Discussion:Hôtel Saint-Pol

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Paix des Dames[modifier le code]

la paix des dames n'a pas été signée dans l'hôtel saint pol dont il est question dans cet article mais dans l'hôtel saint pol qui est à Cambrai Construit en 1440 par Jean De Luxembourg (celui la même qui vendit Jeanne D'Arc aux anglais) il fut habité par son neveu Louis de Luxembourg qui après avoir trahi Louis XI fut décapité. L'hôtel saint pol revint à sa petite fille Marie de Luxembourg chez qui la paix des dames fut signée en raison de ses liens de parenté avec Charles Quint et François Premier et aussi en raison de la situation géographique et politique de Cambrai. L'hôtel Saint Pol de Cambrai existe toujours (j'y habite) même si il a été réduit de moitié

Emmanuel Ucla xxx@wanadoo.fr

À propos de la légende de la photo[modifier le code]

Est-ce une photo d'une église ou un hôtel? Mellie107 (d) 29 février 2012 à 05:49 (CET)[répondre]

C'est un reste d'une église Saint-Paul qui serait le seul reste actuel de l'hotel Saint-Pol. J'ai apporté des précisions dans l'article. -Tangopaso (d) 4 mars 2012 à 18:26 (CET)[répondre]

Victor Hugo - Notre-Dame de Paris[modifier le code]

Il serait bien de signaler que Victor Hugo fait la description suivante de « l'hôtel de Saint-Pol » dans Notre-Dame de Paris :

« Derrière ces palais, courait dans toutes les directions [...] l’enceinte immense et multiforme de ce miraculeux hôtel de Saint-Pol, où le roi de France avait de quoi loger superbement vingt-deux princes de la qualité du Dauphin et du duc de Bourgogne avec leurs domestiques et leurs suites, sans compter les grands seigneurs, et l’empereur quand il venait voir Paris, et les lions, qui avaient leur hôtel à part dans l’hôtel royal. Disons ici qu’un appartement de prince ne se composait pas alors de moins de onze salles, depuis la chambre de parade jusqu’au priez-Dieu, sans parler des galeries, des bains, des étuves et autres « lieux superflus » dont chaque appartement était pourvu ; sans parler des jardins particuliers de chaque hôte du roi ; sans parler des cuisines, des celliers, des offices, des réfectoires généraux de la maison ; des basses-cours où il y avait vingt-deux laboratoires généraux depuis la fourille jusqu’à l’échansonnerie ; des jeux de mille sortes, le mail, la paume, la bague ; des volières, des poissonneries, des ménageries, des écuries, des étables ; des bibliothèques, des arsenaux et des fonderies. Voilà ce que c’était alors qu’un palais de roi, un Louvre, un hôtel Saint-Pol. Une cité dans la cité. » (Livre troisième, chapitre II)