Thèbes aux cent portes

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Thèbes aux cent portes
Auteur Robert Silverberg
Pays Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Science-fiction
Version originale
Langue Anglais américain
Titre Thebes of the Hundred Gates
Version française
Traducteur Frédéric Lasaygues
Éditeur J'ai lu
Collection Science-Fiction
Lieu de parution Paris
Date de parution
Type de média Livre papier
Nombre de pages 317
ISBN 978-2277232278

Thèbes aux cent portes (titre original : Thebes of the Hundred Gates) est un recueil de sept nouvelles de science-fiction de Robert Silverberg, paru en 1992.

Parutions[modifier | modifier le code]

Parutions aux États-Unis[modifier | modifier le code]

Le recueil a été publié en 1992 chez Axolotl Press / Pulphouse Publishing.

Par la suite, il a été publié à plusieurs reprises jusqu'en 2014[1].

Parutions en France[modifier | modifier le code]

Le recueil est paru aux éditions J'ai lu, collection Science-Fiction, 1992, avec une réédition en 2001 sous le numéro 3227.

Plusieurs des nouvelles du recueil ont été reprises dans l'anthologie Mon nom est Titan (2006).

Parutions dans d'autres pays européens[modifier | modifier le code]

Le roman est paru :

  • en langue portugaise, en 1993, sous le titre Tebas das Mil Portas[2] ;
  • en langue italienne, en 1993, sous le titre Tebe dalle cento porte[3] ;
  • en langue allemande, en 1994, sous le titre Das hunderttorige Theben[4].

Nouvelles[modifier | modifier le code]

Thèbes aux cent portes[modifier | modifier le code]

  • Titre original : Thebes of the Hundred Gates
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 5 à 130
  • Traducteur : Frédéric Lasaygues
  • Résumé :

Le Regard du mort[modifier | modifier le code]

  • Titre original : The Dead Man's Eyes
  • Traducteur : Frédéric Lasaygues
  • Parutions :
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 131 à 158
  • Résumé : Loren Frazier a une épouse, Marianne, qui est une célèbre actrice. Un jour, pensant que Hurwitt a une relation sentimentale avec Marianne, Frazier le pousse du haut d'un balcon. Hurwitt s'écrase cinq étages plus bas. Le problème est que durant la descente, il regardait Loren Frazier, si bien que son cerveau a enregistré le visage de son assassin (Le Regard du mort qui donne son titre à la nouvelle est en effet le regard de Hurwitt). Pressentant que la police allait décrypter le dernier souvenir du défunt et venir l'arrêter, Frazier décide de prendre la fuite. S'ensuit alors un long périple autour du monde, Frazier ne restant jamais en place plus de quelques semaines au même endroit. Il se fait même refaire le visage. Un jour, Frazier rencontre Marianne par le plus grand des hasards à Monte-Carlo. À la suite de cette rencontre, étant épuisé de fuir, il se constitue prisonnier au consulat des États-Unis. Il est rapatrié au pays, où il est jugé et condamné à une peine clémente. Il décide de garder son nouveau visage.

Chasseurs en forêt[modifier | modifier le code]

  • Titre original : Hunters in the Forest
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 159 à 182

Ciel brûlant[modifier | modifier le code]

  • Titres originaux : Hot Sky / Greenhouse Days on the High Seas
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 183 à 220
  • Traducteur : Frédéric Lasaygues
  • Résumé :

Le Hic[modifier | modifier le code]

  • Titre original : The Catch
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 221 à 237
  • Traducteur : Frédéric Lasaygues
  • Résumé :

Rien ne sert de courir[modifier | modifier le code]

  • Titre original : A Tip on a Turtle
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 239 à 278
  • Traducteur : Frédéric Lasaygues
  • Résumé :

L'Étoile de fer[modifier | modifier le code]

  • Titre original : The Iron Star
  • Situation dans le recueil (éd. J'ai lu) : p. 279 à 318
  • Traducteur : Frédéric Lasaygues

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]