Discussion:Fullerène

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Il y a comme un problème : « C2n comme étant des structures fermées composées de (n-20)/2 hexagones et de 12 pentagones. [...] Comme la structure du C60 est identique à celle d'un ballon de football, avec 12 pentagones et 20 hexagones,  » Selon le début de la citation, n=30. Il devrait donc y avoir (30-20)/2=5 hexagones et 12 pentagones ; peu après je lis qu'il y en a 20 soit 4 fois plus.

Ces deux paragraphes sont interessant mais peut-être pas assez détaillés ; ce n'est pas clair. Quelques explications sur la structures sphériques et le nombre de pentagones/hexagones seraient les bien venues (je veux dire, des explications mathématiques permettant d'expliquer cette formules que je n'ai peut-être pas su utiliser).

Cordialement, Azollyx.

Bonjour J'ai rien compris non plus sur la généralisation de la construction d'un fullerène ...Si ce n'est que pour qu'une variété de fullerène soit stable, les structures pentagonales ne doivent pas être adjacentes entre-elles, donc toujours au cœur de 5 hexagones D'autre part la référence à Euler (Faces + Sommets - Arrêtes = 2) n'est pas clairement mise en évidence.

Comment sont répartis les doubles relations entre les atomes de carbone d'un fullerène ? Est-ce qu'on a à faire à la même logique que dans une "Délocalisation-mésomérie" bien qu'il n'y ait que des atomes de carbone car la représentation ne montre que 3 liaisons entre les atomes de carbone ?

Ce qui est amusant, c'est que lorsqu'on déplie un pentagone avec avec ses hexagones, on imagine assez les doubles liaisons (plus fortes) tirer la structure pour lui donner sa forme convexe, ce qui appliqué à la molécule lui donne naturellement sa forme ronde. J'aurai tendance à penser que les doubles liaisons si elles existent partent des sommets des pentagones. Est-ce le cas ?

composés encapsulés[modifier le code]

Rien n'est dit dans cet article sur les composés du type Ar@C60 prototype d'un composé où un atome ou un groupe d'atomes est coincé dans l'intérieur de C60. voir à ce propos en:Endohedral fullerene.
Quelqu'un voudrait-il bien écrire une section à ce propos?? --tpa2067 (Allô...) 2 avril 2009 à 09:36 (CEST)[répondre]

Section Méthodes de dosage dans l’eau[modifier le code]

Cette section très détaillée pourrait peut-être faire un article à part entière, du genre Dosage des fullerènes dans l'eau. Des avis ? Perditax (d) 24 juillet 2010 à 17:26 (CEST)[répondre]

Détection de ces molécules dans l'espace[modifier le code]

Bonjour, un article de Science indique que des chercheurs ont découverts certaines de ces molécules (C60 et C70) dans l'espace. Un article de vulgarisation en parle également. Si quelqu'un veut ajouter cette info à l'article. Pamputt 9 août 2010 à 09:36 (CEST)[répondre]

✔️ Une phrase seulement dans la partie histoire pour l'instant, et pourtant j'en ai passé du temps à chercher dans les papiers cités dans l'article de science pour essayer d'étoffer un peu le contexte :/ Perditax (d) 13 août 2010 à 16:54 (CEST)[répondre]

Remplacer « buckyballe » par « buckyball »[modifier le code]

Suite à cette discussion et celle-là, j'aimerais remplacer systématiquement le terme « buckyballe » par « buckyball ». Ça permettrait de rester cohérent avec les termes buckypaper, buckydisc et buckycolumn qui apparaissent dans d'autres articles. Comme je travaille en Allemagne, je ne sais pas ce qui est le plus utilisé en français. J'ai rencontré sur google « buckyball », « bucky-ball », « bucky ball », « ballon de Bucky », « boule de Bucky », « boule bucky »... sans pouvoir moi non plus conclure sur le terme à adopter. Enfin, je vais quand même attendre un peu avant de faire la modification, au cas où d'autres avis émergent. Perditax (d) 13 août 2010 à 19:25 (CEST)[répondre]

Les nanotubes des fullerènes ???[modifier le code]

Dans la tête de l'article il est expliqué que les fullerènes peuvent prendre de multiples formes. Il me semble que c'est avant tout la forme de polyèdre ? Les nanotubes ne me semble pas être des fullerènes par exemple (mais je ne suis pas spécialiste du domaine...)

Si, c'est correct. Un polyèdre étant par définition « une forme géométrique ayant des faces planes qui se rencontrent le long d'arêtes droites » (première phrase de l'introduction), la description donnée fonctionne aussi avec les nanotubes, même si les faces peuvent être presque parallèles dans la direction du tube. Perditax (d) 20 janvier 2011 à 12:47 (CET)[répondre]
Un fullerène est une molécule en forme de cage exclusivement constituée d'atomes de carbone (la première phrase de l'article est très ambiguë et mérite correction). Les fullerènes sont des molécules bien définies, ce qui n'est pas le cas des nanotubes. Pour un chimiste, fullerènes et nanotubes sont deux familles de composés apparentées, mais il n'est pas vraiment correct de dire qu'un nanotube est un fullerène --JeanFrancoisNierengarten (discuter)

je pense que le C20 n'existe pas ; la forme géométrique existe bien sûr, mais pas la molécule C20 ; si vous avez une référence pour son existence, merci de l'indiquer jflm

C'est fait! Cordialement, Perditax (d) 15 février 2011 à 18:23 (CET)[répondre]

Nombre de fullerènes non proportionnel à n[modifier le code]

"Le nombre de fullerènes C2n augmente avec n=12, n=13, n=14, etc. en proportion à n."

Le nombre de fullerènes croit considérablement avec n mais PAS de manière proportionnelle puisque l'on arrive à "214 127 713 fullerènes non-isomorphiques C200" alors que C60 n'en donne que 1 812. Qui dit "proportion" dit qu'il y a un nombre unique (coefficient de proportionnalité) qui donne systématiquement le résultat et ce n'est pas le cas évidemment. J'ai modifié en "Le nombre de fullerènes C2n augmente bien plus vite que n - ce n'est pas proportionnel." et la suite est assez explicite. JeanPhir (discuter) 10 mars 2014 à 19:11 (CET)[répondre]

Les fullerènes sont des molécules en forme de cage comportant en général 2(10 + n) atomes de carbone formant 12 pentagones et n hexagones. Il est intéressant de souligner que le principe de construction de ces composés est une conséquence du théorème d’Euler : pour obtenir un polyèdre à partir d’un réseau de n hexagones, il faut 12 pentagones (sauf pour n = 1). De fait, le plus petit fullerène pouvant être imaginé en théorie est le C20. A partir de C20, n’importe quel agrégat constitué d’un nombre pair d’atomes de carbone peut former au moins une structure de type fullerène. En augmentant n, le nombre d’isomères de fullerène augmente rapidement, de 1 pour n = 0 à plus de 20000 pour n = 29. Le buckminsterfullerène est le seul isomère du C60, c’est aussi le plus petit des fullerènes obéissant à la « règle des pentagones isolés ». Cette dernière prédit que les structures de type fullerène dont tous les pentagones sont isolés par des hexagones sont plus stables que celles possédant deux pentagones adjacents. La déstabilisation liée à la présence de deux pentagones adjacents résulte essentiellement d’une tension de cycle importante du fait de la présence d’angles de liaison très éloignés des 120° standards. Le second fullerène stable est le C70. Sa structure respecte la règle des pentagones isolés et il a une forme ovale, comme un ballon de rugby. De fait, au niveau de ses deux pôles, la structure du C70 est semblable à celle du C60. En revanche, le C70 possède une ceinture équatoriale constitué d’hexagones fusionnés. En considérant que seuls les fullerènes Cx qui respectent la règle des pentagones isolés sont stables, les chiffres x magiques sont : 60, 70, 72, 76, 78, 84… . Le nombre d’isomères possibles en théorie est de un pour le C60, un pour le C70, un pour le C72, un pour le C76, cinq pour le C78, 24 pour le C84 et 46 pour le C90. Tous ces fullerènes, à l’exception du C72, sont en fait obtenus lors de l’évaporation du graphite sous atmosphère d’hélium. A ce jour, une bonne partie de ces produits a été isolée et caractérisée. JeanFrancoisNierengarten (discuter)

Solubilité impossible...[modifier le code]

"Aussi, les fullerènes sont peu solubles dans l’eau (1,3 × 10−11 mg/mL) [...], ce qui peut augmenter leur solubilité par un facteur allant jusqu’à 1016 fois."

Cela pose un problème car 1,3 × 10−11 mg/mL x 1016 donne 1,3 × 105 mg/mL, soit 130 g/mL. Comment dissoudre 130 g de fullerène dans seulement 1 ml d'eau ? c'est-à-dire 1 g d'eau ou encore un peu plus de 20 gouttes !

A noter que ce n'est pas "mL" mais "ml" car "L" est le symbole du litre et ce mot n'est pas le nom d'un scientifique, seul cas où l'on conserve la majuscule, comme A(mpère), V(olt), G(auss), etc. JeanPhir (discuter) 10 mars 2014 à 19:11 (CET)[répondre]

Effectivement, il y a un prob avec ces nombres qui illustrent bien que non référencés, ils ne signifient rien. Je propose ni plus ni moins que la suppression de la parenthèse (1,3×10-11 mg/mL). De plus, je suis d'accord avec toi à propos du symbole du litre. Néanmoins, l'UIPAC accepte aussi le 'L' pour ceux ou les fontes qui ne distinguent pas 1l de 11 et de 1I ou 2l de 21, 2I, c'est sûr que 1L / 11 / 1I ou 2L / 21 /2I, ça a le mérite d'être clair. Pour ml, d'un coté, il n'y a plus de problème qui justifie un L mais d'un autre coté, ml c'est aussi mètre linéaire pour certains ce que mL ne saurait être Émoticône sourire-- Titou (d) 12 mars 2014 à 13:39 (CET)[répondre]

La formulation de cette phrase n'est pas très claire: Le , Harold Kroto, James R. Heath, Sean O’Brien, Robert Curl et Richard Smalley découvrirent le C60[1], et rapidement après cela découvrirent les fullerènes. On pourrait penser que le C60 n'est pas une forme de fullerène. Je propose qu'on écrit [...] et rapidement après cela découvrirent les autres formes de fullerènes.. Qu'en pensez-vous?--Calviin 19 (discuter) 10 janvier 2015 à 09:34 (CET)[répondre]

A optimiser[modifier le code]

La version anglaise est plutôt bien mais la version française mérite d'être optimiser. A mon avis le paragraphe 6 (méthodes de dosage dans l'eau) n'a pas beaucoup de sens. Je suggère fortement de supprimer ce paragraphe --JeanFrancoisNierengarten (discuter)

  1. (en) H.W. Kroto, J.R. Heath, S.C. O'Brien, R.F. Curl et R.E. Smalley, « C60: Buckminsterfullerene », Nature, vol. 318,‎ , p. 162-163 (DOI 10.1038/318162a0)