Aller au contenu

Discussion:Banalyse

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Titre de l'article[modifier le code]

Pourquoi pas banalyse, tout simplement ? Cordialement, — Racconish  21 février 2018 à 22:13 (CET)[répondre]

Parce que l'article concerne surtout le congrès et que la banalyse existe d'abord par le congrès, n'existe quasiment que par son congrès. Généralement, les sources qui parlent de la banalyse parlent surtout du congrès. O.Taris (discuter) 22 février 2018 à 01:08 (CET)[répondre]
« La banalyse existe d'abord par le congrès, n'existe quasiment que par son congrès » : cette appréciation est-elle attribuable à une source ? Cordialement, — Racconish  22 février 2018 à 10:21 (CET)[répondre]
Il faudrait que je relise l'ensemble des sources mais dans l'article il est écrit « La banalyse n'est pas fondée par un manifeste ou par l'établissement d'une doctrine mais par l'invitation, envoyée à trente-deux personnes, à participer au premier « congrès ordinaire de banalyse »[1] ».
Il me semble que c'est plus le congrès que la banalyse elle-même qui est notoire, il faudrait que je prenne un peu de temps pour argumenter cela.
Si on devait renommer l'article, cela ne changerait pas grand chose à sa rédaction, hormis le résumé introductif, je pense.
O.Taris (discuter) 22 février 2018 à 10:46 (CET)[répondre]
  1. Frédérique Roussel, « Terminus la banalyse, retour sur une aventure collective », Libération, samedi 25 et dimanche 26 juin 2016, pages 43 à 45
Racconish, reprenons les sources mentionnées dans l'article :
  1. Marie-Liesse Clavreul et Thierry Kerserho, Éléments de banalyse, préface de Pierre Bazantay et Yves Hélias, éditions Le Jeu de la règle, 2016, 608 pages ;
  2. [audio] La banalyse et sa grande question : que faisons-nous là ?, dans La Marche de l'histoire, de Jean Lebrun, France inter, 29 août 2016 (28 mins) ;
  3. Raphaël Fresnais, « La banalyse, un jeu de l'esprit de 1re classe », publié par Ouest-France le 27 novembre 2015 ;
  4. Frédérique Roussel, « Terminus la banalyse, retour sur une aventure collective », Libération, samedi 25 et dimanche 26 juin 2016, pages 43 à 45 ;
  5. Alice Laguarda, « La banalyse, répliques aux ruses du réel », Art Press, juin 2016 ;
  6. Éric Dussert, « Banal chez Temporel », Le Matricule des anges, no 168, novembre-décembre 2015 ;
  7. Eymeric Jacquot, « La Banalyse », Epiphanot, décembre 2015 ;
  8. François Caviglioni, « Les aventuriers du 13 h 13 », Le Nouvel Observateur, numéro du 27 juin - 3 juillet 1991, pages 88 et 89 ;
  9. Daniel Martin, « La banalyse, mouvement perpétuel », La Montagne, 20 décembre 2015.
Sauf le Nouvel obs (8) dont le titre se réfère au congrès, seul article d'époque, tous les titres des sources font référence directement à la banalyse dans leur titre et non au congrès. Cela pourrait justifier que l'article ait pour titre « Banalyse ».
Mais quand on regarde le contenu des sources, elles sont surtout consacrées au congrès ordinaire de balalyse et elles mettent en évidence que le congrès est l'élément fondateur et principal de la banalyse :
  1. je n'ai pas consulté le livre de Marie-Liesse Clavreul et Thierry Kerserho mais on voit dans la présentation de ce livre qu'il semble parler surtout du congrès, ce que semble confirmer cet article sur le livre : « Suivant une chronologie simple, des articles, photographies, lettres, minutes des congrès, ainsi que l’ensemble des huit numéros des Cahiers de banalyse, sont reproduits au fil des pages. L’ensemble de la documentation permet de saisir comment, au fil des années et réitérations du Congrès, cet avatar de la ’Pataphysique a peu à peu gonflé ses effectifs, passant de deux participants à plus d’une centaine, le réseau excédant le seul hexagone pour étendre ses ramifications à Montréal ou Prague » ; ce que confirmerait également l'article d'Eymeric Jacquot (source 7 ci-dessus) qui écrit que ce livre, « le seul à ce jour sur le sujet, traverse l'expérience que fut le Congrès ordinaire de Banalyse aux Fades » ;
  2. l'émission de Jean Lebrun sur France Inter parle essentiellement du congrès ou parle de la banalyse à travers son congrès ; Yves Hélias y déclare d'ailleurs que le congrès est la « manifestation emblématique et centrale de la banalyse » (à 2 min 50 s) ;
  3. dans Ouest-France, Raphaël Fresnais indique que la banalyse prend corps en juin 1982 avec le premier congrès et consacre une part importante de l'article au congrès ;
  4. dans Libération, Frédérique Roussel consacre au moins la moitié de son article au congrès et précise que tout commence par l'invitation au congrès (page 43) et que « la banalyse ne s'est pas lancée par un manifeste, par un corps de doctrine ou une charte à tiroir » mais par l'invitation au premier congrès (page 44) ;
  5. Alice Laguarda écrit que l'acte fondateur de la banalyse est établi avec le premier congrès ;
  6. Éric Dussert consacre la quasi totalité de son article au congrès et on peut y lire « est banalyste celui qui, ayant eu vent du congrès des Fades, a été fortement tenté d'y venir » ;
  7. Eymeric Jacquot consacre également son article au congès ;
  8. François caviglioli a écrit un article sur le dixième congrès ;
  9. l'article de La Montagne est centré sur le congrès.
Quand j'ai créé l'article Wikipédia, j'avais envie de traiter du congrès (amusant) et non de la notion (un peu fumeuse selon moi) de banalyse, c'est donc « Congrès ordinaire de banalyse » que j'ai donné comme nom à l'article. Au vu du contenu des sources, ce titre me parait toujours pertinent mais le titrer « Banalyse » serait aussi envisageable (j'ai d'ailleurs crée cette redirection) même si je préfère le titre actuel.
O.Taris (discuter) 25 février 2018 à 22:50 (CET)[répondre]
O.Taris, je confirme, après réflexion, ma gêne technique à voir la banalyse réduite à la portion congrue d'un article sur le Congrès. Certes, on trouve dans les actes du IIème congrès l'affirmation qu'est « banalyste celui qui, ayant eu vent du Congrès des Fades, a été fortement tenté d'y venir », mais — outre qu'il faut faire la part de la teneur particulière des discours de congrès — cette affirmation doit être contextualisée et devient problématique quand on cherche à prendre en considération le phénomène banalytique dans son ensemble, qu'il s'agisse des publications ou des différentes manifestations (je pense notamment aux Traversées du 22 mars (Le Havre-Douvre-Le Havre), aux Salutations d'Usages (Eure-et-Loir), à l’inauguration du viaduc de Saint-Georges-Le-Gauthier (Sarthe), à la Conférence de La Colle (Manosque), aux Rencontres éphémères de Sainte-Honorine-des-pertes, aux Entretiens de La Loupe, aux Rendez-vous de Branik, au Congrès mondial des Açores, etc.). Il me semblerait donc en même temps plus fécond et plus neutre de consacrer l'article à la banalyse tout en y donnant au Congrès des Fades la part prépondérante qui lui revient. Cordialement, — Racconish 4 mars 2018 à 19:53 (CET)[répondre]
J'étais en vacances, Racconish, quand tu m'as répondu et j'ai l'impression que la notification n'avait pas fonctionné. Ce n'est qu'en repassant sur cette page de discussion que j'ai vu aujourd'hui ton message.
J'ai rénommé l'article et retouché le résumé introductif en conséquence.
Au fait, où as-tu trouvé le détail des autres activités banalytiques que tu cites ? Je n'avais pas trouvé tous ces éléments dans les sources que j'ai consultées.
O.Taris (discuter) 24 avril 2018 à 00:10 (CEST)[répondre]
O.Taris : dans Éléments de banalyse de Marie-Liesse Clavreul et Thierry Kerserho et dans La banalyse : vie, moeurs, reproduction, élevage suivi de : la banalyse dans les foyers les plus démunis de Michel Guet. Cordialement, — Racconish 1 mai 2018 à 17:08 (CEST)[répondre]