Discussion:Okurigana

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Je suis sceptique sur l'esplication donnee en 2eme partie de l'article. J'ai l'impression qu'on melange plein de trucs, le systeme on-yomi/kun-yomi, les conjugiaisons present/passe et les niveaux de politesse, etc etc. De plus, il y avait ces okurigana bien avant que la liste des 2000 kanji ne soit etablie. Le lien de cause a effet me semble donc erronne. A revoir, donc. NL 27 jan 2005 à 16:48 (CET)

tentative de réponse[modifier le code]

Désolé je suis nouveau et il faut que je m'habitue à être le moins confus possible. c'est mon premier essai fait de mémoire en plus. Donc en gros les okurigana existent depuis la création du japonais même avant l'arrivée des kanjis mais à l'époque ils devaient surement appelés ça "suffixes d'inflections" L'arrivé de l'écriture chinoise et de leur sinogramme a entrainé des difficultés pour les inflections (il n'y a pas de similitude en chinois) d'ailleurs les langues agglutinantes sont très rares.

Donc en gros les japonais ont décidé de garder le kanji du verbe pour le sens et d'y agglutiner leurs suffixes écrit en hiragana. Bien entendu il s'agit de la lecture kun des kanjis mais c'est le cas de tout les verbes exceptés ceux formés avec suru et su je crois. comme denwasuru.

D'où l'invention des okurigana.

Ensuite mais plus tard il y a eu cette utilisation des okurigana pour différencier les verbes ayant le même kanji à la base (avec un sens synonymes) mais une lecture kun différente.

J'essaierais d'éclaircir cela au maximum

merci pour la remarque




Margouyab

Passé ?[modifier le code]

Bonjour, je vais surement passer pour un intégriste insupportable... Il me semble plus approprié d'employer le terme "forme accomplie", pour les formes en "ta" ("passé"), étant donné que cette forme recouvre une réalité différente du passé en français (cf. "conjugaison" des adjectifs, notamment). Le japonais étant impossible à calquer sur les langues gréco-latines, l'emploi d'une terminologie plus proche me semble utile - c'est d'ailleurs souvent celle-ci qui prévaut dans les grammaires de langue japonaise en français.