Discussion:Maire de Paris

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Information douteuse[modifier le code]

Il est écrit que William Bullit, l'ambassadeur des Etats Unis en France, aurait été nommé maire de Paris par Paul Reynaud. Soit il existe un texte officiel, soit il n'existe pas. Aucune référence n'est mise. C'est étonnant. Henri Michel, dans "Paris allemand" détaille très bien ces quelques jours, l'arrivée des Allemands, Paris ville ouverte, etc., il évoque les négociations de Bullit qui a contacté les Allemands via l'ambassade de Berne, mais aucune mention d'une telle nomination. En revanche, il est bien précisé que seuls les deux préfets (Seine et police) et le général Dentz sont restés assumer la tâche de recevoir les Allemands. Le gouvernement a bien demandé à tous les élus de partir (seuls 4 sont restés).


Suppression[modifier le code]

Quel lien entre la suppression de la fonction de maire de Paris, après le 9-Thermidor, par la Convention thermidorienne et les terreurs blanches, mouvements royalistes, de 1795, 1799 et 1815? Qu'on me prouve un lien entre ces événements, au lieu de demander quoi que ce soit, avec un simple « faux », en prétendant que je ne justifie pas. Sur les circonstances de la suppression, lire Émile ducoudray, « Commune de Paris/département de Paris », dans Albert Soboul (dir.), Dictionnaire historique de la Révolution française, Paris, PUF, 1989 (rééd. Quadrige 2005, p. 271): « La convention ne décima pas seulement la Commune, elle voulut en abolir jusqu'au nom et aux attributions. Paris fut administré par les différentes commissions exécutives de la convention, instituées le à la place des ministères supprimés et par deux commissions de police administrative et des contributions publiques, nommées par la Convention et placées sous la surveillance nominale du département. Une agence des subsistances et approvisionnements fut installée au palais de justice. Les 48 comités civils et les comités révolutionnaires ramenés à 12 comités de surveillance d'arrondissement correspondirent directement avec les comités de la Convention et les commissions exécutives. » Rien à voir avec la Terreur blanche, qui n'intervint, dans le Midi, que sept mois après. Attis (d) 22 novembre 2008 à 00:00 (CET)[répondre]

Résultats municipales 2014[modifier le code]

Je ne comprends pas le fait qu'on indique que Hidalgo serait minoritaire en voix, j'ai refait le compte et sauf erreur, je trouve 330 841 voix pour les listes Hidalgo, 320 358 pour celles de NKM. sans compter les 6046 voix pour EELV dans les arrondissements qui n'ont eu que le premier tour.--Nicolas Mouy (discuter) 20 avril 2014 à 21:48 (CEST)[répondre]

Effectivement. La mention « minoritaire en voix » appliquée à l'élection d'Anne Hidalgo n'est ni neutre ni objective. Il s'agit d'un argumentaire défendu par la droite - qui se base sur une extrapolation et non sur les chiffres réels de l'élection - mais contesté par la gauche (cf. http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/anne-hidalgo-elue-maire-de-la-capitale-par-les-conseillers-de-paris-05-04-2014-3743443.php ou http://www.lejdd.fr/Politique/Paris-les-calculs-partiaux-de-NKM-662122).
L'expression s'applique parfaitement en revanche à l'élection de Delanoë en 2001, où effectivement il a été élu grâce à la division des listes Séguin-Tibéri. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 109.0.203.209 (discuter), le 8 mai 2014 à 10:20
Selon une projection des chiffres réalisée par Slate, ce n'est pas aussi évident que cela. Celette (discuter) 8 mai 2014 à 17:04 (CEST)[répondre]
L'article du jdd est une réponse à cette accusation de "minoritaire en voix". Merci de bien le lire. On ne peut pas affirmer de façon franche et nette qu'Anne Hidalgo était minoritaire : il s'agit simplement d'une extrapolation qui nécessite non seulement de fusionner selon des barèmes très flous les deux tours mais en plus d'écarter les résultats du Front de gauche et du FN. Bref, l'expression "minoritaire en voix" est trop courte et confuse pour demeurer en l'état dans cet article. Je suggère de la retirer de l'article "Liste des maires de Paris" et d'en faire mention dans l'article "Élections municipales de 2014 à Paris", avec plus de précisions de sorte qu'il n'y ait plus de controverse. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 109.0.203.209 (discuter), le 8 mai 2014 à 19:08
J'ai bien lu tous les articles, sinon je ne serai pas en train d'en débattre ici. On pourrait à la rigueur trouver un entre-deux en l'enlevant du corps du texte mais le rajouter en note, avec l'article de Slate à la clef. Celette (discuter) 8 mai 2014 à 22:40 (CEST)[répondre]
... je m'étonne également de la mention un rien orientée, intrusive et non factuelle : "Elle est réélue en 2020 dans un contexte de forte abstention et de pandémie de Covid-19." ... mmm 2A01:CB08:B47:5300:45F0:903F:4AC5:D330 (discuter) 23 novembre 2023 à 16:56 (CET)[répondre]
L'idée de la note ne semble pas mauvaise. Il faudra néanmoins qu'elle cite à la fois slate et l'article du jdd et qu'elle précise bien que la mention "minoritaire en voix" porte à controverse à la fois du fait d'une complexité à donner des résultats généraux pour une élection par arrondissement à deux tours et parce qu'elle fait l'objet d'une récupération politique. Pour le reste je continue à penser qu'on attend beaucoup plus une telle réflexion dans l'article "Élections municipales de 2014 à Paris" que dans la simple "Liste des maires de Paris" (qui - comme son nom l'indique - n'a pas à rentrer dans de tels détails). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 109.0.203.209 (discuter), le 10 mai 2014 à 10:45

Chirac et le cumul[modifier le code]

Bonsoir. Je m'interroge. L'article stipule que « Après son élection comme maire de Paris, en mars 1977, Jacques Chirac démissionna du conseil général de la Corrèze, qu'il présidait, la loi ne permettant pas de cumuler des fonctions de conseiller général dans plusieurs départements ». Or, les sources que je trouve et les articles de WP sur Jacques Chirac et le conseil général de la Corrèze mentionnent que J. Chirac fut président du CG jusqu'en 1979 (et que par conséquent il aurait cumulé présidence du CG et titulaire du siège de maire de Paris simultanément entre 1977 et 1979). Votre avis ? Merci d'avance. --LucasD / M'écrire 3 février 2017 à 21:08 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

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