Discussion:Robert Galley

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Accusations infondées de crime de guerre[modifier le code]

Je lis "Responsable de plusieurs crimes de guerre commis contre des prisonniers allemands quand il servait dans la 2e DB (cf. Le Chemin le plus long), il est compagnon de la Libération."

Comme si il fallait être criminel de guerre pour être Compagnon de la Libération. A peine tendancieux ...

Mais référons nous au "Chemin le plus long" ainsi que suggéré (Ca tombe bien j'ai l'original sous Word, ce qui facilite les recherches)

Et bien ce livre (écrit par les anciens de la compagnie de chars de la France libre dont faisait partie Galley depuis ses tout débuts, ne profère pas de telles accusations. Ce livre montre bien évidemment une montée progressive du niveau de violence de gens qui font la guerre depuis 5 ans mais rien à mon sens qui puisse permettre de qualifier ces faits de guerre de crimes de guerre. En tout cas, aucun jugement n'a été rendu qui permettrait d'employer ces mots dans une encyclopédie.

Exemple :

"Strasbourg, nuit du 23 au 24 novembre 1944. Un civil alsacien s’approche du Kila qui est à 100 mètres du Narvik et adresse la parole au sergent Hamelin. Il explique que dans ce secteur se trouvait le centre de la D.C.A. de Strasbourg et que les artilleurs allemands sont en train de détruire leurs pièces et leurs munitions. - ... Et ils veulent se rendre, ajoute-t-il, mais ne savent comment prendre contact. Ils ont peur de franchir le talus. L’histoire a l’air assez convaincante pour qu’Hamelin en réfère à Galley qui réfléchit longuement. Bon. Il faut se décider. - Vas-y voir avec Lebœuf et le civil. Au bout d’une demi-heure aucun signe de vie sinon quelques coups de feu isolés. Vers vingt-deux heures, un habitant du voisinage s’approche faisant signe qu’il apporte un grave message : le sergent Hamelin est mort ainsi que le civil alsacien ; quant à Lebœuf, il a peut-être réussi à s’enfuir.

Galley laisse le commandement à Gambert et saute dans sa jeep. Au P.C. de Cantarel, c’est la fête : musique, champagne... Le lieutenant qui vient demander du renfort est accueilli comme un importun, un gêneur. Il faut la grande estime du commandant Cantarel pour le combattant et le chef confirmé qu’est Galley pour qu’il lui donne en pleine nuit un groupe d’infanterie, pas même une section. D’ailleurs, arrivés sur les lieux, les fantassins refusent de s’engager dans cette zone inconnue en flammes avant le lever du jour. C’est donc plusieurs heures plus tard qu’ils découvrent le corps d’Alphonse Hamelin étendu sur la route, la carotide tranchée par une balle.

Strasbourg, 24 novembre 1944. Dans la matinée un civil alsacien vient dénoncer un couple de l’Abwehr (contre-espionnage) retiré dans un appartement du voisinage. Galley envoie Claustre et Muhr avec le civil. Le couple est là, au 4e étage : il se rend sans discussion. Ce qui intrigue le plus Claustre et Muhr, c’est que le logement est bizarrement rempli de boyaux de chats. En perquisitionnant, ils trouvent une grosse somme d’argent et une masse de documents qu’ils n’ont pas le temps de dépouiller. Galley interroge les deux prisonniers qui répondent insolemment. Il les exécute à la carabine le long de la voie ferrée."

Exécution d'espions dans un climat de tension d'insécurité et sans les effectifs nécessaires pour s'occuper de prisonniers, non ?

Amicalement JGh (d) 31 décembre 2007 à 11:23 (CET)[répondre]

Dans la version allemande il y a plusieurs "faits de guerre" qui manquent ici - il faudrait traduire ...--PatrickBrauns (d) 9 juin 2012 à 09:55 (CEST)[répondre]

Il est à signaler que certains de ses soldats ...[modifier le code]

"Le chemin le plus long" à 80 coauteurs issus de la Cie de chars de Galley, dont Robert Galley lui même et egalement Georges Buis. Donc ce n'est pas "certains de ses soldats" mais probablement Robert Galley lui même ou du moins il était d'accord pour la publication des faits le concernant ainsi que son supérieur avant que lui même prenne le commandement de la Cie. Amicalement JGh (d) 5 novembre 2008 à 21:54 (CET)[répondre]

OK, on va essayer de tenir compte de cela. Mais ceci me renforce dans l'idée que ce n'est pas une pièce à charge contre Galley. Mais la rédaction n'est pas facile. --Arrakis (d) 5 novembre 2008 à 22:12 (CET)[répondre]
Oui, et c'est pour ça que c'est difficile de sortir ces faits bruts du livre qui les mets dans leur contexte. Et le contexte c'est 5 ans de guerre avec en point de départ une guerre entre Français (au Gabon et en Syrie). C'est donc probablement une sorte de rage contre ce qui a tout perverti, qui anime Galley et ses compagnons de guerre. Mais c'est aussi une grande honnêteté de leur part que de parler de ces faits. Amicalement JGh (d) 6 novembre 2008 à 09:01 (CET)[répondre]

Frère: Gallet avec un t?[modifier le code]

La phrase "Il a pour frère aìné Georges H. Gallet" sans référence, et avec une orthographe différente pour les noms, ne peut être laissée pour l'instant sur la page de Robert Galley, à mon sens. Je la supprime, en attente d'investigations complémentaires ou de références sérieuses. J'ai vérifié dans le Whos'sWho que le père de RG s'appelle Léon Galley --Arrakis (d) 7 décembre 2008 à 12:32 (CET)[répondre]

Tout a fait d'accord. J'ai laissé l'équivalent provisoirement sur Georges H. Gallet, avec demande de référence à l'auteur (ref. dans la discussion propre) lui même ( = reponse en attente de contact, sur un forum spécialisé) Skblzz1 (d) 8 décembre 2008 à 22:13 (CET)[répondre]