Amryl Johnson

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Amryl Johnson
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Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 56 ans)
CoventryVoir et modifier les données sur Wikidata
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A travaillé pour

Amryl Johnson, née le à Trinidad, est une écrivaine. Elle passe la majeure partie de sa vie en Grande-Bretagne et meurt le [1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance, formation et débuts[modifier | modifier le code]

Née à Tunapuna (Trinité), elle grandit chez ses grands-parents jusqu'à l'âge de 11 ans et rejoint ses parents en Grande-Bretagne[2],[3]. Elle a suivi ses études secondaires à Londres et a poursuivi des études de littérature britannique, africaine et caribéenne à l'Université du Kent[2]. Une grande partie de son travail porte sur la nature diasporique de sa vie et sur l'hostilité à laquelle elle est confrontée en Grande-Bretagne[4]. Pendant un certain temps, elle a enseigné à l'Université de Warwick mais s'est généralement gagné sa vie en écrivant et en jouant. À la fin des années 1980, elle s'installe à Coventry[4].

Sequins for a Ragged Hem (1988) raconte la deuxième tournée de retour de Johnson à Trinidad comme un «retour aux sources» spirituel rendu problématique, entre autres raisons, par le fait que la maison où elle est née avait été démolie[5].

Le travail de Johnson a été inclus dans plusieurs anthologies, notamment News for Babylon: The Chatto Book of Westindian-British Poetry (1984), Let It Be Told: Essays by Black Women in Britain (1987), Watchers & Seekers: Creative Writing by Black Women in Grande-Bretagne (1987), The New British Poetry (1988), Delighting the Heart (1989), Creation Fire: A CAFRA Anthology of Caribbean Women's Poetry (1990), Taking Reality by Surprise (1991), Daughters of Africa (1992) et AUTRE : Poésie britannique et irlandaise depuis 1970 (1999).

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Shackles, poetry (1983)
  • Long Road to Nowhere, poetry (Virago, 1985)[6]
  • Sequins for a Ragged Hem, travel writing (Virago, 1988)[6]
  • Blood and Wine, audio recording (Cofa Press, 1991)[6]
  • Gorgons, poetry (Cofa Press, 1992)[6]
  • Tread Softly in Paradise (Cofa Press)[6]
  • Calling, poetry (2000)[6]

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Amryl Johnson » (voir la liste des auteurs).
  1. Brown, « Obituary: Amryl Johnson », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. a et b Jenny Stringer, The Oxford Companion to Twentieth-Century Literature in English, Oxford, Oxford University Press, (ISBN 9780191727573, lire en ligne Accès payant)
  3. Busby, Margaret, "Amryl Johnson", Daughters of Africa, London: Jonathan Cape, 1992, p. 587.
  4. a et b (en) Stuart Brown, « Obituary: Amryl Johnson », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Tobias Döring, Caribbean-English Passages: Intertexuality in a Postcolonial Tradition, Psychology Press, , 45–6 p. (ISBN 978-0-415-25584-4, lire en ligne)
  6. a b c d e et f « Obituary: Amryl Johnson », Coventry & Warwickshire Network (CWN),‎ (lire en ligne)

Liens externes[modifier | modifier le code]