Un personnage en quête de corps

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Un personnage en quête de corps
Publication
Auteur Robert Silverberg
Titre d'origine
Ringing the Changes
Langue Anglais américain
Parution
Recueil
Alchemy & Academe
Intrigue
Genre Science-fiction
Nouvelle précédente/suivante

Un personnage en quête de corps (titre original : Ringing the Changes) est une nouvelle de science-fiction de Robert Silverberg.

Publications[modifier | modifier le code]

Entre 1970 et 2014, la nouvelle a été éditée à quinze reprises dans des recueils de nouvelles de Robert Silverberg ou des anthologies de science-fiction[1].

Publications aux États-Unis[modifier | modifier le code]

La nouvelle est parue en dans l'anthologie Alchemy & Academe composée par Anne McCaffrey, éd. Doubleday, , sous le titre Ringing the Changes.

Elle a ensuite été régulièrement rééditée dans de nombreux recueils de Robert Silverberg et diverses anthologies.

Publications en France[modifier | modifier le code]

La nouvelle est publiée en France[2] :

Publication en Grande-Bretagne[modifier | modifier le code]

La nouvelle a été publiée en Grande-Bretagne dans l'anthologie To the Dark Star (1991)[3].

Résumé[modifier | modifier le code]

Le récit alterne entre l'auteur-omniscient qui raconte la nouvelle, et le narrateur, l'une des « âmes sans corps ». En effet, des corps ont été placés en état de biostase, tandis que les « esprits » des biostasés ont été stockés en « Chambre de transfert » dans l'attente du réveil. Or par suite d'un problème informatique inattendu, on n'arrive plus à « réassigner » chaque âme à son corps.

Les techniciens chargés de résoudre le problème opèrent donc au cas par cas, et le lecteur suit les tribulations d'une âme qui est logée dans un corps, puis un autre, puis un autre, etc., afin qu'elle retrouve son corps initial. Les tentatives se révèlent infructueuses, et finalement le narrateur, qui en a assez de la vie, se résout à mentir et à dire que le corps dans lequel on l'a placé en dernier lieu est bien le sien. Il s'agit du corps d'un homme mourant…

La nouvelle se termine ainsi : « La mort vint deux semaines plus tard, dans la paix, la paix la plus totale. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]