Discussion:Jean-Paul Enthoven

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A ton franchement besoin d'avoir la biographie de cette personne dans wikipédia (visiblement écrite par lui-même d'ailleurs) ? Il n'est qu'éditeur de livre au Seuil.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.14.104.34 (discuter), le 26 décembre 2006 à 21:06 (CET)[répondre]

A part lan faute de syntax , mais oui! Tout est non pour le bouillon 82.55.6.85 (discuter) 29 octobre 2023 à 12:26 (CET)[répondre]

les filiations de Enthoven[modifier le code]

Merci pour cet article qui permet de ne plus se poser de questions. J'écoute en effet depuis 15 jours l'émission d'Enthoven sur France-Culture (début novembre 2007). Sciée par les développements nuls sur le thème des animaux les bras me sont tombés en entendant les autres thèmes (Descartes, Baudelaire) et les assertions de ce philosophe français. En lisant cet article de Wikipedia sur Enthoven - et c'est encore mieux s'il est écrit par Enthoven lui même, comme le signale le premier commentaire : les filiations ne sont ainsi pas discutables - j'ai mieux compris ! BHL, Duverger et le Nouvel Obs... Que voilà une belle constellation. Bon sang ! Mais c'est bien sûr !— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 217.136.115.231 (discuter), le 14 novembre 2007 à 22:40 (CET)[répondre]

Quelques rectifications de la part d'un condisciple de Jean-Paul Enthoven à Buffon.
C'est à Buffon que Jean-Paul Enthoven a pu être l'élève ou le disciple de Maurice Clavel et non à Jeanson de Sailly. Et je dirais plutôt "disciple" car il me semble bien que le prof de philo que nous avions en commun était Michel Deguy.
Quant à l'émission de France-Culture, que les bras vous remontent sous les aisselles, cher ami : c'est son fils Raphaêl qui en est l'animateur.
Michel Lachartre— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 87.91.28.156 (discuter), le 30 décembre 2007 à 23:37 (CET)[répondre]

Aucune mention ... l'ancien compagnon de Carla Bruni Cckkab (d) 10 juin 2008 à 23:39 (CEST)[répondre]

Cicéron ou cicerone ?[modifier le code]

Dommage que l'entretien cité en notes dans lequel JPE était censé dire, très bizarrement, que Pierre Nora était son "Cicéron", ne soit pas assorti d'une référence. Il aurait permis de vérifier s'il n'avait pas plutôt été question d'un "cicerone", c'est-à-dire, tout simplement, en bon français, d'un guide... voir sur le sens de ce mot : http://atilf.atilf.fr/

ptyxs (d) 16 juillet 2009 à 08:58 (CEST)[répondre]

re: « Vive la paix honteuse ! ».[modifier le code]

re: "Il a dans son bureau la photo d'un homme qu'il admire et qui déclara au moment des accords de Munich : « Vive la paix honteuse ! ». Cet homme, aussi surprenant que cela paraisse à certains, se nommait Jean Cocteau."


J'ai cherché sur Google les référence sur ce propos (réputé ?) de Cocteau et apparement il s'agirait d'un toast qui aurait été porté par Cocteau dans un bar parisien (Maxim ?) après la capitulation de Juin 1940 et non pas au moment des accords de Munich (30 Septembre 1938...).

Ce point est très importants, parce-que Cocteau était en relation suivie depuis longtemps avec des personalités qui ont joué un rôle certain contre les nazis pendant la guerre et qui connaissaient bien les désidératas des dirigeants britanniques de la période 1940-45. Or en Juillet 1940, ces dirigeants-ci souhaitaient que les officiers allemands en poste ou en repos à Paris profitent assez largement de toutes les distractions réputées avoir des effets négatif sur la combativité des armées, dont par exemple le théatre ou les films de Cocteau.

Du point de vue de Churchill, il était nettement plus utile pour les alliés que Cocteau fasse son métier d'auteur de théatre et de metteur en scène de films le plus largement possible (3 pièces et un film entre 1940 et 1944...), plutôt que de rester chez lui ou de tenter de jouer au maquisard (il avait 51 ans en 1940 et sa santé était assez fortement compromise par la drogue...). Difficile de savoir si Cocteau l'a fait par hazard, l'a compris de lui-même, ou bien a reçu des consignes en ce sens mais l'hypothèse "consignes" est possible. Dans ces conditions, cette citation dans un contexte apparement faux ou erronée (1938 au lieu de 1940), et dont le lecteur est supposer tirer des conclusions encore plus erronées étant donné la complexité des faits, nuit gravement à la crédibilité de l'article et de son auteur. Il faut plus de rigueur lorsqu'on souhaite s'exprimer sur des points aussi complexes, faute de quoi on risque un contresens important ou peut-être total.


PS. a l'époque, il y avait des spécialiste de la psychologie des armées, en France comme en Angleterre, qui étaient tout à fait subtils, compétents et efficaces dans leur domaine, et probablements plus subtils que leurs homologues de 2014, or ces gens-la avaient des idées très claires sur le genre de spectacles réputés capables d'amoindrir, ou au contraire de renforcer, le moral et la combativité de l'armée allemande. Je comprends que pour eux, les pièces de Cocteau appartenait clairement à la 1ere catégorie, alors que les récitals de Tino Rossi, par exemple, appartenaient à la seconde. La mode actuelle de vouloir les mettre leurs "dans le même sac" parce qu'ils ont souhaité se produire devant les allemands montre, soit une profonde bétise de la part de nos contemporains, soit un mouvement orchestré pour créer une confusion sur le rôle (et les motivations ?...) des artistes français pendant la guerre, peut être afin de créer ou d'entretenir le même genre de confusion sur le rôle et les motivations d'autres catégories de nos concitoyens pendant cette période....

Rodrigue de Belzunce d'Arenberg[modifier le code]

Cette personne n'était jamais membre de la famille princière d'Arenberg mais porte ce nom (pas le titre de la noblesse!) par adoption par Erik Engelbert, 11e duc d'Arenberg (1901-1992). C'est la raison pour laquelle il ne figure ni dans l'Etat présent de la noblesse Belge (2003 et 2017), ni dans le Genealogisches Handbuch des Adels (2011). Paul Brussel (discuter) 17 septembre 2018 à 11:21 (CEST)[répondre]

Bonjour Paul Brussel (d · c · b). Je suis bien sûr prêt à vous croire. Je vais donc reprendre ces références de sources et compléter l'article. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 17 septembre 2018 à 11:31 (CEST)[répondre]
✔️ Voilà, c'est fait. cette nouvelle rédaction vous convient-elle ? Bien cordialement. AntonyB (discuter) 17 septembre 2018 à 11:42 (CEST)[répondre]
Merci, AntonyB! En fait, lui faisait partie de la famille de Belzunce; sa mère Marie-Thérèse de la Poëze d'Harambure (1911-2005) s'est mariée en 1949 avec Eric duc d'Arenberg et puis le dernier a adopté les enfants issus du mariage Belsunce-de la Poëze d'Harambure. L'onzième duc d'Arenberg n'a pas eu de postérité, raison pour laquelle le titre de primogéniture de duc est passé au Jean-Engelbert, 12e duc d'Arenberg (1921-2011), membre de la branche belge de cette famille. Contrairement donc à ce qui est suggéré dans cet article dans Point de vue par Patricia, il n'y a aucun lien biologique avec cette illustre famille d'Arenberg et ces enfants adoptés n'ont pas droit au titre de prince. Bien cordialement. Paul Brussel (discuter) 17 septembre 2018 à 13:02 (CEST)[répondre]

L'article dit maintenant : "son père, Edmond Enthoven, était un homme d’affaires ayant fait fortune dans l’immobilier, le vin et la gestion d'un complexe de salles de cinéma". Mais, la publication sur sa famille dit simplement que son père (1910) était directeur et propriétaire d'un garage automobile, avec son frère Bernard Maurice (1924), d'abord en Algérie, et après 1963, rentrés en France, à Bois-Colombes. Son grand-père Edouard (1878-1944), né à Zaltbommel aux Pays-Bas, suite aux problèmes financiers à cause des jeux d'argent, était d'abord militaire dans la Légion étrangère, puis garagiste en Algérie. [Voir: P.H. Enthoven, Kroniek van het geslacht Enthoven. 1990, p. 187-189.] Paul Brussel (discuter) 4 mai 2020 à 17:15 (CEST)[répondre]