Discussion:Officier chargé du quart

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subalterne...[modifier le code]

Bonjour, comme un navire marchand n'est pas un navire militaire, je remplace "subalterne" par "executif". Cordialement. --Yellow23 (d) 23 décembre 2010 à 08:53 (CET)[répondre]

Obligatoire dans quel cas[modifier le code]

Les officiers chargés du quart sont obligatoires dans quels cas ? --F1jmm (d) 15 juillet 2012 à 19:19 (CEST)[répondre]

Vous devez avoir en permanence sur tous les navires une personne de quart qui a le niveau "opérationnel" ou "direction", pour être responsable (officier) du quart, ce niveau dépend du genre de navigation legifrance- La règle 5 du RIPAM mentionne une veille visuelle et auditive 24h/24h, le veilleur (au sens large) de quart doit donc soit être capable d'avertir immédiatement une personne de niveau opérationnel (ce qui se passe sur certain bateaux de pêche), ou être lui même du niveau opérationnel (au commerce). Le point soulevé est important, car à la pêche les patrons mettent fréquemment un matelot (niveau appui) de quart, ce dernier n'a pas le niveau opérationnel et devrait en cas de problème immédiatement avertir le capitaine (ou une personne de niveau opérationnel), mais encore faut-il qu'il puisse se rendre compte qu'il y a un problème, ce qui n'est pas évident. Un matelot aujourd'hui suit une formation de base (certificat d'initiation nautique) qui inclue une approche des règles de barre et de route (RIPAM), mais... l'étude du Ripam, qui n'a l'air de rien au premier abord, demande beaucoup de temps. Une personne de niveau appui, ne devrait jamais être seule en passerelle. Ceci n'est pas possible car les décisions d'effectif sont trop minimalistes. D'un autre côté, si vous exigez un minimum de 2 officiers (un capitaine + une personne de niveau opérationnel), vous mettez en péril la pérennité de certaines entreprises au niveau financier. En bref et en toute logique, il faudrait des officiers (opérationnels) de quart partout, y compris à la plaisance. Lorsqu'on sait qu'un permis côtier (plaisance) se prépare (théorie + pratique) en deux jours, on rigole doucement. Rien que pour comprendre correctement le Ripam il faudrait un minimum d'une semaine complète à 8H/jour. mais je déborde du sujet. Il faut une personne de niveau opérationnel (au sens de STCW), donc un officier de quart 24/24.--Klipper →Chatting 15 juillet 2012 à 22:28 (CEST)[répondre]

Bonjour j’ai mis cette question aussi pour les courses en solitaire et des navigations sans officier de quart (machine et passerelle). Les officiers chargés du quart ne sont pas obligatoires dans quels cas ?
Exemple cette photo:
En cherchant j’ai soupçonner que le second (machine et passerelle) est obligatoire pour naviguer à plus de 60 milles des côtes, a confirmer.
Ce qui ai une évidence pour certain ne l’ai pas pour tous.
--F1jmm (d) 20 juillet 2012 à 13:04 (CEST)[répondre]

Je n'ai jamais dit que les titulaires du permis plaisance faisaient rigoler les professionnels, il ne faut pas transformer les écrits, j'ai dit que le fait de préparer le permis côtier en deux jours c'est de la rigolade. C'est juste parce qu'il y a du lobbying des constructeurs de navires de plaisance qui ne veulent pas d'un permis trop long et cher à passer. Point, rien de plus rien de moins, il ne faudrait pas non plus se sentir écrasé en tant que titulaire du permis plaisance ! Je ne juge personne, merci d'être plus précis dans la lecture, et si c'est pour être agressé, j'arrête ici.--Klipper →Chatting 20 juillet 2012 à 15:54 (CEST)[répondre]

Bonjour.
Ce n’est pas mes intentions.
Je vous présente mes excuses sur mes propos vous agressant.
--F1jmm (d) 21 juillet 2012 à 21:21 (CEST)[répondre]

Ok on oublie--Klipper →Chatting 22 juillet 2012 à 09:34 (CEST)[répondre]

Au sujet obligation d'une personne de quart, il n'y a normalement aucune dérogation c'est le Ripam qui dicte ceci dans la règle 5. Si on raisonne de manière plus réaliste, si la période de navigation est assez longue, il faudra bien que la personne de niveau direction (le patron, capitaine, chef de bord, quelque soit le nom qu'on lui donne) se repose, donc il en faudra une deuxième avec un niveau opérationnel minimum. La navigation en solitaire sur de longues périodes est hors des cloux, elle ne devrait pas être acceptée (contraire au Ripam). Où est la dérogation ??, je ne sais pas. Ceci dit, les gens savent ce qu'ils font et les gros risques qu'ils prennent, il suffit d'imaginer être seul et tomber malade à 800 milles de la côte pour en déduire de légers inconvénients pour la suite du voyage. Il est loin le Samu. Il faut donc quelqu'un de quart en permanence sur tous les bateaux qui font route (bateau qui n'est ni à l'ancre, ni amarré à quai, ni échoué) que ce soit, le capitaine, ou quelqu'un d'autre de niveau minimum "opérationnel".bon courage--Klipper →Chatting 22 juillet 2012 à 09:34 (CEST)[répondre]