Utilisateur:Yond29/brouillon2
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Astronomie ancienne[modifier | modifier le code]
L'astronomie est la plus vieille, ou plus exactement la première, des sciences physiques. Les civilisations antérieure à 2000 BCE, comme les Sumériens, les Égyptiens antiques ou la civilisation harappéenne, avaient une connaissance prophétique et une compréhension de base des mouvements du Soleil de la Lune et des étoiles. Les astres et les planètes étaient tout à la fois objets d'adoration, mais aussi sujets observations parfois très fines que l'on peut présenté comme une astronomie archaïque. [1]
Les origines de l'astronomie Occidentale peuvent être retrouvées dans la Mésopotamie et l'astronomie babylonienne. [2] Les astronomes égyptiens ont dressé des monuments montrant la connaissance qu'ils avaient des constellations et les mouvements des corps célestes. Dans la Grèce antique, une approche scientifique des astres et déjà en place ainsi le poète grec Homère d'écrit divers objets célestes dans son Iliade et Odyssée; les astronomes grecs postérieurs ont créé les noms, qui restent utilisés aujourd'hui, pour identifier les constellations visibles de l'hémisphère nord. [3]
Philosophie naturaliste des anciens grecs[modifier | modifier le code]
La philosophie naturelle (ce qui se rapprocherait aujourd'hui de la physique) trouve ses origines en Grèce pendant la période Archaïque, 650 BCE - 480 BCE, quand les philosophes pré-socratiques comme Thalès commencèrent à rejeter des explications divines ou ésotériques non-naturalistes pour comprendre ou interpréter le monde . Vers -600 av. J.-C., un certain nombre de philosophes grecs (par exemple Thalès de Milet) commençaient à admettre que le monde pût être compris comme le résultat de processus naturels et non de l'action incessante des dieux. L'observation et la raison devinrent pour certains penseurs les sources d'une approche philosophique des phénomène naturel. Quelques brillantes anticipation , résultats de certains travaux, ont traversé les ages : les conceptions atomisme anticipées proposé par Leucippus et son Élève Democritus, Une approximation de la circonférence de la terre par comparaison des ombres portées réalisé par 'Ératosthène [15]
Finalement, on connaît mal le détail des idées anciennes en physique et leurs vérifications expérimentales. La quasi-totalité des sources disparurent avec les deux grands incendies de la bibliothèque d'Alexandrie
La transition Islamique médiéval[modifier | modifier le code]
Physique classique[modifier | modifier le code]
La physique est devenue une science séparée quand les Européens tôt modernes ont utilisé des méthodes expérimentales et quantitatives de découvrir ce que l'on considère maintenant d'être les lois de physique. [19]
Des développements majeurs dans cette période incluent le remplacement(remplaçant) du modèle géocentrique du système solaire avec le modèle Copernicien héliocentrique, les lois dirigeant le mouvement de corps(d'organismes) planétaires déterminés par Johannes Kepler entre 1609 et 1619, le travail pionnier sur des télescopes et l'astronomie d'observation par Galilée dans les 16ème et 17ème Siècles .René Descartes dans son Discours de la méthodeet la découverte d'Isaac Newton et l'unification des lois de mouvement et la gravitation universelle qui viendrait pour porter son nom. [20] le Newton a aussi développé le calcul, [c] l'étude mathématique de changement(monnaie), qui a fourni des nouvelles méthodes mathématiques pour résoudre des problèmes physiques. [21
La découverte de nouvelles lois dans la thermodynamique, la chimie et l'électromagnétisme a résulté d'efforts de recherche plus grands(supers) pendant la Révolution Industrielle.
Avec Sadi Carnot apparait la thermodynamique, initialement pour améliorer les performances des machines à vapeur.
Une autre théorie très importante est l'électromagnétisme, unification de l'étude de l'électricité et du magnétisme. C'est James Maxwell (1831–1879) qui finira d'unifier les deux théories, et qui introduira les derniers termes dans les équations qui portent maintenant son nom . [22] les lois comprenant la physique classique restent très largement utilisées pour des objets sur la balance(les échelles) quotidienne voyageant aux vitesses non-relativistes, puisqu'ils fournissent une approximation très proche dans de telles situations et les théories comme la mécanique quantique et la théorie de la relativité simplifient à leurs équivalents classiques à une telle balance(échelles). Cependant, les inexactitudes dans la mécanique(les mécaniciens) classique pour de très petits objets et des vitesses très élevées ont mené au développement de physique moderne au 20ème siècle.
Physique moderne[modifier | modifier le code]
Le point de départ de la physique moderne sont les travaux de Max Planck pour la théorie quantique et d'Albert Einstein pour la théorie de la relativité . Ces deux théories sont nées,au tout début du XXe des difficultés de la mécanique classique à rendre compte de certains phénomènes. La mécanique classique aboutissait à une contradiction concernant la vitesse de la lumière variable en fonction du référentiel et constante d’après les équations d'électromagnétisme de Maxwell; la théorie de la relativité restreinte d'Einstein lève cette ambiguïté est ouvre la voie à une mécanique relativiste. La radiation de corps(d'organisme) Catastrophe ultraviolette noire a fourni un autre problème pour la physique classique, qui a été corrigée quand MAx Planck a proposé que propose à la fin de l'année 1900 une idée révolutionnaire qui, pour la première fois, postule qu'un phénomène physique peut être discontinue aux très petites échelles de la matière . C'est la naissance de la physique quantique qui va bientôt supplanter la physique classique dans la compréhension des phénomènes à l'échelle de l'atome . [24]
Physique au-delà du modèle standard O'Connor, J.J.; Robertson, E.F. (February 1996a). "Special Relativity". MacTutor History of Mathematics archive. University of St Andrews. Retrieved 1 April 2014. O'Connor, J.J.; Robertson, E.F. (May 1996b). "A History of Quantum Mechanics". MacTutor History of Mathematics archive. University of St Andrews. Retrieved 1 April 2014.
- Krupp, E.C. (2003). Echoes of the Ancient Skies: The Astronomy of Lost Civilizations. Dover Publications. (ISBN 0-486-42882-6). Retrieved 31 March 2014.
- Aaboe, A. (1991). "Mesopotamian Mathematics, Astronomy, and Astrology". The Cambridge Ancient History. Volume III (2nd ed.). Cambridge University Press. (ISBN 978-0-521-22717-9).
- Thurston, H. (1994). Early Astronomy. Springe