement, il me semble impératif de préciser l'importance de l'AGE du Havre. L'AGE de Rouen est certe l'AGE où se concentrent les problèmes propres à l'ensemble de la sensibilité, mais DEMOS comprend deux AGE et il ne faut pas oublier nos camarades du Havre, qui malgré les propos de certains sur l'absence de démcratie au sein de l'orgaisation ont eux-aussi participé aux décisions correspondantes à la représentation de la sensibilité. En effet, lors du congrés de Lille, les délégués de l'AGE du Havre, c'est à dire le président et le trésorier de cette AGE, ont participé aux débats, rendus pourtant difficile par l'obstination du groupe beauval/legal (antidémocrates??), et ont voté, tout comme la majorité des délégués de l'AGE de Rouen, la fin des mandats nationaux de guillaume legal et nathalie beauval, ainsi que la représentation de la sensibilité au bn par jonathan halimi et boris chaumette. Cela marque donc le caractère partagé de cette décision et contre par là les remarques ridicules à propos d'une majorité nationale qui veut impérativement écraser la sensibilité (texte préliminaire du CN évoqué par boris, choix de laisser les places de la sensibilité vaquantes lors du congrés au lieu d'estimer que n'arrivant pas à s'entendre localement la sensibilité ne peut participer aux décisions nationales,...). Il est par ailleur regrettable que certains au sein de l'organisation et de notre sensibilité voient nos camarades plus comme des adversaires que des partenaires, même si les débats peuvent être parfois vifs avec eux.

En ce qui concerne la présence contestée de certains au sein de l'UNEF et de DEMOS, je me permet de répondre à ces attaques très basses pour eux. La présence au sein de l'UNEF dépend d'une part du statut d'étudiant de ses membres, mais aussi d'une volonté personnelle de chacun de vouloir participer au développement de la structure (à l'inverse d'une volonté de conservation du pouvoir et de mise en échec de l'avancée des AGE et de la sensibilité). Or, Frederic Vigouroux, même s'il s'est absenté plusieurs mois, possède encore à l'heure actuelle le statut d'étudiant (en histoire), et a très largement participé et participe encore au développement de l'UNEF et de DEMOS. Jonathan Halimi est lui aussi étudiant et possède la réelle conviction que la structure peut évoluée et que notre sensibilité peut participer à cela. Ces deux camarades ont donc pleinement leur part dans l'UNEF et dans la sensibilité. Le reproche de la récente adhésion de Jonathan reste tout simplement absurde puisque celui-ci était et reste un militant sur Paris 3. Or, même si la sensibilité doit se tenir à deux AGE pour exister, elle ne doit cependant et surtout pas se limiter à ces deux AGE, mais peut et doit s'étendre vers des militants d'autres AGE, afin d'accroître l'étendue de DEMOS au sein de l'UNEF en ne se limitant pas à une comique oligarchie rouennaise. Il est d'ailleur lamentable de reprocher à tord ce manque d'expérience de la part de notre camarade alors que nathalie beauval et guillaume legal n'hésitent pas à impulser la présence de très jeunes adhérents (moins de trois mois) au sein du bureau de Rouen, alors que l'équipe nouvellement majoritaire accepte d'intégrer des personnes de l'équipe largement minoritaire (plus de 5 voix)dans le but de reconstruire dignement l'AGE, après un congrés local en bonne forme d'après le pv signé par l'ancienne et la nouvelle direction de l'AGE, affirmé par les membres du bn présents en observateurs lors de ce congré, et validé par la cnvm (Commission Nationale de Validation des Mandats); et qu'ils n'hésitent pas non plus pour faire venir sur un congré national des individus non adhérents aux yeux du bureau national et du bureau de l'AGE (je n'ai pu constater aucune entrée de fonds correspondants à des adhésions)

Maintenant que ces quelques éclaircissements ont été établis, il est nécessaire de revenir sur le fond propre de cette opposition provenant visiblement de deux choses. Premièrement d'une opposition syndicale: alors que notre équipe désire construire une sensibilité syndicale solide, unie, possédant une idéologie démarquée de celle du reste de l'UNEF, l'ancienne oligarchie beauvalo-legalienne préfère affaiblir la sensibilité en tentant d'opposer ses adhérents afin de conserver les lambos d'un pouvoir qu'ils voient peu à peu s'échapper de leurs mains et de marquer une opposition injustifiable par rapport de la majorité nationale dont la sensibilité fait pourtant partie. On peut aussi évoquer rapidement l'hilarante prestation de nathalie beauval lors du congré de lille, la mauvaise image donnée de l'unef par l'ancienne direction auprès des étudiants rouennais de par leur caractère plus comique que responsable. Parallèlement, on observe une opposition politique, dont on s'étonne vus les soins grotesques qu'a pris l'oligarchie passée pour n'avoir aucun lien avec les politiques, alors même que cela aurait été bénéfique à la réalisation de nos revendications tout en conservant un recul nécessaire. La sensibilité possède en outre des militants de toutes affiliations , UDF, PS, PC, Verts, LCR, ce qui peut amener parfois à des oppositions ne devant cependant pas entraîner la chute de notre force syndicale. En ce qui concerne la constitution européenne, je me suis moi-même prononcé contre si cela peut rassurer certains. Au final, je pense bien que toute cette histoire provient exclusivement de la volonté de nathalie beauval et de guillaume legal de se rattacher au pouvoir qu'ils possédaient auparavant, et ce même au prix de la mise en péril de notre sensibilité et de l'UNEF sur les deux AGE qui la composent.


Historique[modifier le code]

Je suis impressionné par la passion que suscite DEMOS dans la Wikipédia, aussi je pense qu'il serait bon de profiter de la présence de nombreux militants de DEMOS pour étoffer l'article, notamment pour lui créer un historique. J'avais l'intension de le faire un jour ou l'autre mais je crois que le moment est bien choisit. Je n'ai pas encore fait de recherche sur DEMOS mais comme j'ai croisé à plusieurs reprise cette sensibilité dans mes travaux sur l'UNEF(-ID). Je pense donc pouvoir proposer un début d'historique que chacun pourra critiquer. Je tiens à rappeler que je n'ai pas encore fait de recherches, il est donc très possible que je me trompe sur un point ou deux mais il serait dommage d'attendre et de ne pas profiter des bonnes volontés qui s'expriment ici.


I Origine fabiusienne

Officiellement, le courant fabiusien fait son entrée à l’UNEF-IDà l’occasion du congrès de 1991. A cette époque, l’UNEF-ID est très marquée par les luttes de courant du Parti socialiste, aussi l’entrée des fabiusiens semble naturelle.

Immédiatement, les fabiusiens se situe dans l’opposition à la majorité de Christophe Borgel. Ils décident donc d’intégrer la TUPI qui regroupe la plus grande partie des opposants. Mais ils peinent à trouver leur place dans cet alliage dominé par l’extrême gauche.

En 1993 une scission dans la majorité (Tendance indépendance et action) conduit à une forte bipolarisation de l’UNEF-ID. Les fabiusiens font alors le choix de soutenir la majorité. Mais le congrès de Clermont-Ferrand n’ayant pas réussit à départager clairement majorité et opposition, une année de crise s’ouvre dans le syndicat étudiant. Les fabiusiens comme les autres entament alors une réflexion sur eux-mêmes les menant à se renouveler.

II DEMOS

Sous la direction d’Arnauld Champremier-Trigano, les fabiusiens de l’UNEF-ID décident de s’émanciper de leur tutelle politique comme l'ensemble des tendances et des sensibilités ayant fait le choix de l'indépendance syndicale. Elle se fait désormais appeler Définition Étudiante d'une Majorité d'Orientation Syndicale (DEMOS). Le choix de ce nom constitue à lui seul une critique de la majorité de Philippe Campinchi. En effet, en réclament une « majorité d’orientation syndicale » DEMOS met en doute le sens des valeurs syndicales de la majorité. Cette analyse, loin d’être isolée, est au contraire la base de l’opposition incarnée par la Tendance indépendance et démocratie. Dans le courant de l’année 1994, DEMOS rejoint donc l’opposition et prend part lors du congrès de Paris au renversement de la majorité. DEMOS participe alors à la nouvelle équipe emmenée par Pouria Amirshahi et Arnauld Champremier-Trigano devient vice-président de l’UNEF-ID.

Au milieu des années 1990, DEMOS se replie sur ses AGE Rouen et Le Havre. La sensibilité entame alors une période de régression perdant le plupart de ses relais en dehors de ces deux villes. C’est ainsi que par exemple elle perd le secrétariat général à Toulouse en 1999.


III La réunification

Dans les années 2000, DEMOS retrouve de la vigueur. La sensibilité évolue et s’ouvre à certains courants alter-mondialistes et non "encartés". DEMOS dispose alors de trois postes dans les instances dirigeantes de l’UNEF, un au Bureau national (BN), un délégué au BN et une place à la commission de contrôle (CC).

Cette sensibilité a notamment été animée par Frédéric Vigouroux, Nathalie Beauval et Guillaume Legal.

Points à éclaircir :

1 date de la création de DEMOS. Sur l’article actuel, il est écris que DEMOS à été fondé dans la TUPI en 1993. Personnellement, il me semble que c’est entre les congrès de Clermont-Ferrand et Paris quand les fabiusiens s’émancipent de leur tutelle politique et rejoignent l’opposition (un peu un scénario à la rocardienne de la Tendance avenir à la Tendance reconstruire).

2 le replis du milieu des années 90 (sans doute entre 1995 et 97). Pourquoi DEMOS a-t-elle agit ainsi ? Il me semble, mais c’est à confirmer, qu’elle a été victime d’un changement statutaire lui faisant perdre le statut officiel de sensibilité ou du moins la possibilité de former une tendance. A partir de ce changement, il faut trois AGE dans deux académie or DEMOS n’a que deux AGE dans une académie. Que faut-il pour former une sensibilité ? Dans ce cas soit DEMOS se sent attaqué par la perte de la possibilité de former une tendance et décide de boycotter les instances nationales, soit la perte du statut de sensibilité condamne DEMOS au rempli.

3 Actuellement DEMOS est reconnue et active (comme le prouve le débat sur la Wikipédia). Si DEMOS a effectivement perdu à l’UNEF-ID le droit à former une sensibilité (encore une fois c’est à vérifier) alors dans l’UNEF réunifiée, elle l’a récupéré. D’où un retour au BN et à la CC et de manière général, un renforcement de l’activité.

4 Quels sont les animateurs de DEMOS hormis Arnauld Champremier-Trigano Frédéric Vigouroux, Nathalie Beauval et Guillaume Legal ? Chamole 7 mai 2007 à 13:32 (CEST) Les autres animateurs en sont Jonathan Halimi (responsable de sensibilité, membre du bn), Boris Chaumette (président de l'AGE de Rouen, délégué au Bn) et Romain Brehier (président de l'AGE du Havre)[répondre]

vu que personne n'intervenait plus, j'ai ajouté dans l'article les propositions de Chamole et aussi alléger dans la première partie ce qui se trouve maintenant dans l'historique, et pour couper court aux polémiques, je n'ai mis le nom d'aucun dirigeant, sauf Champremier-Trigano qui a déjà une fiche sur Wiki. On attendra que les autres deviennent connus ;), en plus de tous ceux cités, on retrouve aussi les noms de Pierre Cattan (BN) et Benoît Houssin (délégué au BN) dans les archives. Fredtoc 13 mai 2007 à 16:40 (CEST)[répondre]


Je rappelle qu'il est faut de prétendre que démos ai voté unanimement ses dirigeants, puisque, et personne encore n'a réussi à le prouver, ou ne serait ce indiquer une date, il n'y a jamais eu de votes lors de la réunion de démos qui s'est tenu le dimanche matin du congrès , puisque la partie "cartée" dirigée par jonathan et frédéric, se sont casés avant que n'ai pu être fait le vote, ayant choisi de quitter précipitamment la salle pour ne pas que leur statut minoritaire puisse être évalué.


Bonjour, pourrais-tu d'abord te présenter ? Juste trois points : Personne ne semble dire que le vote a été unanime puisqu'aussi bien Boris Chaumette, que Frédéric Vigourous, que Jonas Didisse ne parle que d'une majorité (Chaumette dit même 6 sur 9) par ailleurs, Vigourous donne une date qui parait crédible et qui n'est pas le dimanche matin, mais le vendredi soir effectivement consacré selon la tradition et le programme officiel aux réunions de tendances, enfin, quel est le sens de cette distinction que tu fais entre partie "cartée" et "non-cartée" de DEMOS puisque dans un congrès, seuls peuvent s'exprimer les adhérents à jour de leur cotisation syndicale au moment de la centralisation locale des cartes (à moins que ce point ait changer dans les dernières années ?). Puisque tu veux absolument intervenir sur cet article, prend un compte ou au moins présente toi comme l'on fait les autres.Fredtoc 13 mai 2007 à 23:36 (CEST)[répondre]


J'ai fait le ménage dans les derniers messages, car il y avait des propos injurieux. Je trouve que pour une fois la discussion à propos d'un syndicat étudiant se passe plutôt bien, félicitations et bonne continuation ;)~Pyb | 17 mai 2007 à 23:34 (CEST)[répondre]


Enfin, peux tu nous dire qui était présent à ta réunion de sensibilité du vendredi soir? LA responsable de sensibilité de démos, ainsi que le membre du bureau national, le secrétaire, et la majorité des militants de démos étaient t ils présents? Enfin, si les membres de démos qui se serait réunis le vendredi soir était majoritaire lors de la soirée du vendredi soir (que les autress soient présents ou non d'ailleurs, pourquoi le bureau national avait il comme depar hasard oublié beauval et lagal su l'étudiant de france spécial présentant le bn au congrès? N'est ce pas l'illustration d'accrods pris au préalable à toute discussion libre , franche et démocratique au sein de démos, qui ne fait que confirmait un accord extérieur à démos, peut être même d'ailleurs, complètement extérieur à ses membres? Enfin, si le changement de dirigrigeats aurait fait l'unanimité lors de cette fameuse réunion, pourquoi la direction de l'unef a t elle jugée préférable de ne pas prononcer le changement lors d'une réunion nationale mais de le faire dans l'intimité d'une réunion de bureau national?

je n'ai fait que reprendre ce que certains intervernants, manifestements bien informés, ont écrit sur cette page de discussion. Je n'ai pas d'autres sources d'information, sauf des archives, mais sur des périodes plus anciennes. Fredtoc 18 mai 2007 à 23:57 (CEST)[répondre]


J'ai encore enlevé des messages qui n'apportaient rien à la discussion et j'ai coupé certains messages. J'espère que cela va rendre la discussion plus constructive, stopper les discussions hors sujet et virer les contributeurs qui ne souhaitent visiblement pas améliorer Wikipédia. ~Pyb | 25 mai 2007 à 13:31 (CEST)[répondre]