Scierie hydraulique
Des scieries, et de petits ateliers de transformation du bois tels saboterie, tournerie, boissellerie, menuiserie étaient et sont toujours activés par la force hydraulique.
Dans les Vosges, contrairement aux moulins situés au cœur des hameaux et aujourd’hui quasiment tous disparus, les scieries ont mieux résisté à la pression immobilière en raison de leur localisation à la périphérie des bourgs, à proximité de la forêt et le long d’un cours d’eau trop petit pour nécessiter le renouvellement de son exploitation au cours du XXe siècle[1].
Précurseurs
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Modèle de scie hydraulique conçu par Léonard de Vinci au Musée national des sciences et de la technologie de Milan
Une scierie hydraulique se trouve dessinée dans le Carnet de Villard de Honnecourt[2]
Exemples de scieries hydrauliques
- Scierie de Hiérapolis
- Scierie du Lançoir
- Scierie de la Hallière
- Scierie de Ban-de-Laveline
- Scierie des Planches
- Moulin de Saint-George
- Scierie d'Åsens
- Bassin à grumes
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
- Jean-Yves Henry, « Les scieries hydrauliques vosgiennes », In Situ [En ligne], 29 | 2016, mis en ligne le 13 juillet 2016, consulté le 03 novembre 2018. Lire en ligne
- Adam Jean-Pierre, Varène Pierre. La scie hydraulique de Villard de Honnecourt et sa place dans l'histoire des techniques. In: Bulletin Monumental, tome 143, n°4, année 1985. pp. 317-332.Lire en ligne
