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Utilisateur:Timothé haustraete/Brouillon2

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Histoire du SIDA[modifier | modifier le code]

L'histoire du sida, nous a permis d'apprendre une multitude de chose sur le VIH.

fig1: Le Virus d'ImmunoDéficience Humaine à travers les siècles

Le SIDA c'est quoi ?[modifier | modifier le code]

Le syndrome d'immunodéficience acquise, plus connu par son acronyme sida, est un ensemble de symptômes consécutifs résultant de la destruction de cellules du système immunitaire par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le sida est le dernier stade de l'infection à VIH, lorsque l'immunodépression est sévère. Le Sida conduit à la mort des suites de maladies opportunistes, c'est a dire que la mort est du à un germe peu agressif de façon générale. Une personne malade du sida est désignée par le terme « sidéen ».[1]

D'où provient le SIDA[modifier | modifier le code]

La découverte[modifier | modifier le code]

Les premiers cas de "SIDA" furent observé au début des années 1980 aux Etat-Unis. Ce n'est que le 3 juillet 1981, que la presse (New York Times) rédige un article afin d'informer la communauté des symptômes. Les premiers symptômes (épidémiologique) sont apparus chez les homosexuelles, d'où les messages provocateur exprimant "le sida guérit de l'homosexualité[2]". En effet dans ces années, l'homosexualité était très réprimée et tous ne partager pas les mêmes opinions.

La population découvrent que le virus du Sida est transmissible par voie sexuelle grâce au nombreux article de presse. Les symptômes étaient surtout des affections pulmonaires (pneumonie à pneumocystis), une infection buccale grave (le Muguet), parfois la leucémie, l’amaigrissement et surtout une importante diminution de l’immunité naturelle (virus de l’immunodéficience humaine, soit le VIH).

Les modes de transmission[modifier | modifier le code]

La population américain savait que le virus du VIH était transmissible par voies sexuelles grâce aux articles de presse évoqué auparavant. Toutefois, en 1982, des chercheurs en sciences démontre par de nombreuses analyses que le virus du VIH peut être véhiculé parle sang[3].

Cette information information fût précieuse aux yeux de tous, car lors de transfusions sanguines les contrôles ne prenait pas en compte ce virus. A la suite de cela, l'opinion des personnes sur les propos homophobes furent réduit, du fait que le VIH concerné maintenant les hémophiles ainsi que toxicomane (de façon plus ou moins minoritaire). De plus,avec ces informations, les médecins ont découvert que suite à ces avancées,le virus pouvait être transmis par voie in utero ; que se soit lors de l'accouchement ou de l’allaitement[4].

Les Cas et les Solutions[modifier | modifier le code]

Les cas[modifier | modifier le code]

Le premier cas signalé en France date fin 1981; dans le pays voisin de l'hexagone (la Belgique), les premiers malades était originaire de la République démocratique du Congo. Afin de pouvoir faire une comparaison, on peut noter qu'au début des année 1982, on recensait 251 séropositif en Amérique ; toutefois, on dénombrait 99 décès soit près de 40% des sujets atteints. A la suite de ces nombreuses et divers contaminations sur l'ensemble du globe, on parle d'épidémie[5].

Les solutions[modifier | modifier le code]

Afin d'éradiquer, ou du moins diminuer, ce fléau au allure mortelle, de nombreux laboratoire d'analyse et de recherche ; à étendue internationale ; se rassemble et se concerte pour étudier de façon précise le virus. Comme centre de recherches ayant permis de grande avancée, il y a l'institut Pasteur à Paris et l’équipe du Dr Montagnier. Ces recherches furent établit au milieu des années 1980[6].  

Le point de vus de l'époque a évolué au cours du temps ; en effet, à ce jour, des indices anciens entraînent la confusion au seins des chercheurs. Émis au publique en 1983, le virus VIH serait d'origine beaucoup plus ancienne. En effet l'Homme mort du Congo de 1950 étudié en 1983 (en Belgique) montre l'existence du VIH. Les scientifiques pensent donc que le virus du Sida se manifestait sous d'autres aspects que ceux connus a ce jours[7].    

Bien que la France, les Etat-Unis, la Belgique et bien d'autres aient de nombreuses solutions sur la prévention et la sécurisation face au virus, il n'en est pas de même partout. Par exemple, on a pu recenser une épidémie de sarcome de Kaposi au niveau du Congo Belge et en Ouganda dans les années 1930. Ces 2 pays montre, à ce jour, un épidémie du sida endémique. 

Des dates marquantes[modifier | modifier le code]

  • 1985, les premiers tests de dépistage sont mis au point et opérationnel. Dans les laboratoires d'analyse, le criblage du sang destiné à la transfusion est systématique, tout comme lors de la fabrication de produits sanguins. ces réforme ayant été prise de façon ultérieur au scandale du sang contaminé en France[8].
  • 1986, le 1er décembre est défini pour la première fois comme la "Journée Mondiale du SIDA" par l’OMS, suite à l'ampleur qualifié de ravageur que le VIH pouvait montrer. La même année, il y a les première leurs d'espoir apparaissent avec l'AZT. Cette dernière, aussi nommé zidovudine de son nom originel, est un médicament antirétroviral[9].
  • 1989, on recense près de 140 souches différentes du virus VIH[10].
  • 1990, le nombre de malades du SIDA dans le monde est estimé à 1 million
  • Aujourd'hui, on ne sais toujours pas ou du moins avec certitude d'où peut provenir l'agent VIH. bien qu'il y est de nombreuses théories aucunes d'entre-elles n'a pu être prouvé de façon concrète.

La propagation du Virus d'Immuno Déficience Acquise (SIDA)[modifier | modifier le code]

Rappel de transmission[modifier | modifier le code]

Nous connaissons tous les divers moyens de transmission, en effet un individu peut attraper le VIH à la suite de :

  • Rapport sexuel non protégé qu’il soit homo, bi ou hétérosexuelle
  • Contacts sanguins dû à un non stérilisation de matériel médical par exemple
  • Transfusion in utero (ou materno fœtal)

L'augmentation des transmissions[modifier | modifier le code]

Toutefois les modes de transmission évoqués auparavant ne permettent pas d’expliquer de façon concrète la propagation du virus en question. En effet dans les années 1960-1970 avec la libération des mœurs, la propagation du VIH s’est accru. Toutefois, ceci n’est pas la seule cause, il y a aussi l’expansion internationale avec les mariages mixtes (2 personnes vivants à 2 endroits très éloignés géographiquement), les voyages, etc...

Dans certaine région du monde, on peut trouver une population où la polygamie, la prostitution, le manque d’hygiène sont très présents. De ce fait, la propagation du VIH accrût d’autant plus. A noter que le manque d’hygiène résulte, le plus souvent de condition économique très pauvre ne permettant donc pas une stérilisation correct des appareils et/ou méthode utilisés ; et que la prostitution, elle, dans certains pays est omniprésente. En effet, en ce qui concerne ce dernier propose, certaine personne n’hésite pas à offrir leur corps en échange de gage afin de nourrir leur propre famille.

Le VIH avant l'Homme[modifier | modifier le code]

D'après certains scientifiques, le virus VIH serait d’origine animale. La question que les chercheurs ou autres individus de la société se posent alors une question, comment le virus du Sida est-il parvenu jusqu'à l’Homme. Bien qu’il ne faut pas exclure la voies sexuelles, on pense de façon majoritaire que le VIH à contaminé l’Homme par un passage dans la nature (ville, foret, campagne, etc…). En effet, ceci ne serait pas une première, par exemple de façon récente, il y a le virus Ebola. Ce dernier proviendrait d’une chauve-souris[11].

En appliquant ces propos, le VIH proviendrai d’un type d’animal, et de façon plus précise l’animal en question appartiendrai au taxon des primates (singes, chimpanzé)[12]. En effet, les chercheurs ayant émis ce fait, ont remarqué que chez ces espèce un virus nommé VIS, ou en anglais SIV, signifiant virus de l’immunodéficience simienne montrait une ressemblance avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH ou HIV).

Des chercheurs émettent l’hypothèse suivante : « le virus SIV n’aurait-t-il pas mutée en HIV ». Il ne faut pas délaisser ce propos car il est effectivement possible que l’Homme lors de safari ait chassé du singe possédant ce virus. A la suite de l’ingestion, le virus est alors parvenu à l’Homme. Toutefois tout ceci ne reste encore que sous forme d’hypothèse[13].

Une explosion de cas entraînant le terme "épidémie"[modifier | modifier le code]

Le virus du Sida dans certains pays a toujours été qualifié d'épidémique[14]. En effet le VIH montrait une augmentation rapide de l'incidence de la maladie, faisant de ce fait de plus en plus de victimes porteuses, qui pouvais arriver à un tel stade que la mort était inévistable.

Des nombres inquiétants[modifier | modifier le code]

Lors de l’année 2013, en Belgique, on recensait 1115 cas séropositifs diagnostiqués. Ce nombre peut paraitre, à première vus, minime ; mais en ramenant ce nombre en fonction des jours, on obtient alors 3 nouveaux journaliers. Parmi, ces personnes infectée, on constate qu’environs 2 tiers des séropositifs sont des hommes ; et ce ratio homme/femme ne cesse de grandir. En effet le nombre d’homme infecté est en perpétuelle augmentation. 

Des générations à risque[modifier | modifier le code]

Parmi, les nombreux cas, on observe que la génération des 30-40 ans est la plus touchée par le virus VIH. Cependant, ils ne sont pas les seuls, car on constate également que chez les 15-25 ans (génération débutant leur vie sexuelle), il y avait 287 nouveaux cas.

Un "zoom" sur le nombre de cas[modifier | modifier le code]

En se focalisant d’un peu plus près sur les proportions hommes/femmes, on observe que les hommes porteurs du VIH ont, dans 62% de cas, eu un contact homo ou bisexuels. En ce qui concerne les femmes, on dénombre que 90% de celles-ci ont eu le virus à la suite de rapports hétérosexuels (non protégé évidement). 

Les cas d'un pays ou plusieurs pays[modifier | modifier le code]

Entre 2011 et 2013, on a pu recenser en Belgique près de 7038 cas de séropositivités, toutefois parmi ces derniers seul 5581 étaient d’origine belges. Il y avait donc près de 1500 cas où les personnes étaient originaires d’autre pays. En effet, on dénombre :

  • 62 % proviennent d’Afrique (Nord et Sud)
  • 25% viennent d’Europe
  • 13% sont originaires d’Amérique et/ou d’Asie

Les statistiques[15][modifier | modifier le code]

En 2012, l'ONUSIDA a fait un rapport qui viser a estimer de façon chiffrée les cas de VIH à différentes échelles. De ce fait fin 2012, nous avions:

  • 35 millions de personnes porteuses du VIH
  • 2,3 cas supplémentaire par rapport a 2011
  • 1,6 millions de décès dans le monde
  • 9,7 millions de personnes onteu le droit à un traitement dans des pays en déficite.

Zone de référence[modifier | modifier le code]

  1. Steven Epstein - traduit par François-Georges Lavacquerie, Tome 1 Le virus est-il bien la cause du sida?, boché,
  2. Philadelphia - Film
  3. « SIDA », Wikipédia, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  4. « [Sida Info Service] Quels sont les modes de transmission du VIH ? », sur www.sida-info-service.org (consulté le )
  5. « Mauvais titre », Wikipédia, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  6. « La découverte du virus du sida en 1983 », sur Institut Pasteur (consulté le )
  7. « Centre bruxellois d'information des jeunes - Infor Jeunes », sur www.jeminforme.be (consulté le )
  8. « Les grandes dates du Sida », sur ladepeche.fr (consulté le )
  9. « Zidovudine », Wikipédia, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  10. « Les grandes dates du Sida », sur ladepeche.fr (consulté le )
  11. « Ebola : à l'origine de l'épidémie, un enfant jouait dans un arbre », sur Sciences et avenir (consulté le )
  12. « Sida : on connaît désormais l'origine des quatre souches du virus », sur Sciences et avenir (consulté le )
  13. « SIV to HIV: Monkeying Around with an Epidemic. », sur This is serious monkey business. (consulté le )
  14. « Le VIH/sida en chiffres | AIDES : Première association française de lutte contre le VIH / sida et les hépatites », sur www.aides.org (consulté le )
  15. « Rapport ONUSIDA sur l'épidémie 2012 », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant,‎ (lire en ligne)