Pablo Legasa
Naissance |
Paris |
---|---|
Activité principale | Premier danseur |
Style |
Danse classique Danse néo-classique Danse contemporaine |
Lieux d'activité | Paris |
Formation | École de Danse de l'Opéra national de Paris |
Scènes principales
Pablo Legasa, né le est un danseur français. Il est depuis 2019 premier danseur du ballet de l'Opéra de Paris[1].
Carrière
Les débuts
Legasa commence la danse à six ans, en 2002 puis intègre le Conservatoire à rayonnement régional de Paris (CRR) en 2005[2]. En 2007 Pablo Legasa entre à l'École de danse de l'Opéra de Paris.
Dans le ballet de l'Opéra de Paris
En 2013, Pablo Legasa est engagé dans le corps de ballet.
Premier danseur
Pablo Legasa est nommé premier danseur le [1].
Collaboration audiovisuelle avec Michel Ocelot
Pablo Legasa a collaboré au travail des animateurs du film "Dilili à Paris", de Michel Ocelot et notamment à définir la danse de Chocolat. Cela a ensuite donné lieu à une autre collaboration entre Ocelot et Legasa, cette fois-ci en prise de vues réelles, sur le toit de l’Opéra de Paris.[3]
Par extraordinaire, le danseur classique Pablo Legasa a bien voulu montrer aux animateurs de "Dilili à Paris" comment le personnage Chocolat pouvait danser dans la séquence du bar. Pablo en a fait cent fois plus que ce dont nous avions besoin, et il était mal éclairé, mal filmé. Je me suis dit qu'il fallait de nouveau enregistrer son travail magnifique, cette fois dans des conditions dignes de son art. Au bout de quatre ans, j'ai pu réunir tout ce qu'il fallait pour que cette danse pure s'inscrive dans le ciel de Paris. J'ai ressenti très fort l'intérêt de la vue réelle, d'un individu réel, d'un soleil réel...[4] - Michel Ocelot.
Références
- Sofia Anastasio, « Les résultats du concours interne de promotion 2019 du Ballet de l’Opéra de Paris », sur France Musique, (consulté le ).
- « Pablo Legasa », sur Opéra national de Paris (consulté le )
- (en) « Pablo Paris Satie - Michel Ocelot - 3e Scène », sur L'Opéra chez soi (consulté le )
- Studio O, « Pablo-Paris-Satie », sur www.michelocelot.fr (consulté le )