Discussion:Théories d'une vitesse de lumière variable

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Sur le paradoxe des théories à célérité variable[modifier le code]

Des théories alternatives qui supposent que la célérité de la lumière est variable en fonction du temps contredisent les définitions d'unités de mesure de grandeurs physiques fondamentales. Selon la théorie de la relativité, en l'état actuel des connaissances, la vitesse de la lumière dans le vide est constante et indépendante du référentiel, et constitue de fait l'étalon « naturel » dont sont dérivés l'étalon-temps et l'étalon-longueur. La seconde est définie comme égale à 9192631770 périodes de la radiation de transition entre les deux niveaux hyperfins d'énergie de l'état fondamental de l'atome de césium 133 ; elle sert de base à la définition de l'unité d'espace (le mètre est défini comme distance parcourue par la lumière dans le vide en seconde). Mais faudrait-il déjà un autre système de mesure que celui qui prend en référence la célérité de la lumière ? C'est impossible car l'espace et le temps pris indépendamment ne sont pas des grandeurs absolues (cf. théorie de la relativité). L'espace et le temps sont nécessairement relatifs, ils dépendent d'un référentiel donné. Toute mesure de variation de célérité par rapport à un temps relatif conduirait à dire que la célérité diffère selon les observateurs, ce qui contredit la théorie de la relativité. L'expérience de Michelson-Morley en 1887 a démontré que la célérité de la lumière est la même dans tous les référentiels. De plus, tenter de mesurer une hypothétique variation de la célérité de la lumière dans le vide est une entreprise chimérique : le problème de la mesure repose sur l'incertitude des mesures autant que sur l'utilisation d'un autre système d'unités de mesure, la marge d'erreur relative dont la grandeur est de même ordre de grandeur que la variation hypothétique à mesurer. Bref, le système international des unités de mesure a posé pour définition que la célérité de la lumière est constante. Ajoutons aussi que pour être scientifiques, des théories doivent pouvoir être a priori réfutables (cf. épistémologie) comme c'est le cas pour la relativité d'Einstein. - (d) 5 décembre 2007 à 21:47 (CET)[répondre]
« L'expérience de Michelson-Morley en 1887 a démontré que la célérité de la lumière est la même dans tous les référentiels » : sans contester spécialement le fond, cette forme d'affirmation n'est pas acceptable : l'expérience de MM a montré que dans les conditions où on la réalisait aucune variation de célérité ne pouvait être mise en évidence. Rien de moins, mais rien de plus en ce qui concerne cette expérience précise, qui n'indique rien par elle-même concernant des conditions différent par exemple de plusieurs ordres de grandeur.
Ce n'est certes qu'une question de précaution oratoire, mais c'est en omettant celles-ci qu'on crée parfois des dialogues de sourds :-) François-Dominique (d) 29 octobre 2008 à 00:29 (CET)[répondre]
Cette précaution oratoire devrait - en toute rigueur - être prise pour toutes les expériences de physique sans exception : pourquoi cette précaution oratoire pour cette expérience en particulier ? Une expérience de physique ne démontre jamais rien de toutes façons, tout le monde le sait, c'est implicite (en revanche, elle peut infirmer ce qui est déjà pas mal). Bref. Insister pour prendre ce genre de précautions pour cette expérience en particulier parait suspect. --Jean-Christophe BENOIST (d) 29 octobre 2008 à 10:24 (CET)[répondre]
Pour reprendre mes arguments pour mieux les resituer dans le contexte, il est exact de souligner que la réfutation est un critère plus important que la corroboration d'une hypothèse. Depuis près d'un siècle, on n'a pas encore rencontré de contre-exemple convaincant qui réfute l'expérience de Michelson-Morley et la théorie de la relativité générale (cela ne veut pas dire que le contre-exemple n'existe pas) mais la théorie a néanmoins (comme toute théorie scientifique) la possibilité d'être réfutable par des expériences. Ainsi, en 2007 j'ai eu tort d'utiliser une confirmation comme preuve, je me suis mal exprimé, c'est en fait aux opposants du postulat de la constance de la célérité de la lumière dans le vide de prouver la cohérence de leur concept en réfutant la théorie de la relativité au moyen d'un contre-exemple expérimental ou observationnel. Mais jusqu'à présent, rien, il existe surtout beaucoup de spéculations sur papier... On ne peut guère conclure pour le moment. Il est bon de rappeler qu'une théorie scientifique crédible et cohérente ne signifie pas qu'elle est la vérité, il faut toujours se dire qu'il existe des failles et des contradictions quelque part, toute théorie scientifique (donc réfutable) étant faillible. Giordano Bruno - (d) 5 juillet 2011 à 19:04 (CEST)[répondre]

Importance moyenne[modifier le code]

Pourquoi cette article est d'importance moyenne?

Les critères d'appréciation de l'importance d'un article sont définis dans ce tableau. Un article d'importance élevée est défini ainsi : « Le sujet a un impact large et apporte des connaissances de l'ordre de la culture générale. » ; l'importance moyenne me semble mieux correspondre au présent article : « Sans relever de la culture générale, le sujet développe un point important et très étudié de la discipline dont il relève. Ou bien il développe un point d'un article d'importance élevée dans lequel il avait été inclus ou aurait pu l'être. » Croquant (discuter) 24 janvier 2010 à 16:43 (CET)[répondre]
Certains pourraient même l'estimer comme "faible", car il est contestable que ces théories soient "importantes et très étudiées". Mais bon, pas grave. Jean-Christophe BENOIST (d) 24 janvier 2010 à 19:58 (CET)[répondre]
C'est vrai : si l'on doit hésiter, c'est plutôt entre moyen et faible qu'entre élevé et moyen. Croquant (discuter) 24 janvier 2010 à 20:10 (CET)[répondre]


Ces theories sont étudier dans les pays anglophones mais pas en France. Ces theories VSL sont plus fascinante que l'univers inflatoire. Rod (Londres)

Paragraphe peu clair, à supprimer ?[modifier le code]

A mon avis, il faut modifier ce paragraphe ou le supprimer :

"Bien que ces travaux soient les premiers dans le domaine, et les seuls encore aujourd'hui à fournir une loi de variation conjointe des constantes au fil du temps, ils furent peu cités dans ce qui fut ultérieurement publié sur la théorie VSL."

  • "Bien que ces travaux soient les premiers dans le domaine, et les seuls encore aujourd'hui" : invérifiable, ou réf. nécessaire
  • "à fournir une loi de variation conjointe des constantes au fil du temps" : des constantes, par définition, ne peuvent pas varier, à reformuler
  • "ils furent peu cités dans ce qui fut ultérieurement publié sur la théorie VSL." : si les travaux sont peu cités, on ne devrait même pas en parler ici (proportion, théorie marginale)

92.152.255.248 (discuter) 14 janvier 2020 à 22:23 (CET)[répondre]