Discussion:Archie Scott Brown

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Invitation à compléter l'article[modifier le code]

- J'ai placé quelques références, ainsi qu'un lien sur une vidéo permettant d'évaluer les circonstances de l'accident. - "Il restera longtemps le seul pilote handicapé au départ d'un Grand Prix, avant Jean-Pierre Beltoise." Cette référence ne me paraît pas utile car les cas ne sont pas comparables, sans explication à tout le moins : gravement accidenté lors d’une épreuve à Reims, Jean-Pierre Beltoise s’était retrouvé privé de la mobilité de ses coudes, qu’il avait dès lors fait bloquer dans un angle lui permettant de poursuivre sa jeune carrière sportive. - La référence au seul circuit de Snetterton est inappropriée, ce d’autant que Snetterton était à l’époque un circuit de seconde catégorie, prisé surtout pour les courses de clubs en « formule libre », etc. Le circuit de Snetterton était avant tout pour Lister un champs de manœuvre commode pour les tests pour la petite firme installée non loin de là (70 km), à Cambridge. De fait, Archie Scott-Brown se produisait – le plus souvent brillamment – sur tous les circuits britanniques de l’époque. - Je travaille à un paragraphe retraçant brièvement la carrière sportive d'A. Scott-Brown ; comment corriger la différence de format du titre relatif à l'accident par rapport aux autres titres ? F3promo (discuter) 8 septembre 2016 à 22:45 (CEST)[répondre]

Tableau en référence à la Formule 1[modifier le code]

Un point qui sans doute est l’effet de notre époque, avec l’hyper-médiatisation de la Formule 1, sport-spectacle, est la référence systématique à cette dernière, alors qu’à l’époque les pilotes étaient nécessairement ambivalents. Un Jim Clark pouvait indifféremment rouler sur une Lotus Cortina de tourisme, une Lotus 23 de sport-proto et une Lotus 33 de Formule 1 à l’occasion d'un même événement sportif. C'est particulièrement dérangeant dans ce cas précis : un pilote comme Archie Scott-Brown a pu concrétiser 71 succès dans sa courte carrière, présent partout sur les circuits britanniques. Souvent en lutte avec des pilotes de renom et des mécaniques telles que Jaguar D, Ferrari 250 TR, Maserati 300S, Aston Martin DBR1… Importe-il vraiment que les circonstances ne lui aient pas permis de courir plus qu’un seul Grand Prix du championnat F1 ? F3promo (discuter) 8 septembre 2016 à 23:46 (CEST)[répondre]

Pilotes ayant également surmonté un handicap physique[modifier le code]

J'ai supprimé la référence à Jean-Pierre Beltoise car il ne s'agit pas d'un cas unique. Alan Stacey, victime en 1960 d’un accident fatal sur l’ancien circuit de Francorchamps, faisait partie du Team Lotus en dépit d’une prothèse à la jambe inférieure droite. Lui aussi un temps pilote de Grand Prix avant de se spécialiser dans les épreuves d’endurance, David Piper avait été gravement accidenté lors du tournage du film « Le Mans », produit par Steve McQueen. A l’occasion d’une pause sur le muret entre deux courses, il m’avait confié combien le réapprentissage du pilotage sur circuit rapide avait été difficile, après l’amputation d’un pied. Je citerai encore Alessandro Zanardi, un temps de retour au sport automobile, en WTCC, après le terrible accident qui avait entraîné la perte de ses deux jambes. Plus près de nous, le pilote Frédéric Sausset, amputé des quatre membres a réalisé cette année 2016 l’exploit de terminer les 24 Heures du Mans, une épreuve exigeante entre toutes. Son message : « Le handicap n'est pas une fin en soi. Lorsqu'on est touché brutalement par ce genre de choses, on reste capable de faire des choses incroyables ». F3promo (discuter) 10 septembre 2016 à 08:14 (CEST)[répondre]