Bretaigne Windust

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 8 avril 2021 à 13:56 et modifiée en dernier par Victoire F. (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Bretaigne Windust
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 54 ans)
New YorkVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Ernest Bretaigne Windust
Nationalité
Formation
Activités
Fratrie
Marjorie Windust (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Bretaigne Windust est un réalisateur de cinéma et de télévision, un metteur en scène de théâtre et un producteur américain né le à Paris (France), décédé le 19 mars 1960 à New York (États-Unis).

Biographie

Il est le fils du virtuose anglais Ernest Joseph Windust et d'Elizabeth Amory Day, chanteuse new-yorkaise.

Il parla d'abord allemand, puis français, puis anglais[1].

Sa famille déménagea à Londres à cause de la Première Guerre mondiale, et quand ses parents divorcèrent, il rejoignit New York avec sa mère[1].

En 1928, il cofonda les University Players of New Falmouth[2], qui comptaient dans leurs rangs Henry Fonda, James Stewart, Margaret Sullavan, José Ferrer, Kent Smith, Myron McCormack, Mildred Natwick et Joshua Logan.

Il fut célébré pour ses mises en scène d'auteurs aussi divers que Ibsen, Tchekov, Shakespeare, Robert Sherwood, Howard Lindsay, Russel Crouse ou Eugene O'Neill. Selon le New York Times, si sa carrière cinématographique fut moins substantielle, cela ne l'empêcha pas de réaliser l'une des meilleures comédies de la fin des années 1940 (La Mariée du dimanche) et l'un des films les plus violents du début des années 1950 (La Femme à abattre)[1],[3].

Filmographie

comme réalisateur

comme producteur

Références

  1. a b et c « Movies », sur nytimes.com (consulté le ).
  2. http://findingaids.princeton.edu/collections/TC087
  3. Louis SKORECKI, « La Femme à abattre. Ciné-Cinéfil, 13h10. », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Liens externes