Discussion:Stimulation musculaire électrique
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La Stimulation musculaire électrique est utilisé en Électrothérapie (Kinésithérapie) mais aussi dans d'autre domaines. Donc pas de fusion entre ses deux pages. Merci pour ta remarque BonifaceFR --Paixromana (d) 21 mai 2012 à 01:29 (CEST)
J'ai le projet de placer après le paragraphe 5, le paragraphe suivant. Qu'en pensez vous ?
Une variante appelée : Stimulation électrique fonctionnelle[modifier le code]
Alors que la stimulation musculaire électrique a des buts thérapeutiques ou vise un entraînement musculaire, la stimulation électrique fonctionnelle ( SEF) a pour ambition de restaurer le mouvement de certains membres paralysés en générant artificiellement des contraction de certains muscles].
Pour être réellement utile aux patients intéressés (paraplégiques, tétraplégiques ...) il faudrait obtenir des mouvements suffisamment, bien coordonnés, rapides, précis...(cf. l'équilibre de la marche, l'écriture manuelle....)
Les processus naturels d'obtention des mouvements via l'influx nerveux (synonyme de potentiel d'action sont trés différents des excitations électriques artificielles que l'on peut concevoir. Par exemple le signal nerveux possède une structure compliqué, on peut presque dire incompréhensible. Et aussi le mouvement naturel est , le plus souvent, obtenu par une contraction approprié du muscle agoniste et la décontraction du muscle antagoniste correspondant. (Une autre différence notable, qui cependant ne joue aucun rôle ici, est la vitesse le l'influx nerveux, inférieure à 0,1 km/s, alors que la vitesse d'un signal électrique dans un conducteur est de l'ordre de 200000 km/s).
Le principe d'un appareillage de SEF, ressemble à celui d'un robot humanoïde: un ordinateur central reçoit des informations proprioceptives et extéroceptives et élabore des signaux de commande, qui dans ce cas, sont envoyés sur des électrodes internes d'excitation.
Un aspect décevant imprévu, est qu'avec une excitation électrique, la | fatigue musculaire apparaît plus vite que lors du fonctionnellement naturel.
Actuellement, en 2013, les recherches dans ce domaine sont actives dans plusieurs pays, mais les réalisations pratiques restent encore au stade du laboratoire.
Ainsi, à Montpellier, dès l'an 2000, Pierre Rabischong faisait marcher un paraplégique qui devait garder son équilibre au moyen de deux cannes.