Gerardus Craeyvanger

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Gerardus Craeyvanger
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 80 ans)
UtrechtVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres informations
Tessiture
Instrument

Gerardus Craeyvanger ou Gerardus Kraijvanger (Utrecht, - ibidem, ) est un violoniste et baryton néerlandais. Il est également directeur de chorale et professeur de chant[1],[2].

Ses parents sont Gijsbertus Craeyvanger et Geertruida Klingen. Sa sœur, Gertrudis Craeyvanger, est poétesse. Il épouse Johanna Swillens puis Margaretha Swillens ; il est le père des peintres Gijsbertus Craeyvanger et Reinier Craeyvanger, et du violoniste Carolus Arnoldus Craeyvanger.

Il était saisi par l'amour de la musique et se plongeait dans le chant et l'art du violon. À partir de 1798, il est responsable de plusieurs concerts d'étudiants et participe en tant que violon solo. De sa main sont apparus un certain nombre de quatuors à cordes, messes et motets, dont certains ont été imprimés chez l'éditeur Plattner à Rotterdam. Selon les différents guides, ses œuvres étaient en proie à un manque de connaissances en théorie de la musique.


Notes et références[modifier | modifier le code]

(nl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé « Gerardus Craeyvanger » (voir la liste des auteurs).
  1. « Craeijvanger, Gérard » (partitions libres de droits), sur le site de l'IMSLP
  2. (nl) Gerardus Craeyvanger sur dbnl.org

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Viotta, Lexicon der Toonkunst (Lexique de la musique), 1ère partie, p. 398
  • J.H. Letzer, Muzikaal Nederland. 1850-1910 (Pays-Bas Musical. 1850-1910), Utrecht: JL Beijers, 1913, p. 38
  • Geïllustreerd muzieklexicon (Lexique de la musique illustrée), édité par M. G. Keller et Philip Kruseman, coopération de Sem Dresden, Wouter Hutschenruijter (1859-1943), Willem Landré, Alexander Voormolen et Henri Zagwijn ; publié en 1932/1949 par J. Philips Kruseman, La Haye, p. 134 (le texte est le même que celui de Letzer)

Liens externes[modifier | modifier le code]