Fondation Monticelli

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Musée (Fondation) Monticelli
Informations générales
Type
Musée d'art (institution) (d), musée privé (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
Février 2010
Fermeture
2015
Surface
800 m2
Visiteurs par an
35 000
Site web
Collections
Collections
Provenance
Marc Stammegna
Localisation
Pays
France
Division administrative
Commune
Adresse
Fortin de Corbières - Route du Rove - RN 568 - L'Estaque
Coordonnées
Localisation sur la carte de Marseille
voir sur la carte de Marseille

La Fondation Monticelli crée en février 2010 un musée à L'Estaque à Marseille, pour exposer les œuvres de Adolphe Joseph Thomas Monticelli, dans le Fortin de Corbières. Trop excentré pour rester rentable, le musée laisse la place, à partir de 2015, à une exploitation événementielle.

Présentation[modifier | modifier le code]

Le bâtiment a une surface de 800 m2. Le musée organisait trois expositions temporaires par an, et disposait d'une exposition permanente[1]. Il était fréquenté par environ 35 000 personnes par an[2].

La structure était dirigée par l'expert Marc Stammegna, au travers de l'Association Fondation Monticelli. Ce projet était financé par lui-même intégralement[3].

La Fondation Monticelli a cessé d'exister en octobre 2015.

Depuis Juillet 2017, le Fortin de Corbières est devenu un lieu de réceptions événementielles à Marseille pouvant accueillir jusqu'à 600 personnes en extérieur et 99 personnes à l'intérieur du Fort. C'est une adresse offrant une vue exceptionnelle sur la rade marseillaise.

Desserte[modifier | modifier le code]

Le lieu est accessible en voiture. Il est mal desservi par les transports en commun, ainsi en bus, il se trouve à 2 km du terminus de la ligne 35[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

  • Olga Bibiloni, « Marseille : un musée Monticelli, artiste à part », La Provence,‎ (lire en ligne)
  • Dephine Tanguy, « Marseille : nos petits musées ne se font pas mousser », La Provence,‎ (lire en ligne)

Article connexe[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]