Dead Capo
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| Pays d'origine |
Madrid,  Espagne |
|---|---|
| Genre musical | Jazz, surf music, lounge, funk, swing |
| Années actives | Depuis 1999 |
| Labels | Pueblo Records |
| Membres |
Álvaro Pérez Javier Díez-Ena Javier Adán Santiago Rapallo |
|---|---|
| Anciens membres |
Jorge Magaz Juan Tamayo Tres Marcos Monge Javier Gallego |
Dead Capo est un groupe musical espagnol, originaire de Madrid. Il a été formé en 1999 après la dissolution d'Insecto (Love Fiasco, The Blue Fish Records, 1997)[1],[2]. Depuis lors, leur objectif est de produire une musique instrumentale à haut risque et difficile à classer. Leur première œuvre, Díscolo, est un mélange de jazz, swing, de rock, de bandes originales dans la veine de Henry Mancini ou Lalo Schifrin, de surf music, de lounge, de funk ou de blues[3],[4].
Histoire[modifier | modifier le code]
En 2000, ils créent leur propre label, Pueblo Records, avec lequel ils sortent leur premier album, Díscolo[5], pour lequel ils comptent sur des collaborateurs comme Nacho Mastretta et Markus Breuss (Clónicos, OCQ, Mil Dolores Pequeños). Leur premier album reçoit d'excellentes critiques dans des publications telles que Rockdelux, Ruta 66[4], Mondosonoro ou El Mundo, et a également été désigné comme l'un des meilleurs albums de 2002 par le magazine Todaslasnovedades[6]. Plus tard, ils sortent le single Atraco a las tres (2011) et les albums Sale (2012) et Fiesta Rara (2019)[7].
En 2006, le réalisateur argentin Miguel Ángel Cárcano choisit la musique de Dead Capo pour les scènes et le générique de son long métrage Interior (Noche), inclus dans la sélection du Festival international du film de Saint-Sébastien 2006.
Influences et concerts[modifier | modifier le code]
Leur style musical est le résultat d'une surexposition à de multiples styles musicaux, autant de moules musicaux qu'ils ont tenté de faire fondre pour créer le leur. Ils ont joué dans un grand nombre de festivals comme notamment l'Emociona Jazz (2002), le Festival de Jazz de Guecho (2003), Muestra de Jazz de Ibiza (2003), Festival de Jazz de Soto del Real (2003), le Rising Stars Tour 2005 (tournée des auditoriums de Séville, Cadix et Jerez) et le Círculo de Bellas Artes.
Discographie[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Dead Capo » (voir la liste des auteurs).
- (es) « Dead Capo, en IndyRock 2001 », sur indyrock.es (consulté le ).
- (ca) « Dead Capo », sur Time Out Barcelona (consulté le ).
- (es) Fernando Neira, « Dead Capo, el orgullo de los bichos raros », sur El País, (ISSN 1134-6582, consulté le ).
- (es) « Dead Capo: Coherente diversidad », sur Ruta 66, (consulté le ).
- (es) « Dead Capo - Díscolo », sur elclubdejazz.com (consulté le ).
- (es) « Dead Capo en el Museo Reina Sofía », sur docenotas.com, (consulté le ).
- (es) « Crítica de "Fiesta Rara" de Dead Capo », sur Mondosonoro, (consulté le ).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la musique :
