Discussion:Lingua Tertii Imperii

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A réimplanter ?[modifier le code]

Lingua Tertii Imperii étudie la façon dont la propagande modifie la langue allemande pour soutenir l'idéologie nationale-socialiste. Le livre reprend l'ensemble des notes personnelles recensant, au jour le jour, tout ce qui a trait à l'utilisation et au détournement du langage effectué par le régime nazi, transmis par les journaux, la radio, et finalement repris par les gens eux-mêmes.

La LTI manipula les âmes par les mots dont elle altéra la signification, mais aussi par des tournures et une syntaxe que le régime, maître de toute parole, imposa à longueur de discours et de colonnes de journaux. Personne n'y échappa. Victor Klemperer raconte une traversée de la mer Baltique au cours de laquelle le mal de mer se répandit de proche en proche à tous les voyageurs rassemblés sur le pont. Il observait la scène avec amusement avant que vînt son tour et que lui aussi fût obligé de courir au bastingage et de vomir. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 24 juillet 2012 à 18h (discuter)

Bonjour, ce paragraphe, s'il a été supprimé (je n'ai pas épluché l'historique de l'article), me semble pouvoir être réimplanté mais amha sans le passage concernant le bateau qui me semble une anecdote, qui même sourcée, n'est pas pertinente sur le sujet. Cordialement. --Epsilon0 ε0 24 juillet 2012 à 22:14 (CEST)[répondre]
Toutes mes excuses, j’ai commencé à retravailler l’article et supprimé ce passage du chapeau. L’anecdote sur le bateau est utilisée par Klemperer pour souligner la contagion des esprits y compris sceptiques. Je ne sais effectivement pas si je réimplanterai ou pas mais en tout cas, ce sera avec le livre en main, il y a beaucoup à refaire sur cet article ! Cdt--Nathan m'écrire 24 juillet 2012 à 22:28 (CEST)[répondre]
Ok, j'avais bien sûr compris cette analogie, ci dessus non totalement explicitée, avec la contagion des esprits. Je te fais totalement confiance sur ce que tu pourrais mettre avec le livre en main. --Epsilon0 ε0 24 juillet 2012 à 22:44 (CEST)[répondre]

Volkisch (populaire, du peuple) illustre la duplicité du mouvement hitlérien qui se dit socialiste (c’est-à-dire « au service du peuple ») alors qu’il est national (« au service de la nation ») et a neutralisé, au sein même du parti national-socialiste des travailleurs allemands, la composante « socialiste », représentée par les frères Strasser, qui souhaitait une révolution sociale pour les membres de la seule nation allemande (les « Aryens »). Il ne retient de ce concept que la qualité « aryenne » du peuple allemand mais entend mettre le peuple au service de la nation, alors même qu’il prétend mettre la nation au service du peuple, d’où les « contributions volontaires » (dont le seul caractère « volontaire » est la somme qu’est prêt à payer le membre du peuple au-delà du seuil minimal de cette taxe) et l’usine Volkswagen (qui devait fabriquer la voiture du peuple mais qui n’atteignit - partiellement - ce but qu’une fois la guerre finie et les nazis écartés du pouvoir--Nathan m'écrire 30 juillet 2012 à 04:10 (CEST).[répondre]

Il y a peu d'articles de Wiki écrits dans une langue aussi prétentieuse, et en même temps la lecture est fracassée par la barbarie des constructions avortées et de la ponctuation aberrante. C'est au point que je préfèrerais qu'on laisse tout comme c'est parce que c'est à l'image de ce dont parle Klemperer : une culture raffinée jusqu'au chichi qui finit par voler en éclats inintelligibles. Bravo donc pour avoir su marier si bien la forme et le fond. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 90.44.153.77 (discuter), le 14 avril 2016 à 20:56‎.