Jacques Riberpray

	Jacques Riberpray
Fonctions
Député
	1899 – 1900; (1 an)
Prédécesseur	Jules Thorel
Successeur	Charles Aubourg de Boury
Conseiller général de l'Eure
	1886 – ; (138 ans)
Prédécesseur	Nicolas Huet
Successeur	Léon Monnier
Maire de Gaillon
	1884 – 31 mars 1900; (16 ans)
Successeur	Léon Monnier (05/1900)
Biographie
Nom de naissance	Jacques Romain Riberpray
Date de naissance	26 avril 1832
Lieu de naissance	Les Andelys
Date de décès	31 mars 1900 (à 67 ans)
Lieu de décès	Gaillon
Sépulture	cimetière de Gaillon
Enfants	Georges Riberpray
Profession	Inspecteur de l'administration pénitentiaire
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Jacques Romain Riberpray est un homme politique français né le 26 avril 1832 aux Andelys (Eure) et décédé le 31 mars 1900 à Gaillon (Eure).

Biographie

Pêcheur sur la Seine, né de l'union de Jean-Pierre Riberpray et Catherine Percheval, il est issu d'un milieu modeste. Maire de Gaillon de 1884 à la date de son décès, conseiller général du canton de Gaillon, il est député de l'Eure de 1899 à 1900. Il est le père du général Georges Riberpray (1861-1917).

Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1891^[1].

Distinctions

Chevalier de la Légion d'honneur (1891)

Famille

Le fils de Jacques Riberpray et Clarisse Morel, son épouse, Georges, Émile, Joseph, est né le 3 mai 1861 alors que son père est greffier comptable à la "prison centrale". Il sort en 1885 de l'École polytechnique (promotion X1883) dans le génie. En 1896, il sort capitaine breveté n^o 68 de l'École supérieure de guerre (scolarité de novembre 1894 à octobre 1896) où il fut professeur-adjoint de fortification jusqu'au 31 mai 1911. Il est nommé chevalier de Légion d'honneur le 29 décembre 1904 alors qu'il est officier d'ordonnance du ministre de la Guerre. En 1912, il est le chef du 1^er bureau de l'état-major de l'armée. Promu colonel, il commande en avril 1914 le 10^e régiment du génie à Toul. Il est alors promu officier de la Légion d'honneur le 27 janvier 1915^[2] Nommé le 21 mars 1915 général de brigade à titre temporaire, il est à la tête de la 128^e division d'infanterie.

Il est tué à l'ennemi le 11 septembre 1917, devant Verdun.

Une caserne de la ville de Metz porte son nom, tandis qu'un médaillon en bronze à son effigie est placé sur le monument aux morts de la ville de Gaillon.

Sources

Ressources relatives à la vie publique :
- base Léonore
- Base Sycomore
Jean Jolly (dir.), Dictionnaire des parlementaires français, Presses universitaires de France

Notes et références

[1] « Notice LH/2313/80 de Jacques Riberpray », base Léonore, ministère français de la Culture

[2] « Notice LH/2313/81 de Georges Riberpray », base Léonore, ministère français de la Culture.

[1]

[2]