Photographie africaine contemporaine
La pertinence du contenu de cet article est remise en cause ().
Considérez le contenu de cet article avec précaution. Discutez-en ou améliorez-le !
Cet article est une ébauche concernant la photographie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
La photographie africaine contemporaine est l’ensemble de la photographie professionnelle réalisée en Afrique depuis la décolonisation, dans les années 1960, par des Africains autochtones et le marché de l’art correspondant.
Parmi ses représentants les plus notoires on peut citer Omar Victor Diop, Samuel Fosso, Seydou Keita, Malick Sidibé, Michel Kameni et Sanlé Sory.
Elle est plutôt limitée à l’Afrique noire.
Grandes expositions
- 1994 : Exposition Seydou Keïta à la Fondation Cartier, Paris.
- 1994 : Création à Bamako, au Mali, par Françoise Huguier des Rencontres de Bamako devenues les Rencontres africaines de la photographie.
- 2007 : Malick Sidibé, Lion d’or d’honneur à la Biennale de Venise.
- 2011 : Paris Photo met la photographie africaine contemporaine à l’honneur.
- 2016 : Seydou Keita au Grand Palais.
- 2016 : Paris Photo, 20e édition.
- 2018 : Retrospective Sanlé Sory à l’Art Institute of Chicago[1].
Localisation
La photographie africaine contemporaine est présente sur tout le continent africain avec des spécificités dues à la culture, la religion, le régime politique, etc.
Bibliographie
- Vincent Godeau, La photographie africaine contemporaine (2010), L’Harmattan, 2015.
- Christine Coste, « Portrait de la photographie africaine contemporaine », dans : Le Journal des Arts, , p. 34.
- Jean-Christophe Servant, « Les nouveaux maîtres de la photographie africaine. Une interview de Azu Nwagbogu », dans : Géo, n° 451 , .
- Benoît Baume, « Afrique cette belle inconnue », dans : Fisheye, n° 21, nov.-déc. 2016, p. 3.
- Éric Karsenty, « L’Afrique révélée par elle-même », dans : Fisheye, n° 21, nov.-déc. 2016, p. 26-27.
- Simon Njami, « L’évolution de la photographie africaine. Propos recueillis par Jacques Denis », dans : Fisheye, n° 21, nov.-déc. 2016, p. 28-33.
- Nicolas Michel, « Quel marché pour la photographie africaine ?, dans : Fisheye, n° 21, nov.-déc. 2016, p. 46-47.
Notes et références
- Sophie Fontanel, « Et si on célébrait les habits de la francophonie ? », Le Nouvel Obs, 8 décembre 2017.
