Discussion:Le Dernier Jour d'un condamné

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

--82.225.207.232 1 novembre 2005 à 14:24 (CET)bcIl faudrait peut être ajouté la date de publication ^^ C'est normal que je ne puisse pas l'ajouter avec la presentation du book ? =x[répondre]

Première Publication: 1829.

--- vividu86 : J'ai fait quelques modifs (de fond et de forme) à la rubrique 'Liens Externes'

Refonte de l'article[modifier le code]

Supprimé de l'article car éloge un peu confus de l'oeuvre, mais néanmoins intéressant :

Faire écrire par un condamné le récit de ses derniers jours : opposer les minuties pénales de l'angoisse, mobiliser la terreur et la pitié, concentrer dans cette fiction les innombrables appréhensions par lesquelles chacun de nous explore, évite, apprivoise et déjoue l'idée de sa propre mort, placer le lecteur face à ce qui, dans la condition des hommes, est à la fois le plus intime en chacun et le plus universellement partagé, contribuer de la sorte à l'humanisation de la pénalité: on n'imagine guère pour une oeuvre littéraire sujet plus émouvant et plus élevé. C'est à se demander comment personne n'y avait pensé avant. On peut dire que ce livre est un roman engagé

Israfel (Discuter) 15 mai 2006 à 12:53 (CEST)[répondre]

Autre commentaire intéressant, qui pourrait être utilisé pour le recyclage :

C'était au temps où Joseph de Maistre voyait en la peine de mort la clef de voûte de l'édifice social. Hugo réinvente son art pour servir la plus noble des causes. Qui est-il, ce condamné? Quel crime a-t-il commis? Nous ne le saurons pas. De la main, de la plume, il suffit qu'il nous conduise vers son avenir immédiat. Comment penser l'homme quand l'homme décide la mort de l'homme?

Israfel (Discuter) 15 mai 2006 à 13:39 (CEST)[répondre]

Quatrième de couverture non utilisable HB (d) 23 février 2008 à 12:33 (CET)[répondre]

Citation hasardeuse ?[modifier le code]

"Victor Hugo nous fait vivre intensément les derniers moments d’un être que la justice des hommes a condamné à mort. Espoir et désépoir, joies et souffrances, le séisme moral que subit cet homme, l’électrochoc de sa fin prochaine révoltent le lecteur. Ce livre est si fort, si intense, si éclatant, qu’au fond de notre âme quelque chose se fêle...

Pourrait-on préciser qui est l'auteur de cette citation qui arrive d'ailleurs assez brutalement. On a plutôt l'impression de lire une accroche commerciale qui n'a donc pas sa place ici. --Chtophe 18 avril 2007 à 15:10 (CEST)[répondre]

Proposition de résumé[modifier le code]

Ajouter ce résumé condensé à l'article:

(I) Une seule pensée: Condamné à mort (II) Belle journée, espoir, condamnation (III) “Tous les hommes condamnés avec sursis indéfini” Je n’ai rien à perdre, mais c’est horrible (IV) Arrivée au Bicêtre (V) Précautions, camisole de force, argot du Bicêtre, obtient les moyens d’écrire (VI) Écriture pour se distraire et peut-être quelqu'un apprendra quelque chose à travers le récit (VII) Pourquoi écrire, je dois mourir (VIII) 6 semaines de délai: procédure jusqu’à la veille de l’exécution (IX) Testament in-important parce que famille mourra de toute façon: mère, femme et fille (X) Description du Bicêtre (XI) Inscriptions aux murs du cachot, prisonniers condamnés pour idées politiques avec la guillotine (XII) condamné en tant que successeur de criminels horribles comme Papavoine, il a une vision sur les noms écrits en feu (XIII) Ferrage des forçats pour le bagne à Toulon, les forçats se moquent du condamné à mort (XIV) S’étant évanoui, il se réveille à l’infirmerie et voit les charrettes partir pour Toulon, il trouve que les galères sont pires que la guillotine (XV) Revient dans son cachot et pense qu’il n’y a aucune possibilité d’être gracié ou d’un pourvoi. Il conçoit le chemin qu’il

Adaptation au théatre[modifier le code]

David Lesné, mise en scène François Boursier, lumière Romain Grenier. Présenté au 4ème congrès mondial contre la peine de mort à Genève (ECPM) en février 2010, au Festival d'Avignon juillet 2010.--colton (d) 12 juillet 2010 à 22:09 (CEST)[répondre]

Journal écrit LES derniers jours. ou LE dernier Jour[modifier le code]

Plusieurs fois déjà, on a cherché en remplacer « le journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence» par «le journal qu'un condamné à mort écrit durant les derniers jours de son existence ». Il me semble que c'est une erreur.

D'abord si on regarde le titre du roman c'est « Le dernier jour d'un condamné» et non « Les derniers jours d'un condamné».

Ensuite le contenu, Chapitre I, il se réveille en sursaut au milieu de la nuit et se souvient de sa condamnation et des jours antérieurs (chapitres II à VI au passé simple) Chapitre VII au présent, il écrit et compte les jours (chapitre VIII) on s'aperçoit qu'il ne lui reste qu'un jour. Chapitre IX à XII, au présent il s'occupe dans sa cellule alors qu'il ne fait pas encore jour. Chapitre XIII à XVII au passé : il écrit des souvenirs. Chapitre XVIII au présent, le jour est venu, on lui annonce que c'est pour aujourd'hui.

Enfin une source universitaire : la préface de Roger Borderie dans l'édition Gallimard de 1970 « Le projet de Hugo était apparemment très simple (...) imaginer le récit d'un condamné qui sera exécuté dans quelques heures »

C'est pour ces trois raisons que j'ai remis l'ancienne version, mais on peut aussi supprimer la rprécision sur le nombre d'heures et parler comme Borderie des « dernières heures de son existence» . HB (d) 3 juillet 2013 à 20:18 (CEST)[répondre]