Discussion:Pouvoir (philosophie)

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Efficacité de l'article[modifier le code]

Effacé de l'article : Le pouvoir constituant est un concept contradictoire, c'est un terme impropre. C'est un point de vue pour le moins personnel. L'emploi du terme est fréquent. On distingue habituellement le pouvoir constituant originaire, en pratique le détenteur de la souveraineté, dont il est vrai que c'est un pouvoir de fait et non de droit quand il établit la constitution, mais qui est ensuite consacré par elle, et le pouvoir constituant dérivé, établi par la constitution ; on peut certainement défendre l'idée qu'il s'agit d'une partie du pouvoir législatif (de même qu'on peut soutenir que le judiciaire est une partie de l'exécutif), mais je ne vois pas où il y aurait contradiction ou impropriété. Ou alors faut expliquer. Didup 14 nov 2004 à 19:05 (CET)

Différence entre Pouvoir et Pouvoir politique[modifier le code]

L'article tel que rédigé ne traite que du pouvoir politique, et non du pouvoir en général. Il devrait donc être intitulé différemment, par exemple "Pouvoir politique".

Classement ébauche culture[modifier le code]

Je ne vois pas trop le rapport avec la culture mis à part certains développements (cf tag ébauche culture)

Le pouvoir et ses masques [modifier][modifier le code]

Dans la relation sociale, la position de pouvoir vise la victoire dans un pur rapport de force. Si le contexte entrave la réussite escomptée (la mise en évidence de la puissance) de l'émetteur, celui-ci va prendre le masque. Le masque, en voilant l'intention finale, dévie la confrontation directe. Un effort devient nécessaire pour percevoir le pouvoir qui se conforte tant qu'il reste dans cette position.

Dans le jeu social, les masques sont empruntés à des comportements-types (archétypes) facilement lisibles. Dans le déclaratif de l'émetteur, ils sont présentés comme non ambigus et porteurs de valeurs sociales soit positives, soit négatives. L'analyse seule permet de dévoiler l'ambivalence, mais encore faudrait-il percevoir l'ensemble de la structure du comportement qui en est à l'origine et les finalités qui le sous-tendent.

La marque du pouvoir suppose que ces valeurs sociales sollicitées dans la relation ne soient jamais "neutres" vis-à-vis de l'interlocuteur (individuel ou collectif) qu'elles visent. Elles se situent toujours dans une partie qu'il s'agit de gagner.

Masques porteurs de valeurs positives :

  • 1 l'affectif : "Mes intentions sont pures".
  • 2 le croyant : "Voici ma conviction intime." (proche de l'empirique : "ce que j'ai vu, ressentis")
  • 3 l'égal : "Ma parole vaut autant que la sienne".
  • 4 le communiquant : "Parlons vrai, ..."
  • 5 l'expert : "Voici ma définition..."
  • 6 l'animateur : "Je suis positif"
  • 7 le rassembleur : "Le groupe est le but..."
  • 8 le savant : "Comme disait..."

...

Masques porteurs de valeurs négatives :

  • le comique : "On peut rire de tout et de tous"
  • le commerçant : "Tu payeras tout : ce que je veux te donner et même ce que je ne veux pas".
  • l'intolérant : "Ceci est insupportable"
  • le falsificateur : "C'est lui le coupable de mon crime. Châtiez-le "
  • le tyran : "Seulement si je le veux"
  • l'insensible : "Je ne veux rien savoir ou entendre de lui "
  • le bourreau : "Je jouerais toujours contre lui"
  • le narcisse : "Rien de bien en dehors de moi"
  • le vainqueur : "Et je porte l'estocade finale"

...

L'utilisation systématique de l'un ou l'autre de ces comportements peut tout à fait servir d'outil valable dans une relation de pouvoir. Ces masques sont portés de telle manière par l'émetteur qu'il est difficile du point de vue du récepteur de les qualifier positivement ou négativement, sur le moment même de leur emploi (faites l'essai de construire un discours imaginaire en utilisant les exemples ci-dessus dans n'importe quel ordre).

  • Une seule valeur positive adroitement mêlée à une construction négative a pour effet de masquer le pouvoir et peut convaincre un auditoire de l'angélisme de l'émetteur.
  • Une valeur généralement éprouvée comme négative sera reçue positivement d'autant plus qu'elle réintroduira dans la "partie" la notion de lutte de pouvoir qui sera non pas démasquée et comprise mais éprouvée par les auditeurs comme une jouissance, un accomplissement du jeu qui se déroule. La majorité s'identifie spontanément au vainqueur. Ici, nous approchons l'une des clés de compréhension du pouvoir. La force de l'émetteur ne réside plus alors dans le leurre de l'ambiguité mais dans la consistance de son comportement, quelque que soit le moyen employé.


Notes :

2 - a) le croyant : il fait appel à un référentiel absolu auquel tout se rattache et qui fournit toute explication.

2 - b) l'empirique : l'empirisme revient à définir en renonçant à analyser et comprendre dans le cadre des sciences établies. C'est une attitude tout à fait acceptée et même appréciée socialement car elle renvoit à une perception "individuelle" qu'on imagine pouvoir comprendre et partager sans effort. Par contre, la réflexion systématique et la maîtrise de la complexité d'un phénomène n'a que peu de succès dans le cours des échanges sociaux de la vie quotidienne(du point de vue de la majorité).

5 - l'expert : Dans leur theorie du pouvoir social, French et Raven definissent le pouvoir d'expertise (ou de competence) comme le resultat de la perception par un individu (p) qu'un individu (o) possede une experience ou des connaissances speciales ou superieures aux siennes sur un sujet donne. Precisons que dans cette theorie, le pouvoir est defini en terme d'influence et celle-ci en terme de changement psychologique meme si les auteurs admettent que le pouvoir de controler les actes d'un acteur n'induit pas obligatoirement un controle de ses opinions.''

<Bon, ce petit texte n'est qu'une simple improvisation (galerie de masques + commentaires rapides). Le sujet m'a interéssé. Si l'idée n'est pas trop mauvaise, ce serait à réécrire entièrement avec citations, etc. Par moi ou quelqu'un d'autre> --Bleuazur 31 octobre 2006 à 10:42 (CET)30/10/2006-Bleuazur[répondre]

"plusieurs personnes ne peuvent pas avoir le pouvoir de faire des actions incompatibles au même moment"[modifier le code]

Cette assertion me paraît pour le moins contestable. Il y a dans la notion de pouvoir une potentialité qui est essentielle ; ce que l'on "peut" faire, ce n'est pas ce que l'on "fait". Or, précisément, chacun a le pouvoir de faire des choses potentiellement incompatibles avec ce que les autres peuvent également faire.

Cette notion est notamment utilisée en matière stratégique, que ce soit dans l'art de la guerre ou dans les jeux de stratégie (par exemple les échecs).

Cela relève plus de la philosophie ou de la dialectique mais je pense qu'il serait intéressant de développer sur ce point l'article?

Le pouvoir des blogs[modifier le code]

La phrase "Enfin, depuis un an, un "cinquième pouvoir" fait son apparition : il s'agit du "pouvoir des blogs". Et ce qui le différencie du 4ème pouvoir est que la presse est écrite par des journalistes, alors que les blogs sont écrits par le peuple" me semble pour le moins boiteuse. Depuis un an? Il y a des blogs depuis 10 ans, forment-ils un 5e pouvoir depuis seulement un an? Ils sont écrits par le peuple? Je suis moi-même journaliste (et blogueur) et je fais partie du peuple... Bref je remplacerais le "fait son apparition" par "certains parlent d'un cinquième pouvoir", je supprimerais le "depuis un an" et je modifierais cette référence au peuple. un truc du genre "Certains évoquent internet comme un cinquième pouvoir. En effet, ce média permet à tout un chacun de publier des informations facilement, sans contrôle rédactionnel, et est donc considéré comme plus libre que la presse traditionnelle." (et même là, je suis pas pleinement satisfait...)

"Le terme démocratie signifie étymologiquement « pouvoir du peuple »"[modifier le code]

C'est inexact, démocratie signifie la "souveraineté du peuple". Le pouvoir c'est archos. Claude Mossé dans son livre "Périclès l'inventeur de la démocratie" insiste sur l'importance de la différence entre archos et kratos. Pourriez-vous corriger ? Cordialement --François Colonna (d) 6 avril 2010 à 21:35 (CEST)[répondre]

Kratos veut dire pouvoir au sens "might" (les anglophone comprendrons, c'est le pouvoir par la puissance, par la force.
Archos, c'est le pouvoir "naturel" et légitime découlant d'un principe juste.
Effectivement on serait en demosarchos sur le papier vu que le kratos n'appartient pas au peuple. Mais je pense qu'on est plus dans une oligarchie élective vu que les mandats ne sont pas mandatoire ni révocables.
Doubmlé d'une ploutokratie avec un état profond qui possède les médias et place ses pionts dans dievrs instutions prestigieuses (tout en piochant dans le gratin de polytechnique) et contrôle le débat politique de la nation ainsi que la carrière des gens qu'elle juge éligible pour les plus haute fonctionnalités du pouvoir.
Il n'y a ni Isegoria. Ni égalité devant la loi vu que les membre de la Synarchie ploutocratique, ont tellement infiltré les institutions qu'ils sont presque audessus des lois.
Impunité de certains pédophiles. Et même dans les années 30 les dirigeants de la cagoule avaient le droit à des prisons dorées, un peu comme Balkanny en ce moment.
De même aux U.S.A quand Smedley Buttler a révélé un complot visant à faire un coup d'état fasciste aux U.S.A (qui aurait du être dirigé par Smedley) La presse jaune a couvert l'arrière des comploteurs et ils n'ont subit aucune répercussion. (Ce qu eje dis est vérifiable voici la page wikipédia à ce sujet :
https://en.wikipedia.org/wiki/Business_Plot
Et ha oui les pantins de conspiracy watch. S'il vous plaît ne lavez pas cette page wikipédia à coup de Javel hein?)
Il y a bien une justice de classe et un pouvoir synarchique.
C'est un constat à faire avant d'imaginer toutes sortes d'utopie idéale où une bande de philosophes éclairés réfléchiraient sur tous les sujets possibles décortiqueraient tous les corps politiques afin d'attribuer à part égale et selon l'importance les idées politiques du peuple afin qu'elle soient correctement représentés.
Ou de penser à des milices populaires, ou quoi que ce soit.
Car pour qu'une peuple puisse avoir un pouvoir il doit être en mesure de former et d'exprimer sa volonté pour qu'elle puisse être mise en application. Or il n'y a pas de système en place permettant de tels délibérations même avec des représentants vu que nos représentants n'ont pas l'obligation de nous représenter.
Après vous pourrez réfléchir à comment subordonner les divers branches du pouvoir régalien à la volonté nationale.
ceci tout ceci restera sur le papier tant que que l'actuel pouvoir qui élève ses pionts dans des institutions tels que la French american foundation et leur donne des bourses Fullbright aura le pouvoir concret. 82.66.26.199 (discuter) 6 avril 2023 à 18:09 (CEST)[répondre]
Archos signifie chef et Kratos signifie pouvoir QuantumBinary (discuter)