Église protestante unie de Paris Passy-Annonciation
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| Église Réformée de l’Annonciation | ||
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| Présentation | ||
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| Nom local | Temple de Passy-Annonciation | |
| Culte | Église réformée de France | |
| Type | Église paroissiale | |
| Fin des travaux | 1891 | |
| Site web | www.annonciation.org | |
| Géographie | ||
| Pays |  France |
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| Région | Île-de-France | |
| Département | Paris | |
| Ville | Paris 16e | |
| Coordonnées | 48° 51′ 43″ nord, 2° 16′ 50″ est | |
| Géolocalisation sur la carte : Paris
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L’Église réformée de l’Annonciation (ou Passy-Annonciation) est située au 19 rue Cortambert dans le 16e arrondissement de Paris.
Elle possède également un maison paroissiale entre la rue Lekain et la rue de l’Annonciation dans le 16e arrondissement, qui héberge les pasteurs et leurs familles, des étudiants en théologie, le local scout, des buraux et des salles pour l’école biblique.
Histoire
Eugène Casalis, alors directeur de la Maison des Missions Évangéliques, réuni dès 1856 une communauté protestante dans le village de Passy[1]. Il en sera pasteur jusqu’en 1878.
L’école biblique se voit prêter une salle dans l’hôtel particulier de la baronne Bartholdi qu’elle fit construire en 1900 rue Lekain. Elle le lèguera à la paroisse.
En 1912, une troupe d’Éclaireurs Unionistes est créée.
En octobre 1918, le Marc Boegner est nommé pasteur. Figure de l’œcuménisme, il donne un certain rayonnement à la paroisse avec ses prêches du Carême protestant radiodiffusée à partir de 1928. Il quitte la paroisse en 1953.
Le pasteur Lauga est nommé dès 1929, il est succédé par Pierre Maury, Charles Bonzon, André de Robert puis Pierre Courthial en 1951.
Dans la continuité œcuménique de Marc Boegner, le pasteur Daniel Atger lance les groupe de foyers mixtes avec le curé le curé de la paroisse catholique Notre-Dame de l’Assomption et la Saint-Cène est célébrée chaque dimanche.
Un nouvel orgue est construit en 1973 grâce aux dons d’une paroissienne.
Orgue
C’est un orgue du facteur strasbourgeois Kurt Schwenkedel qui est inauguré en 1973. Il est constitué de 3 claviers (grand orgue, positif et récit) de 56 notes et d’un pédalier de 32 notes. Il possède 27 jeux en transmission mécanique.
François Saint-Yves en est le titulaire.
Liens externes
Références
- André Encrevé (sous la direction), Les protestants, Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, Beauchesne, 1992, ISBN 2-7010-1261-9, p.116.
