Ceci est la version actuelle de cette page, en date du 30 décembre 2020 à 14:45 et modifiée en dernier par NeoBot(discuter | contributions). L'URL présente est un lien permanent vers cette version.
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
¡Estamos!
nosotros también
nosotros siempre contentos, ¡siempre alegres!
Hay un Sebastián en el cielo
un único San Sebastián en el mundo
él es el santo y éste es el pueblo
¡he ahí lo que es nuestro San Sebastián!
De Irutxulo, de Gaztelupe
Joxemaritar viejo y joven
Joxemaritar viejo y joven
de calle en calle tocando el tambor
allí van extendiendo el buen humor
¡Joxemari!
De hoy en adelante las penas fuera
¡A la fiesta! ¡A bailar!
Venimos a llamar a los donostiarras
¡Contentos!
¡Vienen los Carnavales!
Traduction française
Nous Sommes !
nous aussi
nous toujours heureux, toujours alègres!
Il y a un Sébastien dans le ciel
un seul Saint-Sébastien dans le monde
il est le saint et celui-ci est le peuple
il y a là ce qu'est notre Saint-Sébastien !
D'Irutxulo, de Gaztelupe
Vieux Joxemaritar et jeune
Vieux Joxemaritar et jeune
de rue en rue en touchant le tambour
là ils étendent la bonne humeur
Joxemari !
Dorénavant les peines dehors
À la fête ! À danser !
Nous appelons les donostiarrak
Heureux !
Arrivent les Carnavals !
Toutefois, et grâce à une recherche menée à bien en 2008 par la mairie de Saint-Sébastien, on est parvenu à retrouver le texte tel qu'il a été composé par Serafín Baroja, sans modification, sur la base de celui publié dans le quotidien donostiar El Urumea du . Le texte original serait ce qui suit :
Version originale
Bagera...!
gure bai
¡Kalera...!
Nora nai
¡Beti pozez! Beti alai
Sebastian bakar bat,
da zeruban
ta Donosti bakar bat
munduban
¡Zer santuba ta
zer erriya ta
zer gaur egun guziko alegriya!
Iruchuloko
gaztelupeko,
Josemaritar zar eta gazte
Josemari emiakin nazte,
kalerik kale,
tanborra juaz
umore ona banatzen
or dijuaz
¡Estamos...!
nosotros también
¡A la calle...!
A donde sea
¡Siempre contentos! Siempre alegres
Hay un único Sebastián,
en el cielo
y un único San Sebastián
en el mundo
¡Es el santo
es el pueblo
es la alegría de todo el día de hoy!
De Iruchulo
de Gaztelupe,
Josemaritar viejo y joven
Josemaritar mézclate con las mujeres,
de calle en calle,
tocando el tambor
repartiendo el buen humor
allí van
De hoy en adelante
las penas fuera,
¡A la fiesta!
¡A bailar!
A llamar a los donostiarras
venimos
¡Vienen los Carnavales!
Traduction française
Nous Sommes… !
nous aussi
À la rue… !
où que ce soit
Toujours heureux ! Toujours allègres
Il y a un seul Sebastien,
dans le ciel
et une seule Saint-Sébastien
dans le monde
Et le saint
c'est le peuple
c'est la joie de toute la journée d'aujourd'hui !
D'Iruchulo
de Gaztelupe,
Vieux Josemaritar et jeune
Josemaritar mélange toi avec les femmes,
de rue en rue,
en touchant le tambour
en distribuant la bonne humeur
ils vont là-bas
Dorénavant
les peines dehors,
À la festivité !
À danser !
Appelez les donostiarrak
venons
Arrivent les Carnavals !
Cette marche se divise en trois parties. La première exalte la ville (unique dans le monde), et le saint (unique dans le ciel).
La seconde partie parle des "joxemaritarrak" (pluriel basque, josemaritar étant indéfini), qui jouent de rue en rue, amusant aux gens. Dans la version actuelle la première phrase dans laquelle on parle des "joxemaritarrak" on fait allusion aux jeunes et vieux et on répète de nouveau la même phrase. Dans la version originale, toutefois, la première phrase est égale à la version actuelle mais dans la suivante il est dit "josemari, mélange toi avec les femmes" (mézclate avec les femmes).
Dans la troisième partie on fait référence au fait que depuis les douze coups de minuit il faut oublier les peines, puisque les joueurs de tambour vont crier dans la ville que les carnavals s'approchent. En outre, au début et à la fin de l'hymne, on nous dit "nous sommes ici nous aussi, toujours heureux, toujours allègres".