Discussion:Lavedan
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Fusion entre Vallées des Gaves et Lavedan[modifier le code]
Ces deux articles décrivent la même zone géographique. J'ai posé la question par courriel à des locaux : il en ressort que Lavedan est le nom historique usuel alors que Vallées des Gaves est un nom récent. Guérin Nicolas (messages) 8 novembre 2009 à 16:41 (CET)
- Fait. --Nouill (d) 8 novembre 2009 à 18:57 (CET)
Recyclage du paragraphe Histoire[modifier le code]
Effectivement il faut recycler ǃ Le contenu est intéressant mais je trouve que la place accordée à Bertrand Barère est excessive, il faut renvoyer à l'article de même nom. --Roland Darré (discuter) 13 mars 2015 à 13:29 (CET)
Libellés inadéquats[modifier le code]
"À partir de cette date, et afin que cette partie de la Gascogne échappe à la mouvance des rois de France, dynastie alors étrangère à l'Occitanie, le comté de Bigorre devient l'enjeu d'une lutte entre ses voisins"
La proposition "et afin que cette partie de la Gascogne échappe à la mouvance des rois de France, dynastie alors étrangère à l'Occitanie" est très discutable :
1) peut-on parler d' "Occitanie" à cette époque ? Evidemment non.
2) est-ce que les intervenants dans cette affaire luttaient à quelque degré que ce soit pour la défense de la langue d'oc pour un concept de "zone politique des pays de langue d'oc". Evidemment non.
3) "dynastie alors étrangère à l'Occitanie" est donc une ineptie du nationalisme occitan.
Par ailleurs, les rois d'Angleterre étaient de la dynastie des Plantagenêts, qui n'est pas "occitane" (malgré la possession du duché d'Aquitaine), mais angevine (de l'Anjou, c'est-à-dire le Maine-et-Loire, en gros).
Economie à reprendre[modifier le code]
Bonjour,
Une petite note pour la suite, je n'ai pas le temps de m'y plonger aujourd'hui, la section économie serait à reprendre et à étoffer. Elle ne parle que des stations de ski alpin, ce qui est quand même très parcellaire comme vision de l’économie locale. (et je ne suis pas sûr qu'on puisse dire qu'Hautacam, par exemple, soit une des stations les plus réputées des Pyrénées, mais c'est plus un détail). Je me mets ça dans ma to do list, mais si qqn veut s'y plonger avant que je n'ai le temps de le faire...
--Etienne V 26 août 2019 à 10:13 (CEST)
A propos des coutumes et des communautés[modifier le code]
La différence entre le Lavedan (et les vallées montagnardes) et la plupart des territoires du royaume de France est (à première vue) la faiblesse de l'encadrement seigneurial.
Il ne semble pas en effet exister de seigneuries de village (sauf pour les villages de l'abbaye de Saint-Savin). Le seul seigneur semble être le vicomte de Lavedan : comment exerce-t-il son pouvoir sur les habitants ? (pouvoirs judiciaires, pouvoirs fiscaux).
Il y a forcément des relations entre le vicomte et les communautés : envoie-t-il de temps à autre un délégué ? des hommes d'armes ?
Il est compréhensible qu'il y ait de fortes communautés, mais elles doivent bien avoir eu des obligations (même limitées).
Il y a donc pas mal de choses à préciser, il ne faut pas s'en tenir à des généralités plus ou moins banales
Il faut rappeler que toutes les paroisses en France (sauf si les habitants étaient juridiquement serfs, mais ils n'étaient plus que 600 000 en 1789) avaient une assemblée paroissiale qui désignait un syndic (par exemple, le grand-père de Frédéric Chopin a été syndic de Marainville-sur-Madon avant la Révolution, puis élu municipal), chargé des relations avec le seigneur mais aussi avec l'administration royale, en fonction des privilèges du lieu (par exemple, la paroisse du Gâvre près de Nantes était une "ville franche royale" créée en 1225 (à l'époque par le duc de Bretagne) dont le syndic devait souvent négocier le maintien des privilèges de fondation avec le seigneur, c'est-à-dire le roi de France, ou ses agents des bureaux de Versailles).
Les privilèges du Lavedan étaient sans doute particulièrement étendus, mais pas totalement exceptionnels (on peut aussi penser à l'autonomie obtenue par les villes du comté de Flandre, Bruges, Gand, etc. en matière de "self-government").
Dernier point : est-ce que le système d'héritage était la primogéniture mâle ou absolue (l'héritage revient au premier né, qu'il soit garçon ou fille) ?