Geophis maculiferus

Cet article est une ébauche concernant les serpents.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Geophis maculiferus

Classification ReptileDB
Règne	Animalia
Embranchement	Chordata
Classe	Reptilia
Sous-classe	Lepidosauria
Ordre	Squamata
Sous-ordre	Serpentes
Infra-ordre	Alethinophidia
Famille	Dipsadidae
Genre	Geophis

Espèce

Geophis maculiferus
Taylor, 1941

Statut de conservation UICN

DD : Données insuffisantes

Geophis maculiferus est une espèce de serpents de la famille des Dipsadidae^[1].

Répartition

Cette espèce est endémique du Michoacán au Mexique^[1].

Description

L'holotype de Geophis maculiferus^[2] mesure 161 mm dont 21 mm pour la queue. Cette espèce présente un dos variant du grisâtre ou brun violacé et dont les écailles sont bordées de sombre. Sa face ventrale est blanc crème ou jaunâtre.

Publication originale

Taylor, 1941 : Herpetological Miscellany, No. II. University of Kansas Science Bulletin, vol. 27, n^o 7, p. 105-132 (texte intégral).

Liens externes

(en) Référence Animal Diversity Web : Geophis maculiferus (consulté le 3 septembre 2013)
(en) Référence Catalogue of Life : Geophis maculiferus Taylor, 1941 (consulté le 20 décembre 2020)
(fr + en) Référence ITIS : Geophis maculiferus Taylor, 1941 (consulté le 3 septembre 2013)
(en) Référence Reptarium Reptile Database : Geophis maculiferus Taylor, 1941 (consulté le 3 septembre 2013)
Modèle:UBIO
(en) Référence UICN : espèce Geophis maculiferus Taylor, 1941 (consulté le 3 septembre 2013)

Notes et références

↑ ^{a et b} Reptarium Reptile Database, consulté lors d'une mise à jour du lien externe
↑ Taylor, 1941 : Herpetological Miscellany, No. II. University of Kansas Science Bulletin, vol. 27, n^o 7, p. 105-132 (texte intégral).

[ReptileDB-1] {a et b} Reptarium Reptile Database, consulté lors d'une mise à jour du lien externe

[Taylor,_1941-2] Taylor, 1941 : Herpetological Miscellany, No. II. University of Kansas Science Bulletin, vol. 27, n^o 7, p. 105-132 (texte intégral).

[1]

[2]