Iwiyè Kala-Lobè

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 23 octobre 2021 à 23:51 et modifiée en dernier par Score Beethoven (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Iwiyè Kala-Lobè
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
DoualaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Enfant

Iwiyè Kala-Lobè est un journaliste, chroniqueur camerounais.

Biographie

Enfance, éducation et débuts

Iwiyè Kala-Lobè est né le 15 novembre 1917. Il refuse, dans les années 30, de devenir médecin africain, répliquant au directeur de l’université de médecine : « Ma vocation, c'est d'être journaliste ! ». Ce qui oblige son grand-père, David Mandessi-Bell, à rembourser sa bourse.

Carrière

Il est considéré comme le père du journalisme au Cameroun. Chroniqueur, il a notamment travaillé au ministère de l’Information et de la Communication entre 1961 et 1962. Il écrit pour présence africaine[1]. D'après Henriette Ekwè, on le surnommait IKA et il a inspiré des vocations et ses écrits en français, anglais, pidgin. La célèbre chronique du journaliste, « King Fo Tolly » est un argument de vente dans les échoppes et kiosques à journaux.

Vie privée

Marié à Sara Beboi Kutta Kala-Lobè, il meurt le 7 octobre 1991. Suzanne Kala Lobè est sa fille. Il est domicilié à Bali, Douala[2].

Distinctions

  • Prix de l'Unesco en 2010

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes